| 30 décembre 2016
M. MOULY vient donc d'adresser ses vœuxpar courrier à tous les Narbonnais, profitant de cette occasion pour se livrer à une nouvelle polémique à l'encontre du Grand Narbonne, alors qu’il sait parfaitement que les choses ne sont pas aussi simples qu’il tente de le faire croire.
Ainsi, M. MOULY s'immisce dans les foyers narbonnais à la faveur de ces fêtes de fin d'année et n'hésite pas à rompre la trêve traditionnelle pour répandre la discorde en ces moments de retrouvailles et de concorde, consacrés à la réunion des familles et des amis.
Par ce geste irrespectueux de ses concitoyens, M. MOULY montre une fois de plus son incapacité à endosser le costume d'un maire rassembleur et responsable. Même en période de trêve et de fête, M. MOULY n'a que la polémique à la bouche. Edifiant !
En outre, alors qu'il clame partout son souci de gérer en « bon père de famille », M. MOULY n'a pas hésité à dépenser les deniers publics pour s'adonner à cette opération de propagande rageuse et fort coûteuse en papier, enveloppes et frais postaux...qui fait suite à une autre campagne d’affichage couteuse dans laquelle il s’est mis en scène, comme s’il était tout le temps en campagne électorale.
Non, rien de cela n'est digne de la fonction de premier magistrat. Les Narbonnais ne peuvent que le constater. Hélas ! *** A l'aube de cette année nouvelle, J'Aime Narbonne présente ses meilleurs vœux de bonheur, santé et prospérité à chacun des Narbonnais, avec l'espoir que notre ville retrouve l'esprit d'engagement, de dialogue et d'ouverture qui sont le propre des cités d'avenir.
Lire la suite |
|
|
17 décembre 2016
Jamais en manque d'imagination lorsqu'il s'agit de flatter sa personne, M. MOULY inaugurait cette semaine une "tournée des réalisations". La presse a rapporté ce tour de ville sur les pas du monarque de l'hôtel de ville.
A lire le récit de cette déambulation, se confirme ce que les Narbonnais constatent depuis l'élection de M. MOULY : le bilan de ce demi mandat n'est pas bien épais si l'on exclut de ces réalisations toutes celles qui avaient été engagées ou programmées par l'équipe de Jacques BASCOU.
En effet, quand M. MOULY se gargarise d'une cantine à Montmorency, d'un skateparc, d'un parking d'entrée de ville à l'Espace de Liberté (dont la taille a été considérablement réduite), de travaux dans les écoles, de la rénovation du cloître ou de l'illumination de la cathédrale il n'a fait qu'apposer sa signature immodeste sur des copies préparées par la précédente municipalité.
Et on pourrait ajouter à cette liste les crèches de Horte Neuve et Babilou ou encore la salle culturelle de Narbonne-Plage, sans parler des multiples services à la population (santé, handicap, éducation) créés ou renforcés par l'équipe de Jacques BASCOU.
On l'a déjà dit et on le répète : ce que M. MOULY fait de mieux c'est de s'approprier - sans droits d'auteur - les réalisations ou les projets de l'équipe BASCOU.
Mais les Narbonnais doivent savoir
ce que n'a pas réalisé M. MOULY pour leur ville
La liste est longue, hélas !
- Il n'a pas fait et ne fera pas l'école de Montplaisir, alors que des miliers de familles des quartidrs excentrés du Sud l'attendaient.
- Il n'a pas fait et ne fera pas le prolongement de l'aménagement des Barques et du Cour Mirabeau jusqu'au Théâtre et au-delà jusqu'au futur musée de la Romanité.
- Il n'a pas saisi, dans le cadre de la communanuté d'agglomération du Grand Narbonne, la nécessité de construire un plan de déplacements urbains qui prenne en compte les nouvelles mobilités. Au contraire, il a supprimé les couloirs de bus sur les boulevards.
- Il n'a pas prolongé la dynamique qui s'était créée à Narbonne-Plage avec la réfection du front de mer. - Il n'a pas su maintenir et faire fructifier les grands événements qui faisaient rayonner Narbonne et dopaient son activité touristique, tels le Festival Trenet et la Biennale de l'Aquarelle.
- Il n'a pas travaillé à l'animation de la Ville et au lien social entre les habitants, en coupant les subventions de nombreuses associations, y compris les plus utiles sur le plan de la solidarité.
La triste évidence apparaît : M. MOULY n'a pas fait grand chose en dehors des "pétassages" dont il s'est vanté et surtout de son obsession pour la communication. En effet, si M. MOULY montrait autant d'intérêt à l'avenir de Narbonne qu'il en accorde à sa publicité personnelle, alors peut-être aurait-il enfin endossé le costume de maire. Lire la suite |
|
|
15 décembre 2016
M. MOULY s'est autoproclamé champion du "pétassage" dès le début de son mandat. Et il nous le prouve tous les jours...
Dernier exemple en date : la bande cyclable située de part et d'autre de la route de Marcorignan, entre le cimetière de l'Ouest et le rond point de la rocade, a reçu dernièrement un très léger lifting qui ressemble à un cache misère.
En effet, la mairie a refait cette bande sur une très courte distance, juste en face d'une nouvelle grande surface de bricolage dont l'ouverture est imminente.
Fallait-il complaire au promoteur de cet espace commercial ? Toujours est-il que, sur la plus grande partie de cette bande cyclable, trous et bosses se succèdent et menacent de faire chuter à tout instant les cyclistes assez téméraires pour l'emprunter...
Lire la suite |
|
|
14 décembre 2016
Une semaine après l'annonce de sa démission du poste d'adjointe au maire à l'urbanisme, Mme GRANIER-CALVET s'est exprimée aujourd'hui dans la presse.
L'ancienne élue évoque des "tensions", des "discordances", des divergences d'opinion" et des "revirements décisionnels" qui l'ont conduite à claquer la porte avec dignité et le respect du mandat qui lui avait été confié. Toutefois, elle ne dit pas sur quels dossiers elle a eu à subir les sautes d'humeur de M. MOULY...
Ce qui apparaît, c'est l'irrespect de M. MOULY par rapport à la fonction d'une adjointe qu'il avait désignée comme une pièce maîtresse de la mairie, et par rapport à la personne même de Mme GRANIER-CALVET puisque M. MOULY n'a même pas respecté la procédure de cette démission, en l'officialisant avant que l'adjointe ait reçu l'acceptation du préfet.
Ce nouvel épisode ubuesque à la mairie confirme bien aux yeux des Narbonnais le caractère autoritaire, irréfléchi, capricieux et irresponsable de M. MOULY, un maire qui se donne des airs souverains, mais dont les faiblesses et l'incapacité fragilisent l'édifice municipal et hypothèquent l'avenir de notre ville.
Lire la suite |
|
|
12 décembre 2016
Des dizaines de propriétaires des lotissements de Crabit (route de Marcorignan) se mobilisent pour dire stop à une vague de cambriolages et demandent plus de moyens de police et de vidéosurveillance (voir extrait de presse ci-joint).
Une question qui coule de source est la suivante : que font MM. MOULY et MALQUIER qui, pendant la campagne électorale de 2014 ont agité sans cesse le chiffon rouge de la sécurité et on promis qu'ils en feraient leur première priorité ? En réalité, ils n'ont pas fait grand chose sinon, comme d'habitude, de la communication de façade....
Et M. MALQUIER s'est même permis de mentir aux Narbonnais lorsqu'il déclarait en septembre dernier que 24 caméras de vidéosurveillance avaient été installées en 2016, alors qu'aucune n'a vu le jour...
Ce dossier de la sécurité illustre l'incapacité manifeste de la municipalité Nouveau Narbonne.
Lire la suite |
|
|
7 décembre 2016 Avec la démission de Mme Nathalie GRANIER-CALVET, troisième adjointe, M. MOULY perd certainement une élue parmi les plus compétents au sein d’une mairie qui prend l’eau de toutes parts. Cette « super adjointe », ainsi que le maire l’avait désignée en avril 2014, était en charge des plus gros dossiers de la ville, au sein de la délégation à l’urbanisme qui regroupait les services techniques, l’environnement, le développement durable, les espaces verts, la voirie, la salubrité publique, l’hygiène, la circulation et le stationnement… AVEU DE CULPABILITÉ
La presse ne dit pas grand’ chose des raisons de cette démission, dans la mesure où la principale intéressée ne s’est pas exprimée. En revanche, M. MOULY donne lui-même quelques pistes en faisant cette confidence qui claque comme un aveu de culpabilité : « Elle me reproche mon comportement vis-à-vis de sa fonction d’adjointe … »
MOULY est en effet coutumier de décisions intempestives et irréfléchies qui empiètent sur le domaine de compétence de ses élus, voire qui les ignorent totalement. On se souvient de sa décision de supprimer un arrêt de bus devant son cabinet professionnel qui s’est soldée par des travaux coûteux et l’arrachage d’un platane face au Palais du Travail. Plus récemment il a exigé, sans concertation avec le Grand Narbonne, le rétablissement du double sens sur les boulevards et la suppression des couloirs de bus qui sont aujourd'hui source d’encombrements et de retards dans les transports urbains. Et que dire de la gestion erratique du projet de la « grande salle multimodale », avec son coût pharaonique de 20 millions d'euros et son basin de rétention des eaux qui va alourdir la facture de plusieurs millions d'euros (voir notre précédent article).
UN CLIMAT DÉLÉTÈRE
Toujours est-il que cette démission retentissante porte au grand jour l’inquiétante gestion municipale de M. MOULY. Dépourvu de toute vision pour Narbonne, dépassé par la hauteur de sa tâche, submergé par un autoritarisme fracassant qui tente de masquer une incompétence manifeste, soumis à ses lubies et ses caprices, Monsieur le Maire n'est plus maître de rien. Sa majorité s’était déjà effritée avec la mise au rancart de MM. JULÈS et ORRIT, tous deux privés de leurs délégations, tandis que les relations entre le maire et son premier adjoint M. MALQUIER sont tendues voire exécrables. Ce climat délétère se répercute au niveau des services municipaux, tiraillés entre les décisions contradictoires orchestrées par un cabinet pléthorique et bicéphale qui traduit au quotidien la rivalité entre MM. MOULY et MALQUIER. La mairie n’est plus le siège de l’administration au service des Narbonnais et de l’intérêt général. Elle n’est plus qu’un esquif sans capitaine et sans boussole d’où s’élève un esprit de désertion et des envies de mutinerie.
FAÇADE DE PAPIER GLACÉ Il ne reste à cette mairie en perdition que la façade d'une communication sur papier glacé.
Dernièrement, la photo du maire et celle de l’adjoint à l’Education ont été jointes au dictionnaire offert aux enfants des écoles. Ces deux personnages apparaissent aussi sur une publicité étalée ces jours-ci en ville, vantant l’investissement de la mairie au profit des écoles. Mais au même moment, on apprend que la maternelle Marguerite-Sol est infestée par des rongeurs et que de la mort-aux-rats et des asticots dégringolent des plafonds, et qu'au lieu d'assumer ses responsabilités d'élu, l’adjoint M. CÉSAR tape en touche en taclant sévèrement les employés municipaux qu'il traite ouvertement d'incompétents (voir notre précédent article). Du papier glacé à la réalité il y a un monde, mais M. MOULY ne trompe personne, même pas certains fidèles de la majorité municipale qui, telle Mme GRANIER-CALVET, n'en peuvent plus d'être embarqués sur cette galère et n'ont pas envie de sombrer avec lui dans une caricature de politique municipale qui, à terme, hypothèque l'avenir de notre belle ville de Narbonne.
Lire la suite |
|
|
6 décembre 2016 La lecture de la presse de ce mardi est tout à la fois suréaliste et kafkaïenne...
1. On apprend que l'école maternelle Marguerite-Sol est infestée par les rats, que de la mort-aux-rats et des asticots dégringolent des plafonds, que ce problème récurrent a semble-t-il été mal traité, et que l'adjoint au maire responsable des écoles n'y peut rien : « Je ne suis qu'un élu » dit-il, en fustigeant les services techniques de la mairie qui n'auraient pas fait le travail nécessaire (lire extrait de presse ci-contre).
2. Dans un autre article, le Directeur général des services techniques révèle aux citoyens narbonnais que le projet de la grande salle multimodale pourrait souffrir d'un surcoût de 4 à 5 millions d'€ pour la réalisation d'un basin de rétention des eaux pluviales qui n'est pas inclus au projet initial. Et ce directeur d'expliquer que, peut-être, l'un des cinq candidats à la réalisation de cette salle pourrait proposer de réaliser ce basin pour un coût de 1 à 1,5 million d'€, tout en précisant que le jury ne s'appuiera pas sur ce critère pour prendre sa décision... Et, pour finir, il est question de solliciter une hypothétique subvention extérieure au titre de la protection contre les inondations (voir article ci-contre). Si on se résume : M. MOULY n'avait pas prévu de réaliser ce bassin alors qu'il est rendu obligatoire par la nature inondable du site choisi, et il délègue maintenant un cadre administratif pour révéler aux Narbonnais une dépense supplémentaire de 1 million au bas mot et certainement beaucoup plus...
A la lecture de ces deux informations, la question se pose de savoir si la mairie est dirigée ou pas par ceux qui en ont la charge ?
Un adjoint au maire qui avoue ne pas avoir autorité sur ses services, et un maire qui bâcle ses dossiers et laisse un directeur communiquer sur une dépense d'investissement de plusieurs millions, oui tout cela est surréaliste, kafkaïen... et surtout très inquiétant pour le devenir des Narbonnais et les finances de notre cité.
Lire la suite |
|
|
28 novembre 2016 A l'appel de l'association "Touche pas à mon parc", des centaines de Narbonnais de tous âges et de tous horizons se sont retrouvés dimanche au Parc des Sports pour dire non à la construction de la "grande salle multimodale" de M. MOULY en lieu et place des espaces verts et de loisirs du stade.
Ces Narbonnais ont exprimé clairement leur opposition à la dégradation de ce poumon vert de Narbonnais, établi depuis des décennies comme un lieu important de la vie sociale et récréative. Face à l'attitude entêtée de M. MOULY, ces Narbonnais ont demandé la tenue immédiate d'une réunion qui permette de préciser les intentions de la municipalité.
Lire la suite |
|
|
23 novembre 2016 L'association "Touche pas à mon parc", opposée à la construction de la "grande salle" multimodale sur le site du Parc des Sports, a réuni plus de 2200 signatures contre le projet pharaonique de M. Mouly et organise dimanche 27 novembre à partir de 15 h, un rassemblement au Parc des Sports pour protester contre l'amputation du poumon vert de la ville, lieu privilégié par les Narbonnais pour la pratique de l'exercice physique, mais aussi de la promenade en famille.
Depuis des mois, cette association demande à M. MOULY d'organiser une réunion publique pour informer les Narbonnais de la teneur du projet et surtout de son emprise sur le Parc des Sports, où vont s'élever des murs de 19 mètres de haut. Or, fidèle à sa manière entêtée et solitaire de conduire les affaires de la Ville, M. MOULY refuse ce débat et semble le repousser après le début de l'année, sans affirmer toutefois qu'il aura bien lieu (lire ci-joint la presse de ce jour).
De son côté, J'Aime Narbonne a toujours soutenu que, s'il a effectivement l'utilité d'une salle pour accueillir des compétitions sportives, le projet auquel s'accroche M. MOULY est disproportionné, coûteux en investissement (20 millions d'€ au bas mot) et en fonctionnement (2 millions d'€ par an). Ainsi quel'a souligné récemment la Chambre régionale des Comptes, ce projet est de nature àcompromettre durablement les équilibres financiers de la Ville de Narbonne. Par ailleurs, il y avait d'autres priorités, telle la poursuite de l'aménagement des espaces publics dans la continuité et l'esprit de ce qui a été fait pour les Barques et le Cour Mirabeau.
Enfin, J'Aime Narbonne a toujours soutenu que le choix du Parc des Sports était une grave erreur au regard de l'utilité sociale et récréative de ce lieu cher aux Narbonnais. Lire la suite |
|
|
4 novembre 2016 Le Conseil municipal du jeudi 3 novembre a permis de remettre sur le tapis la question du pont de Carcassonne. Où l’on apprend, par la bouche même de M. MOULY, qu’une première tranche de travaux pourrait être menée par la SNCF entre mai et juillet 2017, suite à quoi le pont serait rouvert provisoirement d’ici le lancement de la seconde tranche.
Cependant, M. MOULY, tout miel tout sucre, avoue qu’il faut prendre cette information avec des « pincettes ». Dont acte ! C’est dire que le principe de réalité a rattrapé M. MOULY après ses gesticulations du mois de septembre et son agression envers Jacques BASCOU, le Président du Grand Narbonne, à qui il réclamait 2 millions d’€ sans même que soit connu le plan de financement de ces travaux. Or, un aperçu de ce financement a été donné jeudi soir et l’on apprend avec grande surprise que la réfection du pont coûterait 7,4 millions d’€, alors que la ville a reçu de l’état 9,8 millions d’€ en compensation du transfert de l’ouvrage (lire article ci-joint). Par ailleurs, M. MOULY explique que des travaux complémentaires portant sur les rambardes, l’éclairage et les chaussées coûteraient un peu plus de 2 millions d’€. Donc, si l’on compte bien, M. MOULY n’a nullement besoin d’aide pour assumer la réfection de l’ouvrage puisqu’il a reçu de l'Etat autant que ce que doit coûter le chantier dans sa totalité. Mais peut-être essayait-il de gratter quelques millions pour sa « grande salle » dont il a tant de mal a boucler le financement ? Quoi qu’il en soit, ses gesticulations du mois de septembre passent aujourd’hui pour ce qu’elles étaient : des outrances destinées à masquer un manque de sérieux dans la conduite des dossiers.
Lire la suite |
|
|
24 octobre 2016
Le journal Midi Libre risque bien de tomber des mains des lecteurs ce matin...
Au sein d'une page entière consacrée aux fameux "rendez-vous du maire" - page qui démontre bien le caractère démagogique de cette fausse proximité que cultive M. MOULY à défaut de travailler pour Narbonne - on apprend qu'un jeune caricaturiste a obtenu une faveur à la suite de son entretien (lire extrait ci-joint).
Ayant offert à M. MOULY un dessin de lui-même fort avantageux, le jeune homme a été récompensé sur le champ en obtenant l'autorisation de venir croquer en public, sur la Place de la Mairie, lors des prochaines festivités de Noël.
Rappelons que c'est le même M.MOULY qui, au début de l'année, avait fait virer des Halles (par la Police municipale) l'artiste et caricaturiste Denis CARRIÈRE, qui faisait partie du paysage des Halles depuis des lustres et dont le talent est largement reconnu.
Voici donc révélé le fonctionnement intime de M. MOULY, qui n'est autre que celui d'un petit monarque. Pour autant qu'on le flatte et qu'on le caresse dans le sens du poil, il est prêt à accorder des faveurs... et à le faire savoir.
Oui, le comportement de M. MOULY c'est vraiment une triste caricature... Lire la suite |
|
|
16 octobre 2016
Des incidents récurrents se produisent à l'école Jean-Macé où l'équipe pédagogique demande des travaux de sécurisation (lire article de presse ci-dessous). Mais la mairie n'a toujours pas réagi à ces demandes.
Pourtant, dans le dernier bulletin municipal, la mairie se vantait d'avoir investi 500 000€ de travaux dans les écoles. Derrière cette communication sur papier glacé, il y a des réalités moins brillantes.
Ainsi, la mairie mégote sur des travaux indispensables à l'école Jean-Macé alors qu'elle va gaspiller 400 000 € à la seule fin d'indemniser les cabinets d'architectes qui seront recalés dans le cadre du marché ouvert pour la "grande salle" de M. MOULY. C'est-à-dire l'équivalent d'un an d'investissements pour les écoles.
Voilà la réalité : rien n'est trop beau pour satisfaire les caprices du maire mais sécuriser une école qui vit de graves difficultés c'est trop demander aux maîtres du palais. Lire la suite |
|
|
5 octobre 2016
M. Gérard LEROY, directeur du Pôle universitaire catholique de Narbonne (PUC), a annoncé par voie de presse son renoncement à la subvention de 10 000 € qu'il avait sollicitée auprès de la municipalité Nouveau Narbonne, au titre de l'Association à l'éducation et la formation.
Lors du récent débat au conseil municipal, le groupe d'opposition J'Aime Narbonne s'était réjoui de la tenue de ce nouvel enseignement à Narbonne, mais avait relevé la nature cultuelle de cet enseignement prodigué par des professeurs agréés par le Vatican, en totale contradiction avec le principe de laïcité inscrit dans la loi de 1905 de séparation des Eglises et de l'Etat. Lors de ce débat, M. MALQUIER, premier adjoint, s'était une nouvelle fois illustré en affirmant que le PUC était une émanation de l'Institut catholique de Toulouse. Encore un mensonge qui a été aussitôt éventé et démenti par cet institut toulousain... Par ailleurs, le Collectif laïque audois avait annoncé un recours devant le Tribunal administratif. Dans un communiqué (lire ci-contre), M. LEROY indique qu'il renonce à cette subvention « dans un souci de paix », mais il dit s'étonner que « dans un moment de notre histoire où il est plus que jamais nécessaire d'appeler au dialogue et au respect mutuel, il se trouve encore des survivants d'un combat anachronique ». Curieuse déclaration qui réduit le principe de laïcité à un « anachronisme », et ressemble hélas à la manifestation d'un dépit mal contrôlé... J'Aime Narbonne préfère saluer une « sage décision » et se réjouir que, selon les déclarations de M. LEROY, ce PUC qui doit ouvrir ses portes le 15 octobre compte déjà une soixantaine de participants dans un cadre qui n'aura à souffrir d'aucune contestation. Il n'en demeure pas moins que cette affaire démontre une fois de plus l’incompétence de la municipalité « Nouveau Narbonne », qui a cru pouvoir passer au-dessus de la Loi, et la malhonnêteté de M. MALQUIER, pris une nouvelle fois en flagrant délit de mensonge. Car il faut replacer cette histoire dans son contexte, à savoir que la Mairie a coupé les vivres à de nombreuses associations culturelles ou sociales, parfaitement éligibles (elles !)et dont les besoins sont manifestes. Et voilà qu’une association cultuelle se paye le luxe de renoncer à une subvention de 10 000 €... Y a-t-il deux poids deux mesures à Narbonne ? Y a-t-il les bonnes et les mauvaises associations ? Y a-t-il ceux qui pensent bien et bénéficient des attentions du pouvoir ? Y a-t-il des intérêts particuliers au-dessus de l'intérêt général ? Lire la suite |
|
|
1er octobre 2016
Lue dernièrement dans l'Indépendantcette relation du vernissage de la dernière exposition à l'Aspirateur (voir ci-contre).
Le moins que l'on puisse dire est que cet unique lieu d'art contemporain de Narbonne manque de souffle. Les dernières expositions qui s'y sont succédé, quand elle n'ont pas fait un scandale comme celle du photographe Louis Jammes, n'ont pas soulevé l'enthousiasme du public.
Pourtant, lorsque l'équipe de Jacques BASCOU a lancé l'Aspirateur, en 2013, en recyclant ce bâtiment industriel qui symbolisait la faillite des projets inadaptés de l'ancienne municipalité Nouveau Narbonne (2001-2008), cet enthousiasme était au rendez-vous.
Un partenariat fructueux avait été construit avec le Lieu d'art contemporain du hameau du Lac à Sigean, ce qui a permis de faire découvrir aux Narbonnais les oeuvres d'artistes de renommée international, tels Erro, Rancillac, Monory tous exposés dans les plus grands musées du monde, ou encore Togho, un artiste parmi les plus prometteurs de la jeune génération.
Aujourd'hui, M. PENET, adjoint au maire à la Culture, a transformé ce lieu magnifique et reconnu comme tel par les plus grands artistes, en un lieu banal et sans rayonnement.
Alors que le Musée de la Romanité sera bientôt ouvert tout à côté, avec son flot de visiteurs, il y avait là une complémentarité culturelle à valoriser. Un lien évident à créer entre le passé glorieux de Narbonne et la modernité d'une ville dynamique.
Mais M. PENET et la municipalité Nouveau Narbonne, comme cet Aspirateur qu'ils sont en train de gâcher, n'ont aucun souffle et aucune vision de l'avenir de Narbonne. Tragique !
Lire la suite |
|
|
29 septembre 2016
" M. MOULY, il est temps de reprendre le projet d'école de Montplaisir " ont déclaré dernièrement, Olivier LAPEYRE ancien adjoint à l'Education, professeur et Jacques ADRADOS ancien adjoint aux Conseils de Quartier et à la Démocratie Participative, directeur d'école en retraite.
Ces deux anciens élus de l'équipe de Jacques BASCOU, et enseignants actif ou retraité, ont reçu la presse en début de semaine sur le site où aurait dû êre inauguré pour cette rentrée, le groupe scolaire tant attendu par les habitants des quartiers sud de Narbonne.
Voici l'intégralité de leur déclaration :
"Comme vous le savez, la construction de cette école était pour notre équipe une nécessité pour l'avenir, nécessité aussi pour L'observatoire de l'Enfance, instance de discussion et de propositions, créée par nos soins et qui regroupait les parents élus représentant toutes les écoles de la ville, nécessité pour le Conseil de Quartier consulté bien évidemment et qui avait répondu favorablement. Ce projet avait reçu l'aval des services de l'Education Nationale.
Cette école est une nécessité pour les plus de 5000 habitants de ces quartiers si l'on veut éviter aux enfants de maternelle et de primaire ainsi qu'à leurs parents de longs et fatigants trajets de plus de 1/2 heure matin et soir : lever plus matinal, fatigue, risque d'accidents, temps perdu dans les embouteillages. Chacun sait qu'il n'est pas simple d'arriver en ville depuis ces quartiers. Sans parler de la pollution engendrée par ces déplacements.
L'inauguration aurait dû avoir lieu pour cette rentrée scolaire 2016-2017, coïncidant avec l'arrivée des familles de gendarmes sur le secteur.
Cette école aurait dynamisé ces quartiers sud. Elle aurait participé, avec la mairie annexe et l'aire de jeu que nous avons réalisées, ainsi qu'avec l'ouverture du parc au public, à créer un lieu de vie pour ces quartiers isolés qui manquent cruellement d'équipements publics. Toutes ces raisons sont toujours d'actualité. Nous pensons fermement que c'est une aberration d'avoir enterré ce projet et que cette école a toute sa raison d'être. L'école de Prat-de-Cest, solution proposée par le Maire, ne peut accueillir tous les enfants ; ses quatre classes sont bien pourvues et ne peuvent accueillir d'autre élève.
Le Maire a avancé que les élèves habitant dans les quartiers sud pourraient combler les quelques places libres disséminées dans toutes les écoles de la ville. Que de trajets et de fatigue inutiles ! M. Mouly fait bien peu de cas du bien-être de ses concitoyens.
Ce groupe scolaire doit voir le jour et rapidement. D'autant que dans le contrat de la ZAC de Réveillon, il est prévu, concernant le service Enfance, la construction d'un Etablissement scolaire avec son centre de restauration. Ce contrat qui devait être effectif en 2017 a été, par nos soins, prolongé jusqu'en 2018.
Le Maire doit prendre conscience - que les enfants de ces quartiers ont besoin d'un groupe scolaire pour travailler dans de meilleures conditions, - que leurs parents ont besoin d'un groupe scolaire pour faciliter leur vie de tous les jours et éviter ces trajets fastidieux, - que tous les habitants de ce quartier ont besoin de lieux de vie.
Il n'est que temps de reprendre ce projet et de le finaliser pour le bien de tous." Lire la suite |
|
|
26 septembre 2016 Comme tous les Narbonnais, J'Aime Narbonne s'est réjoui d'apprendre dans la presse qu'une avancée importante avait été franchie pour la résolution du grave problème posé par la réfection du Pont de Carcassonne.
Un financement à hauteur de 9,8 millions d'€ a été confirmé par l'Etat, suite à des interventions appuyées des parlementaires narbonnais, la députée Marie-Hélène Fabre et le sénateur Roland Courteau. Cette somme est un solde de tout compte accordé à la Ville de Narbonne pour la cession de la voirie à la commune, étape préalable aux travaux. Un conseil municipal extraordinaire a été convoqué le 4 octobre pour formaliser la convention entre la Ville et l'Etat. Il était temps... Une seconde étape, celle des études, doit être franchie avant d'envisager un plan de financement. Dans la meilleure des hypothèses, il est indiqué que le pont pourrait être rouvert à la circulation des véhicules en 2018, suite à une première phase de travaux. Mais il est dit aussi que ce n'est pas une certitude, et que la partie la plus lourde du chantier ne pourra pas être livrée avant 2021. On est donc encore très loin d'une résolution totale du problème pour les usagers, les riverains et les commerçants concernés. S'agissant du financement, le préfet de l'Aude a été on ne peut plus clair vendredi dernier lors d'une conférence de presse à Carcassonne : « Le Grand Narbonne n'avait pas été impliqué dans la réflexion ni invité aux rencontres de l'Etat, la Ville, la SNCF, les Parlementaires car il n'avait pas à y être, la question ne relevant tout simplement pas de sa compétence. Maintenant si l'Agglo veut contribuer au bon déroulement des travaux qui seront entrepris, elle le peut tout à fait et je crois comprendre qu'elle le souhaite » (lire l'extrait de presse ci-contre). Voici qui balaie la polémique créée de toute pièce par MM. MOULY et MALQUIER, qui exigeaient dernièrement que le Grand Narbonne mette 2 millions d'€ sur la table, sans qu'il y ait eu la moindre rencontre de travail entre la Ville et le Grand Narbonne, et alors même que MM. MOULY et MALQUIER n'avaient toujours pas résolu la question du transfert de voirie avec l'Etat.
Et alors même que MM. MALQUIER et MOULY n'ont pas dit combien ils comptaient investir sur le pont alors qu'ils sont prêts à dépenser 20 millions d'€ pour leur "grande salle" de spectacle, inutile et non souhaitée par la population. Cette manière de créer de l'agitation politicienne sur un sujet de la plus haute importance pour les Narbonnais a été dénoncée par Jacques BASCOU dans une lettre à M. MOULY (Lire ici la lettre de Jacques Bascou à M. Mouly), dans laquelle le Président du Grand Narbonne affirme sa « pleine volonté de trouver une solution rapide ». Jacques BASCOU énumère trois pistes qui permettraient au Grand Narbonne de soutenir financièrement les travaux, dès lors que la Ville de Narbonne aura fait sa part de travail sur ce dossier. Ce qui est malheureusement loin d'être le cas. Une fois encore, MM. MOULY et MALQUIER ont créé une polémique grossière et outrancière dans le seul et unique but de masquer la réalité de leur incompétence. Il faut espérer qu'après cette mise au point, l'Etat, la Ville, la SNCF et le Grand Narbonne pourront unir leurs forces pour résorber ce point noir du paysage narbonnais. Lire la suite |
|
|
24 septembre 2016 Encore un mensonge, toujours la même incompétence, et une irresponsabilité totale ! Décidément, le conseil municipal de jeudi aura fait toute la lumière sur l’immoralité et l’incapacité de M. MALQUIER, le « super-adjoint » de M. MOULY.
On a vu dans nos précédents articles, comment M. MALQUIER s’est enfoncé lamentablement dans son mensonge sur les caméras de vidéosurveillance. Mais quelques minutes plus tard, lors du débat portant sur une subvention controversée qu’il veut à tout prix attribuer à un Pôle universitaire catholique (PUC) au mépris du principe de laïcité, le premier adjoint a récidivé de manière tout aussi lamentable. En effet, pour tenter de justifier l’octroi de cette subvention, qui a déjà été annulée une première fois par l’Etat et que conteste à juste droit le groupe d’opposition J’Aime Narbonne, M. MALQUIER a affirmé que ce PUC est l’émanation de l’Institut catholique de Toulouse. Or, la presse rapporte ce matin qu’il n’y a aucune relation entre les deux structures et que le PUC est en lien direct avec le diocèse de Carcassonne, ce qui confirme bien sa relation avec le clergé(voir l’article de presse ci-joint). Les Narbonnais savent désormais comment et par qui ils sont administrés depuis 2014. **** Sur ce Pôle universitaire catholique la position de J'Aime Narbonne est claire et logique
En juin dernier, lors du vote sur l’attribution des subventions, la conseillère Catherine BOSSIS avait souligné l’illégalité de cette subvention de 10 000 euros au Pôle universitaire narbonnais, et n’avait pas manqué de dire que la Ville s’exposait à un veto de l’Etat, au regard de la Loi de 1905 de séparation des Eglises et de l’Etat. Ce qui n’a pas manqué d’arriver !
M. MALQUIER n’a pas abdiqué pour autant et a décidé de représenter cette subvention au vote de l’assemblée, en l’attribuant cette fois à l’Association pour l’éducation et la formation (AEF), la structure mère du PUC. On notera au passage le manque de sérieux de cette municipalité qui se trompe sur les dénominations d’associations. Toujours est-il que ce tour de passe passe ne change rien au fond du problème, ainsi que l’a redit Catherine BOSSIS jeudi soir. « Nous nous réjouissons de l’installation d’une offre universitaire nouvelle à Narbonne, mais nous n’acceptons pas cet apport d’argent public. Le PUC est une association cultuelle et non culturelle. Le corps professoral est constitué de quatre enseignants disposant des diplômes exigés par Rome pour l’enseignement universitaire catholique. »
Ainsi, au mensonge et à l’incompétence, M. MALQUIER ajoute l’irresponsabilité car l’attribution d’une telle subvention à un projet cultuel serait un véritable appel d’air à tout autre organisme ou association d’enseignement à caractère religieux, qui serait dès lors fondé à demander un soutien de la municipalité… Le groupe J’Aime Narbonne a donc refusé logiquement de participer au vote sur cette question. En revanche, le groupe a voté une autre délibération que M. MALQUIER, à cause de son incompétence et son irresponsabilité, a dû représenter afin de régulariser le versement des aides à l'ensemble des associations narbonnaises.
Lire la suite |
|
|
23 septembre 2016
« Monsieur Malquier, je savais que vous étiez menteur. Je constate maintenant que vous êtes malhonnête ». Ainsi a réagi Jacques BASCOU, jeudi soir au Conseil municipal, après la présentation tendancieuse et volontairement apocalyptique du rapport de la Chambre régionale des comptes sur la gestion de la Ville de Narbonne entre 2009 et 2014.
A écouter M. MALQUIER, la situation financière de Narbonne serait un champ de ruines à l'égal de la ville d'Alep en Syrie. Rien de moins... Le « super adjoint » a tordu autant que possible les chiffres et observations de la Chambre régionale des comptes pour arriver à une présentation biaisée, et en occultant totalement les observations fournies à la Chambre par Jacques BASCOU et qui font partie intégrante du rapport définitif. Jacques BASCOU a d'ailleurs fourni la copie de ses observations à chacun des élus du conseil municipal. « Vous verrez que ce qui vient de vous être dit doit être plus que nuancé » a-t-il dit à l'assemblée.
M. MALQUIER a focalisé de manière caricaturale sur l'endettement de la ville, sur l'investissement et la capacité d'autofinancement de la commune et enfin sur les charges de personnel.
Endettement : Narbonne mieux que les villes comparables
M. MALQUIER crie à la catastrophe en évoquant 17% d'augmentation de la dette, mais la réalité est heureusement plus clémente. En effet, suivant un mouvement général constaté dans les collectivités locales sur la période, l'endettement par habitant est passé de 1078 euros en 2008 (dernier budget de la mandature MOYNIER) à 1108 euros en 2014 (dernier budget BASCOU).
Mais ce que ne dit pas M. MALQUIER c'est qu'en 2008, au terme de la mandature Nouveau Narbonne (M. MOYNIER), l'endettement moyen des communes de même importance était de 1072 euros ce qui veut dire que chaque Narbonnais supportait 6 euros de dette de plus que les habitants des villes comparables.
En 2014, la tendance était largement inversée : les Narbonnais supportaient 214 euros de dettes en moins que les habitants des communes comparables (1322 euros pour la moyenne des communes et 1108 euros à Narbonne).
Investissement : Bascou a soutenu l'économie pendant la crise
En effet la capacité d'autofinancement était moindre en 2014 qu'en 2009, mais elle reste proche de la moyenne constatée dans les villes comparables.
Pendant le mandat de Jacques BASCOU, alors que la crise économique frappait de plein fouet le pays et les Narbonnais, l'équipe de Jacques BASCOU a investi à des niveaux jamais atteints pour moderniser la ville (les Barques, Narbonne Plage, le quartier Berre-Cesse, les crèches, etc) pour remettre à niveaux de nombreux équipements tels les écoles abandonnées depuis des lustres, pour créer de nouveaux services (éducation, santé, police municipale, handicap, etc).
Ces investissements, à hauteur de 200 millions d'euros sur le mandat si on y ajoute les prestations de service, ont fait avancer Narbonne et ont soutenu les entreprises et les emplois locaux au cœur de la plus grande crise qu'ait connu le pays depuis des décennies. C'est une politique totalement assumée par Jacques BASCOU et son équipe. Elle a pu être conduite sans augmenter les taux de la fiscalité locale.
Charges de personnel moins lourdes à Narbonne qu'ailleurs
Là aussi, Jacques BASCOU assume sa politique de gestion du personnel municipal. M. MALQUIER crie au loup par rapport à une augmentation de la masse salariale de 4,8 millions d'euros entre 2008 et 2014, soit un peu plus de 5% par an en moyenne. Mais lui-même, sous l'autorité de M. MOULY, a augmenté la masse salariale de 1,637 million d'euros pour la seule année 2015, soit + 5,3 %. A combien en serons nous en 2020 ?
Au-delà des outrances de M. MALQUIER, il y a les réalités...
D'abord la réalité des chiffres : avec une dépense de 586 euros par habitant pour le personnel municipal, Narbonne dépensait beaucoup moins en 2014 que les villes comparables, où la moyenne s'établissait à 805 euros. Dans le classement des villes de 50 000 à 100 000 habitants, Narbonne occupe une flatteuse 6e place sur 88...
Enfin, réalité du terrain : les embauches effectuées sous la mandature BASCOU ont toutes correspondu à des accroissements ou créations de services à la population (éducation, rythmes scolaires, petite enfance, police municipale, propreté et espaces verts), à une meilleure administration de la mairie (service des marchés publics, ressources humaines), et enfin à une justice sociale inexistante jusqu'ici (régularisations d'emplois précaires, nombreuses avancées pour le personnel, plan de formation, mutuelle, régime indemnitaire, etc).
Ce que dit le rapport et que cache M. MALQUIER :« Le projet de salle multimodale va alourdir la dette… »
Au final, le champ de ruines qu'a voulu présenter M. MALQUIER n'est heureusement que le reflet de sa malhonnêteté. Il ne s'agit pas de dire à l'inverse que la situation est idyllique, mais de la décrire telle qu'elle est, dans un contexte général difficile pour toutes les collectivités.
La gestion de Jacques BASCOU était adaptée à cette époque de crise, au cours de laquelle l'action publique doit être orientée vers des investissements utiles à la population et porteurs de développement pour le futur.
Jacques BASCOU a conclu son intervention en exhortant M. MALQUIER et la majorité Nouveau Narbonne de ne pas s'entêter sur cette « grande salle de spectacle » qui est l'exemple type de ce qu'il ne faut pas faire aujourd'hui à Narbonne. Un équipement coûteux, inutile, non demandé par la population, et générateur d'énormes frais de fonctionnement. D’ailleurs, la Chambre régionale le dit elle aussi dans son rapport : « Le projet de salle multimodale va alourdir la dette… » Et cela M. MALQUIER s'est bien gardé de le dire...
Hélas, en plus du mensonge permanent, de la malhonnêteté instituée, l'entêtement est aussi la marque de fabrique de M. MALQUIER, avec jusqu'ici l'approbation totale de M. MOULY.
Lire la suite |
|
|
23 septembre 2016
Dans les familles, on apprend aux enfants pris en flagrant délit de mensonge à faire profil bas et à s'excuser platement. Mais on a pu vérifier, jeudi soir au conseil municipal, que M. MALQUIER est décidément un enfant mal élevé.
Appelé à suppléer l'absence de M. MOULY à la direction du conseil municipal, le « super adjoint » s'est enfoncé lamentablement dans son mensonge sur le déploiement des caméras de vidéosurveillance : rappelons qu'il s'était vanté dans la presse d'en avoir installé 24 en 2016 alors qu'aucune de ces caméras n'est en place, ce qu'il a d'ailleurs été obligé de reconnaître quelques jours plus tard.
En préambule du conseil, M. MALQUIER s'est fait son propre avocat en se lançant dans une diatribe violente contre J'Aime Narbonne et son porte-parole Nicolas SAINTE-CLUQUE, sans même oser prononcer son nom... Des propos déplacés et indignes d'un élu de la République.
Puis, il a balbutié un texte alambiqué et pathétique pour tenter de fournir des preuves de sa fausse bonne foi, avant de diffuser une vidéo de la conférence de presse de Nouveau Narbonne au cours de laquelle le mensonge a été proféré.
Si l'on comprend bien la démarche de M. MALQUIER, ce document était censé contredire et infirmer définitivement les propos qui avaient été rapportés dans la presse, à savoir que 24 caméras ont été installées en 2016.
Sauf que rien de tel n'est apparu sur la « vidéo vérité » de M. MALQUIER.
C'est ce qui s'appelle faire PSCHITT !
Non content d'être menteur patenté, insultant et mal élevé, M. MALQUIER a essayé de prendre les citoyens narbonnais pour des imbéciles. En plus, à travers la diffusion de cette vidéo, il a tenté de mettre en doute le professionnalisme des journalistes qui avaient rapporté son mensonge, à leur corps défendant. Des journalistes qui auront appris à cette occasion que les conférences de presse de Nouveau Narbonne étaient filmées...
Bref, M. MALQUIER a fait étalage de toute sa perversité et son immoralité. Mais aussi d'une stupidité certaine puisque son affirmation mensongère sur les 24 caméras s'étale depuis des jours sur la page Facebook de Nouveau Narbonne, tel un communiqué triomphal...
Nouveau Narbonne atteste donc et confirmele mensonge de son secrétaire général.
****
Cependant, M. MALQUIER a fait plus encore au cours de son même conseil : il a affiché sa totale malhonnêteté lors du débat sur le rapport de la Chambre régionale des comptes relatif à la gestion de la Ville entre 2009 et 2014. Nous reviendrons sur cette question dans un prochain article.
Lire la suite |
|
|
21 septembre 2016
Très occupé à polémiquer à tout bout de champ,M.MOULY ne gère pas les affaires de la ville et ne donne pas aux employés municipaux les moyens d’effectuer correctement leurs missions au service des Narbonnais. Lundi, les Agents territoriaux spécialisés d’écoles maternelles (ATSEM) et les Agents techniques d’entretien des écoles (ATE) manifestaient en ville pour dénoncer leurs conditions de travail dans le cadre de l’application des rythmes scolaires. Il apparaît que ces conditions de travail se sont dégradées depuis que M. MOULY et Nouveau Narbonne sont arrivés aux commandes de la Ville de Narbonne. Après avoir critiqué violemment le dispositif des rythmes scolaires, mis en place en 2013 par l’équipe de Jacques BASCOU, M. MOULY et son adjoint à l’Education, M. CÉSAR, se sont vantés dernièrement d’avoir amélioré le dispositif. Non seulement c’était un mensonge de plus, mais ils se sont bien gardés de dire qu’ils ont réduit les moyens pour l’animation du temps périscolaire, dans les 31 écoles secondaires et les 23 maternelles de Narbonne... Et d’avoir ainsi accru les charges de travail des agents, sans donner à ceux-ci une légitime sécurisation de leurs carrières.
M. MOULY et Nouveau Narbonne, qui n’avaient de cesse de critiquer les dépenses de personnel de l’équipe de Jacques BASCOU, montrent aujourd’hui leur incapacité à organiser le temps périscolaire des petits Narbonnais. Il est vrai que l’école n’est pas une priorité de Nouveau Narbonne, ainsi qu’on l’a vu avec l’abandon du projet d’école à Montplaisir… Et comme on le voit encore aujourd’hui avec cette grève des agents. Avec Jacques BASCOU et son équipe, la mise en place des rythmes scolaires s’est faite dans la concertation, et la collectivité n’a pas eu à subir une grève des personnels. M. MOULY, lui, refuse le dialogue, et suscite l’exaspération des agents. Pas de doute on a bien changé de politique : alors que Jacques BASCOU faisait de l’école sa priorité et qu’il s’en donnait les moyens, M. MOULY et NN n’en ont que faire. La seule chose qui importe pour le maire de Narbonne, c’est d’économiser sur les services essentiels à la population pour satisfaire son obsession de la « grande salle de spectacle » à plus de 20 millions d’euros. Une salle démesurée, au coût de fonctionnement exorbitant, dont ne veulent pas les Narbonnais. Mais pour satisfaire son caprice, M. MOULY est prêt à sacrifier l’école après avoir abandonné la culture, et laissé son adjoint M. MALQUIER mentir scandaleusement sur la sécurité… Il est de plus en plus évident qu’avec une telle politique, Narbonne va droit dans le mur.
Lire la suite |
|
|
21 septembre 2016
Une nouvelle cantine a été inaugurée par M. MOULY dans les locaux réaménagés de l'ancienne caserne Montmorency.
Cette nouvelle réjouit tous ceux qui se sont investis dans cette réalisation utile, à commencer par les élus de l'équipe de Jacques BASCOU entre 2008 et 2014 qui ont porté ce projet, dans un cadre plus large de réhabilitation de l'ancienne caserne.
Il convient de rappeler que cet important ensemble de bâtiments d'habitation et de services divers a pu être récupéré par la Vlle de Narbonne en application d'une convention de rétrocession entre l'Etat et la Ville, datant de 1905. Jacques BASCOU a déployé tous ses relais, notamment auprès du ministère des Armées, pour obtenir que cette convention soit appliquée sans retard par l'Etat, ce qui a permis à la Ville de Narbonne de valoriser les 102 logements existants pour un montant de 7 millions d'euros au bénéfice des finances municipales.
L'équipe de Jacques BASCOU a aussitôt conçu un projet d'aménagement de ce véritable quartier incluant la réalisation d'une cantine, d'une maison des associations mais aussi d'une structure d'hébergement pour sportifs.
J'Aime Narbonne se félicite donc de l'ouverture de la nouvelle cantine, mais regrette par ailleurs que les autres équipements prévus dans le projet initial aient été semble-t-il abandonnés.
Lire la suite |
|
|
20 septembre 2016
Oui, M. MALQUIER a menti sur la sécurité des Narbonnais, et il a dû reconnaître son mensonge dans la presse de ce mardi 20 septembre.
Pas une seule caméra de vidéosurveillance n'a été installée en 2016, contrairement à ce que M. MALQUIER affirmait dans L'Indépendant du 10 septembre (voir notre article précédent).
Face à cette atteinte manifeste à la morale publique, qui plus est sur un sujet aussi sensible que celui de la sécurité des Narbonnais, Nicolas SAINTE-CLUQUE, porte-parole de J'Aime Narbonne, a décidé de saisir M. MOULY, maire de Narbonne, pour lui demander de faire toute la clarté nécessaire sur le projet d'extension de la vidéosurveillance à Narbonne, et pour tirer toutes les conséquences de l'attitude irresponsable de son premier adjoint.
Lire la suite |
|
|
18 septembre 2016
En plein état d'urgence, alors que les Narbonnais sont inquiets et préoccupés comme tous les Français, M. MALQUIER, le super-adjoint de M. MOULY ment éhontément sur les questions de sécurité.
Il a déclaré dans la presse (Indépendant du 10 septembre) que la mairie avait installé 24 nouvelles caméras de vidéosurveillance à Narbonne. Faux ! Pas un seul de ces appareils n'a été mis en place.
Pire, alors que pendant la campagné électorale de 2014, MM. MOULY et MALQUIER avaient fait de la sécurité un thème cental de leur programme, une seule caméra de vidéosurveillance a été installée depuis leur élection. Maigre bilan !
A ce jour, sur les 31 caméras en place à Narbonne, 30 ont été implantées par l'équipe de Jacques BASCOU, dont celle du parvis de la Médiathèque qui a permis aux services de police de résoudre cette histoire de rixe survenue début septembre et qui a fait grand bruit en ville.
Mais, plutôt que de faire profil bas et de se mettre enfin au travail, M. MALQUIER ment aux Narbonnais sur la sécurité. Comme lui, M. MOULY et "NN" mentent sur tout... faute de pouvoir montrer aux Narbonnais qu'ils travaillent avec sérieux et compétence sur les dossiers.
Samedi matin, au nom de J'Aime Narbonne, le porte-parole et conseiller municipal Nicolas SAINTE-CLUQUE a dénoncé ces mensonges éhontés de M. MALQUIER et de Nouveau Narbonne. " Non M. MALQUIER, on ne ment pas aux Narbonnais sur la sécurité ! " a déclaré Nicolas SAINTE-CLUQUE qui invite M. MALQUIER à s'expliquer, ce lundi 19 septembre à 9h, devant le centre de supervision de la videosurveillance."Si vous ne mentez pas, prouvez le aux Narbonnais !"
Lire la suite |
|
|
17 septembre 2016
Dans le cadre d'une rentrée que la presse a qualifié de "musclée", Nouveau Narbonne et M. MOULY ont multiplié les agressions contre le Grand Narbonne et son président Jacques BASCOU.
Un sommet de mauvaise foi a été atteint concernant la question du Pont de Carcassonne. M. MOULY, mais aussi M. MALQUIER, son "super-adjoint", et Mme GRANIER-CALVET, adjointe à l'Urbanisme, ont cosigné une lettre ouverte pour réclamer 2 millions d'euros au Grand Narbonne, afin de participer à la réfection du pont.
Par la voix du vice-président Edouard ROCHER, délégué aux Transports et à l'Intermodalité, le Grand Narbonne a rappelé que "ce dossier est de la responsabilité pleine et entière du maire de Narbonne" et il s'adresse aux élus Nouveau Narbonne : "Si leur intervention est un appel au secours de la Ville auprès du Grand Narbonne, qu'ils le disent". (Voir extrait de presse ci-contre).
De son côté, Jacques BASCOU, rappelle qu'il a eu à traiter ce grave problème lorsqu'il était maire de Narbonne et qu'il avait obtenu, à l'époque, le maintient de la circulation des véhicule légers.
Il indique qu'il n'a pas cessé de suivre le dossier, même si'l n'est plus de sa responsabilité directe de Président du Grand Narbonne et même s'il n'a été associé à aucune des réunions sur le sujet. Enfin, Jacques BASCOU s'est assuré que "le Préfet et l'Etat ont fait leur travail", mais constate que la mairie de Narbonne n'a pas fait le sien, qui consiste avant d'aller plus loin, à "intégrer la voirie dans le domaine communal"...
Et Jacques BASCOU, malgré les attaques infondées de Nouveau Narbonne, se dit toujours disponible pour "aider à lever les obstacles pour répondre enfin à l'attente des riverains"...
Une fois de plus, on voit bien que cette polémique créée de toute pièce par Nouveau Narbonne, MM. MOULY et MALQUIER, n'a qu'un but : faire de la mousse pour tenter de masquer l'inaction et l'incompétence de la municipalité. Et cela, une fois encore, au détriment de l'intérêt général des Narbonnais.
Lire la suite |
|
|
14 septembre 2016
Une semaine après une interview dite de « rentrée » de M. MOULY, profitant de l'occasion pour brocarder, insulter et gesticuler, Jacques BASCOU a été lui-aussi invité à s'exprimer dans les colonnes du Midi Libre le mercredi 14 septembre.
Fidèle à sa ligne de conduite, fondée sur l'approche sérieuse des dossiers et sur un engagement solide pour le développement à long terme de Narbonne et du territoire, le Président du Grand Narbonne n'est pas entré dans la polémique stérile alimentée par M. MOULY qui, faute d'avoir su endosser le costume de maire, se présente comme un candidat perpétuellement en campagne électorale. D'ailleurs, ce qui lui semblait le plus urgent de dire la semaine dernière, c'est qu'il se représentera en 2020...
Comme si les Narbonnais n'avaient pas d'autres préoccupations plus urgentes.
Jacques BASCOU, lui, a développé les projets de la communauté d'agglomération et réaffirmé sa nature d'homme de rassemblement et d'ouverture (lire ci-dessous le contenu de cette interview). Car, en effet, Narbonne doit retrouver « l'esprit d'ouverture », qui a déserté l'hôtel de ville depuis 2014 pour laisser la place au repli sur soi et à un isolement dramatique.
Lire la suite |
|
|
5 juillet 2016
Lors du dernier conseil communautaire, M. MOULY et son groupe dit "d'ouverture" n'ont cessé de jouer l'obstruction de se se livrer à de la basse politique spectacle. Du cinéma à la mode "NN" !
Suite à cette réunion, M. MOULY a eu le culot d'adresser une lettre ouverte au Président Jacques BASCOU pour critiquer l'organisation et le fonctionnement de l'assemblée communautaire, n'hésitant pas à décrire une situation "calamiteuse" (voir extrait de presse ci-contre).
Face à cette expression outrancière et infondée, les élus du groupe "Grand Narbonne Notre Avenir", principal soutien de la majorité de Jacques BASCOU, ont publié le communiqué suivant.
Les élus du Conseil Communautaire du Grand Narbonnemembres du groupe « Grand Narbonne Notre Avenir » communiquent : Nous avons été destinataires d’une lettre ouverte à Jacques BASCOU, Président du Grand Narbonne, signée par le Président de Nouveau Narbonne. Si nous refusons d’entrer systématiquement dans des réponses à des attaques sans autre motivation que celle de faire du bruit, nous souhaitons nous exprimer sur certaines contradictions contenues dans ce courrier.
Après avoir contesté la légitimité de l’élection du Président du Grand Narbonne, pourtant élu au terme d’un vote majoritaire et donc démocratique, Monsieur MOULY prétend donner aujourd’hui une leçon de démocratie sur le processus décisionnel au sein des instances de la communauté d’agglomération, évoquant une « démocratie confisquée ».
Cette affirmation est fausse et irresponsable. Elle est fausse car les conseillers communautaires n’ont pas découvert les sujets sur lesquels ils allaient délibérer le 24 juin pour le 30 (délai légal de convocation). Conformément au règlement intérieur du Conseil Communautaire, les points à l’ordre du jour ont été examinés par 17 commissions préparatoires qui se sont réunies entre le 1er avril et le 24 juin. Chaque groupe politique est représenté dans ces commissions de manière proportionnelle pour une expression pluraliste des élus (9 sièges pour le groupe « Grand Narbonne, notre avenir », 7 sièges pour le « groupe d’ouverture » où sont représentées 5 communes, 3 sièges pour le groupe « Indépendants et divers droite » et 1 siège pour les conseillers non-inscrits).
Ces commissions permettent de débattre, poser des questions sur le contenu des délibérations et les faire évoluer le cas échéant. C’est d’ailleurs grâce à ce travail préparatoire que 70% des délibérations du dernier conseil communautaire ont été votées à l’unanimité (dont celles relatives au schéma départemental de coopération intercommunale et au programme local de l’habitat), 10% à l’unanimité moins un vote et 20% à la majorité.
Tout cela peut-être chronophage mais il convient de rappeler que les conseils communautaires n’ont lieu que tous les deux mois. N’est-il pas normal, pour des élus, de consacrer quelques heures de leur temps tous les deux mois à l’examen de dossiers qui engagent l’avenir de notre territoire ? Par ailleurs, Le président du Grand Narbonne a décidé depuis le 1er avril, de mettre à disposition de chaque groupe un collaborateur qui participe aux commissions et constitue une aide précieuse pour travailler en amont des conseils communautaires.
Nous, les élus du groupe « Grand Narbonne Notre Avenir » disons stop à la politique spectacle ! La délibération portant sur la loi NOTRe en est un parfait exemple. Simple incompréhension ou malveillance, cette délibération qui ne comporte aucune décision à l’initiative du Grand Narbonne puisqu’elle est une simple mise en conformité obligatoire devant intervenir avant le 1er janvier 2017 (faute de quoi le Préfet interviendra en substitution), est devenue un mauvais vaudeville qui n’a fait rire personne et jette le discrédit sur la classe politique entière. Il est facile de parler de « débat nourri et de parodie d’exercice» quand six élus du groupe d’ouverture nourrissent plus d’une heure d’intervention totalement déconnectée du contenu de la délibération. La majorité des élus l’aura bien compris, Le Grand Narbonne n’a fait que soumettre au vote un texte règlementaire en application de la loi, avec pour résultat, une délibération adoptée par 46 voix pour et 30 contre, 1 nul (77 votants). Il est grand temps que les élus Nouveau Narbonne respectent le mandat de conseiller communautaire qui leur a été directement confié par les électeurs et acceptent que l’Agglo avance et qu’elle mène des projets au service du développement du territoire et de ses habitants.
Nous avons également été étonnés de l’en-tête du courrier « Nouveau Narbonne ». Les élus de la majorité narbonnaise appartiennent pourtant au Groupe d’ouverture au sein du Grand Narbonne, dont certains représentants, non-narbonnais, ont fait le choix de travailler activement sur les dossiers du territoire. En réalité, les élus Nouveau Narbonne tentent d’importer les débats municipaux au sein de l’Agglo, ce qui n’est pas le lieu. Avec un objectif qui semble aujourd’hui limpide aux yeux de tout le monde : polluer le travail des élus au service de notre territoire et de ses 127 000 habitants.
Un autre paradoxe est à souligner. Les élus, qui fustigent les deux premières années d’activité de ce nouveau mandat en dénonçant à tout va l’immobilisme du Grand Narbonne, sont les mêmes qui se plaignent du grand nombre de dossiers sur lesquels ils doivent délibérer ! 95 délibérations parmi lesquelles figuraient notamment, la nouvelle délégation de service public pour les transports, le programme local de l’habitat, les subventions pour les cœurs et traversées de villages, la poursuite du pôle santé à Montredon, et même les comptes administratifs sanctionnant la gestion 2015 du Grand Narbonne qui ont été approuvés à l’unanimité… Tous les élus devraient être fiers d’avoir autant de délibérations sur lesquelles se positionner : au lieu de cela, les élus Nouveau Narbonne se plaignent du travail que cela génère !
Quant aux conditions d’accueil des élus au siège du Grand Narbonne, là encore nous sommes stupéfaits que Monsieur Mouly, qui a refusé de continuer, comme par le passé, à mettre gratuitement à la disposition des séances du conseil communautaire la grande salle du Palais du Travail, se permette de se plaindre. Les Conseils communautaires pourraient se tenir dans d’autres lieux. Mes ces « déménagements » seraient synonymes de dépenses. Il y a fort à parier que les élus de Nouveau Narbonne les jugeraient inutiles et accuseraient le Grand Narbonne de mauvaise gestion des deniers publics. Si les élus Nouveau Narbonne trouvent la grande salle du rez-de-chaussée (où travaillent une partie des fonctionnaires du siège tout au long de l’année sans se plaindre eux des conditions de climatisation), elle a au moins l’avantage d’être accessible à tous et notamment aux personnes à mobilité réduite.
Lire la suite |
|
|
24 juin 2016
Le conseil municipal de jeudi soir a confirmé les choix de M. MOULY : les associations de Narbonne sont mises au régime sec ! (Lire la presse jointe).
L'opposition J'Aime Narbonne a déploré cette politique et s'est abstenue au moment du vote des subventions, d'autant plus qu'un problème de légalité concernant l'aide attribuée à un Pôle université catholique fait planer une menace sur l'ensemble des subventions.
Au cours de ce même conseil, l'analyse du compte administratif de 2015 montre que la Ville de Narbonne a réalisé un niveau historiquement bas d'investissements, ce qui démontre l'immobilisme de la municipalité au-delà des coups de communication et de la poudre aux yeux...
Durant tout ce conseil, M. MOULY s'est montré particulièrement agressif à l'encontre de l'opposition, multipliant les invectives et les menaces sans fondement et donnant une nouvelle fois une image contraire à celle d'un maire qui travaille pour l'intérêt général. D'ailleurs, Jacques BASCOU le lui a rappelé en ces termes : "M. MOULY, nous ne sommes plus en campagne électorale. Cessez de faire une fixation sur l'agglo et son président. Vous êtes maire, et vous devriez tôt travailler... "
Hélas, il n'y a pas grand chose à voir !
Lire la suite |
|
|
19 mai 2016
Quand M. MOULY et son adjoint M. PARRA se prennent pour des concessionnaires auto, voici le résultat...
Sans commentaire !
Lire la suite |
|
|
12 mai 2016
M. MOULY qui aime à se faire appeler « maître » jusque dans ses fonctions de maire, a fait voter une délibération illégale lors du dernier conseil municipal.
C'est la sous-préfecture qui le dit et demande au maire de retirer cette délibération concernant le transfert de l'Office de Tourisme à la communauté d'agglomération.
Ce n 'est jamais un bon signe de gestion pour un maire (qui plus est avocat) d'être pris en défaut par le contrôle de légalité de l'Etat.
Mais en plus, la presse nous indique ce matin que la mairie pourrait traîner des pieds et laisser le débat se trancher devant le tribunal administratif, de manière à retarder l'application de la loi concernée. Il semble que Monsieur MOULY et Maître MOULY soient parfaitement d'accord entre eux quand il s'agit de détourner la Loi.
Lire la suite |
|
|
4 mai 2016
Dans la presse de Narbonne et Béziers, les lecteurs ont pu juger de l'action de leurs élus.
D'un côté on voit M. MOULY, associé à M. MÉNARD, annoncer des festivités autour du Canal du Midi (ce qui d'ailleurs n'est pas une nouveauté), et afficher des intentions en matière de nettoyage des rives de ce Canal et de la Robine. On se souvient que M. MOULY avait présenté, à grand renfort de communication, un "commando" dédié à cette tâche. Hélas, le résultat est loin d'être probant comme l'a indiqué la presse, il y a quelques semaines, en publiant une photo d'immondices autour de l'écluse de la Charité.
Bref, cette sollicitude très médiatisée envers nos canaux, dont la gestion n'est pas de la compétence des communes, semble surtout destinée à faire oublier l'inaction et la paralysie des maires de Narbonne et Béziers sur les sujets qui concernent l'avenir des territoires, notamment le développement économique.
Ces sujets sont traités par les présidents et les élus des agglomérations et des communautés de communes qui se sont associés au sein de Coeur du Languedoc sous l'impulsion de Jacques BASCOU, Président du Grand Narbonne, et de Frédéric LACAS, Président de la Communauté d'Agglomération Béziers-Méditerranée.
Tandis que MM. MOULY et MÉNARD annoncent leurs fêtes de l'eau, Jacques BASCOU et ses associés au sein de Coeur du Languedoc confirment la création d'une agence commune de développement économique d'ici fin 2016.
En effet, chacun jugera de l'importance des enjeux et de l'action des élus... Lire la suite |
|
|
15 avril 2016
Récemment, M. CÉSAR, directeur de l'Office de Tourisme de Fleury, mais surtout adjoint de M. MOULY à l'Education, à la Jeunesse et à la Communication, était sur tous les fronts et squattait les gazettes locales.
Dans les couloirs de l'Hôtel de Ville, il avait gagné le surnom de "chouchou du maire"... C'est sans doute ce qui lui a donné des ailes pour se lancer à corps perdu à la conquête de la présidence départementale du parti Les Républicains, bravant sans sanction le soit-disant principe d'apolitisme de Nouveau Narbonne.
Mais la tentative a fait un flop retentissant, renvoyant M. CÉSAR à un anonymat rendu d'autant plus nécessaire en raison de la menace qui planait sur sa tête d'une condamnation pénale pour des violences commises à l'encontre de son supérieur hiérarchique, le Directeur des services de la Ville de Fleury.
Cette sanction vient de tomber : deux mois de prison avec sursis et 500 € d'amende... (lire la presse ci-dessous)
Reste à savoir ce que va en dire M. MOULY ? Sera-t-il prompt à sanctionner son "chouchou" lui dont le bras n'avait pas tremblé lorsqu'il s'est agi de se séparer de son directeur de cabinet, simplement mis en cause, et donc présumé innocent, dans une affaire de carambouille sur de la viande de cheval ?
En attendant, contentons nous d'une certitude : M. CÉSAR donne un exemple à ne pas montrer aux enfants et à la jeunesse...
Lire la suite |
|
|
6 avril 2016
M. MOULY démontre chaque jour qu'il est prêt à tout pour réaliser sa "grande salle" multimodale et l'on sait déjà que son ambition pharaonique va coûter très cher à la collectivité narbonnaise.
Ce coût, les Narbonnais doivent le connaître et il est du devoir de l'opposition J'Aime Narbonne de le révéler au fur et à mesure que se dévoilent les aberrations de ce projet.
1. LE MASSACRE DU PARC DES SPORTS
La semaine dernière, la presse faisait état de sondages archéologiques préventifs sur l'emprise du Parc des Sports. En effet, c'est bien au milieu de ce poumon vert à l'orée du centre ville que M. MOULY veut implanter sa salle.
Le préjudice pour la collectivité est immense tant il est vrai que ce lieu est cher aux Narbonnais qui y pratiquent le footing ou tout simplement la promenade en famille. Par ce choix, M. MOULY altère la qualité de vie des Narbonnais.
2. LE COÛT PHARAONIQUE
La presse nous indique que cinq groupements formés d'entreprises du BTP et de cabinets d'architecture ont été retenus dans le cadre d'un marché de conception-réalisation lancé par la commune de Narbonne fin décembre 2015.
Tout un chacun peut consulter les détails de ce marché sur lie site du Bulletin officiel des annonces de marchés publics http://www.boamp.fr/avis/detail/15-...
Ce qu'on y lit est édifiant à plusieurs titres.
Il est question d'un coût projeté de 16,8 millions d'euros pour une salle principale (jusqu'à 5 000 places) plus une salle secondaire dite "en configuration handball". Faut-il rappeler que M. MOULY a déjà dépensé près de 900 000 euros pour sa bulle gonflable à l'Espace de Liberté, elle même destinée au handball ? Comprenne qui pourra...
Toujours est-il que les 16,8 millions d'euros annoncés n'incluent pas les travaux d'aménagement du site et les parkings, ce qui implique que la facture atteindra et dépassera certainement les 20 millions d'euros d'investissement.
Dans cette facture, il faudra inclure 500 000 euros pour les seules primes accordées aux cinq groupements candidats admis à présenter un projet, à raison de 100 000 euros par projet. Ces sommes sont d'un niveau très inhabituel dans ce genre de marché et témoignent d'une générosité troublante dans l'emploi de l'argent public. Pour quelle raison ? M. MOULY devra l'expliquer aux Narbonnais.
De la même manière, M. MOULY devra aussi dire aux Narbonnais combien coûtera le fonctionnement, sachant que les ratios ordinaires pour se genre d'équipement placent la barre entre 1,5 et 2 millions d'euros par an... Et tout cela pour une "grande salle multimodale" dont M. MOULY n'est toujours pas capable d'expliquer l'utilité et le but, sinon pour justifier un engagement électoral...
3. L'ABANDON DE PROJETS BIEN PLUS ESSENTIELS ET DES ÉCONOMIES SUR LE DOS DES NARBONNAIS
M. MOULY devra aussi expliquer comment, après avoir ainsi ponctionné le budget de la ville et privé celle-ci de toute marge de manoeuvre, il entend poursuite le nécessaire entretien des nombreux stades, gymnases et autres équipements sportifs de Narbonne.
M. MOULY devra répondre de l'abandon de projets bien plus essentiels pour la collectivité narbonnaise que sont l'école de Montplaisir, le prolongement de l'aménagement des Barques jusqu'au Théâtre, la poursuite de l'aménagement de Narbonne Plage ou le soutien à l'implantation du Musée de la Romanité.
Alors qu'il accorde généreusement 500 000 euros pour rétribuer les candidats à la conception-réalisation de sa grande salle, M. MOULY devra répondre en parallèle des coups de serpe dans l'aide aux associations, des économies de bout de chandelle sur les chocolats des seniors et sur les livres de Noël des enfants des maternelles, mais aussi de la suppression de l'heure gratuite de stationnement aux abonnés de la Médiathèque, et plus généralement sur les errements de la politique culturelle de son adjoint M. PENET.
La "grande salle" de M. MOULY c'est déjà la chronique d'une catastrophe annoncée.
Lire la suite |
|
|
1er avril 2016
Le vote du budget du Grand Narbonne, jeudi soir, a démontré un nouveau rétrécissement de l'opposition systématique conduite rageusement par Nouveau Narbonne depuis mars 2014.
Ce budget, qui fait état d'une gestion rigoureuse et ambitieuse, avec une maîtrise des dépenses, avec 55 millions d'euros d'investissements et un très faible recours à l'emprunt (lire article ci-contre), a reçu l'approbation de 51 membres du conseil contre seulement 25 votes contre.
Il faut rappeler que cette opposition hétéroclite a compté jusqu'à 31 membres en son sein. Mais à force de diviser, de dénigrer sans cesse et sans raison, et de refuser toute participation au travail collectif du Grand Narbonne, cette opposition a déjà perdu six de ses membres, jusques et y compris dans les rangs de Nouveau Narbonne.
Voilà où mène la politique de la terre brûlée de M. MOULY et de son premier adjoint M. MALQUIER qui, semble-t-il, trouve dans cette opposition stérile au Grand Narbonne, le seul moyen d'exister sur la scène narbonnaise, tant son absence dans les affaires municipales devient manifeste.
Et ce même M. MALQUIER, qui ne participe à rien au Grand Narbonne, a eu le toupet de proposer au président Jacques BASCOU de "travailler ensemble pour penser le territoire dans sa globalité, avec ambition..."
Ce à quoi Jacques BASCOU a répondu du tac au tac : "J'attends depuis deux ans...Vous dites qu'on ne fait rien mais sachez que notre agglo est citée en exemple à l'extérieur. Vos débats partisans ne m'intéressent vraiment pas..." Oui, Nouveau Narbonne s'enferre chaque jours davantage dans la petite politique qui consiste à diviser, dénigrer, brimer et faire que Narbonne, hélas, est en train de se recroqueviller dans un isolement dangereux et préjudiciable pour ses habitants.
Lire la suite |
|
|
31 mars 2016
Non content d'appliquer la double peine vis-à-vis de l'ensemble des associations narbonnaises (lire le post ci-dessous), Nouveau Narbonne continue de brimer sans vergogne des associations jugées d'utilité publique.
Après l'UFC-Que Choisir ?, virée sans ménagement d'un local que lui avait attribué l'équipe de Jacques BASCOU quelque mois auparavant, c'est au tour de l'association caritative Saint-Vincent-de-Paul d'être éjectée de son local avenue Général Leclerc où elle venait en aide à de nombreuses familles dans le besoin.
L'association est contrainte d'arrêter aujourd'hui son activité et reste en attente d'une solution de relogement.
C'est un fait : Nouveau Narbonne n'aime pas les associations qui luttent contre la précarité, pas plus que les associations culturelles. Oui, vous ne rêvez pas : nous ne sommes pas chez M. MÉNARD, à Béziers, mais bien chez MM. MOULY ET PENET, hélas à Narbonne...
Lire la suite |
|
|
25 mars 2016
A l'occasion du dernier conseil municipal du 24 mars 2016, la majorité municipale a décidé de faire payer les salles et le mobilier appartenant à la commune à toutes les associations déjà fort pénalisées par les baisses voir suppression de subventions décidées par M. MOULY.
Le groupe j'Aime Narbonne a voté contre cette délibération. Voici l'intervention de son porte parole, Nicolas SAINTE-CLUQUE :
"Comme vous le savez tous, les associations quel que soit leur domaine d’action participent activement à la vie de la Cité, à son dynamisme, son rayonnement et son attractivité. Le monde associatif est porté par des femmes et des hommes bénévoles qui ne comptent ni leur temps ni leur énergie pour permettre à la population de pratiquer du sport, de se cultiver… Ils participent donc à construire du lien social et à se sentir Narbonnais. D’ailleurs, vous le reconnaissez vous-même régulièrement dans les Assemblées générales et vous vantez même, sur le site internet de la Ville, d’être « le premier partenaire des associations narbonnaises ». Malheureusement et comme toujours depuis deux ans maintenant, la réalité de vos déclarations publiques et de vos communicants, ne collent pas à la réalité de votre gestion et de vos actes. En effet, le premier partenaire des associations que vous êtes, a, dès son élection, fait subir une véritable cure d’austérité à nombre d’associations. Certes, vous avez justifié votre décision par une prétendue baisse des dotations de l’Etat. Mais là aussi, la réalité ne colle pas avec vos déclarations publiques puisque vous êtes finalement contraint d'avouer, à l'occasion du vote du budget, que la ville ce Narbonne n'est nullement impactée par une baisse des dotations de l'Etat, bien au contraire ! Aujourd’hui, vous allez voter un texte qui va contraindre les associations narbonnaises, je dis bien narbonnaises, à devoir payer les salles et toutes les prestations qui peuvent s’y rattacher sans donner les explications réelles qui vous poussent à agir dans ce sens. Certes vous allez nous parler de gestion en bon père de famille. Mais cet argument ne résiste pas à l'analyse ! Ce soir, si vous votez ce texte, vous allez condamner les associations de Narbonne et leurs bénévoles à la double peine : - Suppression ou baisse de leurs subventions, - Obligation de payer les salles, les chaises, les tables. Vous poursuivez donc votre politique de mise à mal des associations et cela aura inévitablement des conséquences non négligeables, pour ne pas dire graves pour ces femmes et hommes qui s’investissent sans compter pour le bien être de la population Narbonnaise. Cette approche purement comptable est pour nous un non-sens total pour, au final, quel véritable gain financier ? Le rôle des élus municipaux est de permettre à chaque association de s’exprimer, de s’épanouir et construire ainsi du lien social. Certes il faut un contrôle car il s’agit d’argent public. Nous avions fait le choix de soutenir et accompagner les associations, vous faites malheureusement le choix inverse de les asphyxier. Vous comprendrez dès lors que nous ne puissions voter pour une délibération qui va à l'encontre de l'intérêt du monde associatif."
Lire la suite |
|
|
25 mars 2016
L'association culturelle A tout bout d'chant vient d'être sommée, par l'avocat de la Ville, de quitter les locaux qu'elle occupe par convention sur la concession portuaire de la Société Nautique.
Signée par l'ancienne équipe dirigeante de la SNN et validée par la Ville en 2013, cette convention prévoit une occupation des locaux jusqu'en avril 2017. Or, depuis l'arrivée de Nouveau Narbonne à la mairie et celle du conseiller municipal NN, M. DÉJEAN, à la tête de la SNN, l'association a subi les foudres de ces nouvelles gouvernances.
Une tentative de conciliation entre A tout bout d'chant et la SNN ayant échoué, l'association estime qu'elle est fondée à occuper les locaux jusqu'au terme de la convention en vigueur, afin de trouver un local de substitution à ses activités culturelles. Face à la décision brutale de la Ville, le Président de l'association, Olivier NUNGE, entend réagir et mobiliser. Il a notamment lancé une pétition sur le site www.atoutboutdechant.com
***
Une fois de plus la Ville montre sa brutalité à l'égard d'associations culturelles qui n'ont pas l'heur de lui plaire.
Faut-il rappeler la longue liste des brimades subies par le Festival Sportfolio, par la Biennale de l'Aquarelle, par le Festival Trenet jeté aux oubliettes, mais aussi par un sympathique dessinateur viré des Halles, par les parents des enfants de maternelles privés de livre à Noël, par les lecteurs de la Médiathèque privés de l'heure de parking gratuit offerte depuis toujours ? Faut-il encore rappeler le désengagement de la Ville dans le Musée de la Romanité et les récents déboires de l'Aspirateur qui font planer une menace réelle sur la survie du lieu d'art contemporain ?
Avec M. PENET à la Culture, sous l'égide M. MOULY, c'est le règne de l'inculture qui préside et celui d'un autoritarisme d'un autre âge.
Lire la suite |
|
|
22 mars 2016
La polémique née entre la municipalité de M. MOULY et le photographe Louis Jammes pose la seule et vraie question qui vaille : quel avenir pour l'Aspirateur, le lieu d'art contemporain de Narbonne créé par l'équipe de Jacques BASCOU qui avait su fédérer autour de ce projet ?
Cette question a été posée ce matin dans
les pages culturelles régionales du Midi Libre. On attend que M. MOULY et son adjoint à la Culture M. PENET y répondent, eux qui ont décidé de clore la parole après avoir fermé l'Aspirateur la semaine dernière.
Un silence qui ne dit rien de bon pour la suite.
Lire la suite |
|
|
23 février 2016
M. MOULY a remis la semaine dernière des médailles aux employés municipaux.
Question : M. MOULY a-il prévu une décoration pour les victimes de la "chasse aux sorcières" qui frappe l'hôtel de ville depuis mars 2014 ?
Elle pourrait être remise à titre posthume et porter cette mention :
"Tombé au champ du déshonneur de Nouveau Narbonne". Lire la suite |
|
|
23 février 2016
Tout dernièrement, la presse de Narbonne dressait le constat d'un désintérêt pour Charles Trenet de sa ville natale, alors que le Fou chantant est célébré partout et reste le neuvième personnage français le plus célèbre dans le Monde...
Interrogé, notamment sur la fréquentation de la Maison Trenet, l'adjoint à la
Culture, Yves PENET, a fait une réponse en forme d'aveu de désintérêt : "Les gens visitent la maison par curiosité. En fait ce qui intéresse le public c'est la Narbonne antique et médiévale." Après avoir abandonné le Festival Trenet, qui rayonnait sur tous les grands médias français et jusqu'à l'étranger (le Japon notamment est fou de Trenet), la municipalité Nouveau Narbonne est en train de négliger le patrimoine lié au géant de la chanson française.
Mais le plus extraordinaire dans la "pensée" de M. PENET c'est qu'il affirme l'importance de la Romanité pour le tourisme alors que son patron M. MOULY et lui-même viennent de priver Narbonne de toute implication dans la gestion du futur Musée régional de la Narbonne antique...
Au final M. PENET montre aux Narbonnais qu'il se désintéresse tout autant de la Romanité que de Trenet. Une politique des plus dangereuses pour le tourisme et l'économie.
Lire la suite |
|
|
19 février 2016
S'opposer pour s'opposer et cela au mépris des intérêts des administrés... C'est l'attitude déplorable adoptée par Nouveau Narbonne au conseil d'agglomération du Grand Narbonne.
Jeudi soir, les élus de Nouveau Narbonne ont voté contre la désignation des représentants du Grand Narbonne au sein du comité de pilotage qui doit gérer les fonds européens attribués dans le cadre des Approches territoriales intégrées (ATI).
En l'occurrence il s'agit du volet urbain de cette ATI qui concerne pour Narbonne rien de moins que la création d'une maison de quartier dans le Bourg, une maison pluridisciplinaire à St Jean/St Pierre, la revitalisation du pôle commercial de Razimbaud et des liaisons cyclables. Au total, ces projets mobiliseront 1,3 millions d'euros de subventions européennes.
Est-ce l'attitude d'élus responsables que de s'opposer à des projets d'intérêt général ?
MAIS À QUEL CAPITAINE PENSE M. MALQUIER
QUAND IL IRONISE ?
19 février 2016
M. MALQUIER, premier adjoint de
M. MOULY, omniprésent au début du mandat mais devenu quasiment invisible depuis quelques mois, réserve ses seules apparitions et interventions au Conseil commu- nautaire du Grand Narbonne.
Jeudi soir, il a choisi le ton de l'ironie pour commenter le projet de budget du Grand Narbonne pour 2016 ("A vous entendre tout va bien. Le bateau flotte et le capitaine est là !") sans apporter de critique sérieuse sur la gestion de l'agglomération.
En effet, les orientations budgétaires présentées par la vice-présidente aux finances, Viviane DURAND, indiquent que le Grand Narbonne est un bateau aux structures saines (dépenses et fiscalité maîtrisées) piloté par le capitaine Jacques BASCOU qui donne un cap (priorité à l'investissement dans un but de développement économique du territoire).
En revanche, on n'est pas interdit de penser que l'intervention de M. MALQUIER s'adressait par ricochet à celui qui dirige la barque de la mairie, M. MOULY lui-même.
M. MALQUIER est en effet dans la position inconfortable du second qui assiste en silence et impuissant aux décisions autoritaires et irréfléchies de ce capitaine sans boussole et sans objectif sinon celui d'une obsédante île miraculeuse : la grande salle à 20 millions...
M. MALQUIER croyait être un vice-capitaine fort de prérogatives, mais il en est réduit à constater la mise par dessus bord de quelques membres d'équipage (MM. JULES et ORRIT), et se demander : "A qui le tour ?"
Oui, la mairie de Narbonne est un petit remake de la célèbre Odyssée de la Bounty dans laquelle M. MALQUIER est dans la peau du Fletcher Christian qui ronge son frein.
Ira-t-il jusqu'à la mutinerie ?
OUI ! J'AIME NARBONNE A POSÉ LA BONNE QUESTION
CONCERNANT M. MALQUIER
22 février 2016
Après le conseil communautaire du Grand Narbonne de jeudi dernier et
l'intervention ironique de M. MALQUIER sur la conduite du Grand Narbonne, J'Aime Narbonne avait posé une question légitime sur le positionnement du Premier adjoint de M. MOULY, promu au rang de vice-maire en mars 2014, omniprésent pendant les premiers mois du mandat et désormais absent et silencieux sur la scène municipale. La réponse est arrivée dimanche sous la forme d'un communiqué d'une virulence inouïe au terme duquel M. MALQUIER jure de son "indéfectible soutien" à M. MOULY et de "sa fierté de travailler" avec lui. Quand on a besoin de clamer si haut et fort sa fidélité et sa fierté, c'est bien qu'elles ne coulent pas de source. Oui ! J'Aime Narbonne a posé la bonne question concernant les relations entre M. MALQUIER et M. MOULY, et plus largement sur les dissensions évidentes qui agitent Nouveau Narbonne. Lire la suite |
|
|
9 février 2016
Organisé par la municipalité, le loto des foyers des séniors de Narbonne a eu lieu dernièrement à Narbonne-Plage... et les participants n'en reviennent toujours pas.
En tout et pour tout, ils se sont vu proposer de tirer deux quines, deux double quines et deux cartons pleins, avec un paquet de gâteaux pour les quines, un paquet de gâteaux et de sucre pour les double quines et un paquet de gâteau et de sucre plus une bouteille d'huile pour les cartons pleins...
Ajouté à la portion congrue sur les chocolats de Noël, les séniors de Narbonne disent partout qu'avec M. MOULY ils ont tiré le gros lot...
Lire la suite |
|
|
8 février 2016
Le chantier du Musée de la Romanité est entré dans sa phase préparatoire. Malgré les frilosités de l'actuelle municipalité, qui ne semble pas en saisir l'importance pour le rayonnement de Narbonne au coeur de la nouvelle grande région, ce projet sera abouti début 2019.
Le professeur Jacques MICHAUD, Président de la Commission archéologique et littéraire de Narbonne, initiateur du projet auprès de Georges FRÊCHE, s'est exprimé sur les ondes de Grand Sud FM, pour expliquer toute la portée de ce grand projet (écouter ci-dessous).
Lire la suite |
|
|
4 février 2016
Nouveau Narbonne organisait, il y a deux semaines, une grande opération de communication pour expliquer aux Narbonnais que quatre employés municipaux avaient été spécialement formés pour nettoyer les berges et des eaux du Canal de la Robine dans la traversée de Narbonne. Les armes de ces agents de propreté sont des barques et des épuisettes.
Or, hier, la presse publiait une photo éloquente d'un état des lieux très dégradé au niveau de l'écluse du Quai Dillon (voir ci-contre).
Il semble donc que, derrière la communication dont raffolent et abusent Nouveau Narbonne et M. MOULY, il n'y ait souvent que du vide. Et en l'occurrence un trop-plein de déchets dans la Robine...
Lire la suite |
|
|
1er février 2016
Les radars pédagogiques qui fleurissent ça et là sur les routes et dans les agglomérations sont de bons outils de prévention pour inciter les automobilistes à réduire leur vitesse. Leur généralisation est sans doute souhaitable.
Cependant les deux radars qui viennent d'être installés boulevard Mistral ont un goût amer pour les Narbonnais. Offerts par un généreux assureur du quartier, avec la bénédiction du maire qui est venu poser pour la photo, ces deux équipements ne feront pas oublier que M. MOULY a lui même augmenté la dangerosité de ce boulevard en déplaçant autoritairement l'arrêt de bus situé devant son propre cabinet professionnel. Déplacement qui avait entraîné un lourde dépense inutile pour les contribuables et occasionné l'abattage d'un platane.
Aujourd'hui M. MOULY ne doute de rien : il se pare du costume de la vertu en comparant ce secteur à une "zone d'incivilité" alors qu'il a lui-même montré un comportement incivique guidé par son intérêt particulier, au mépris de l'intérêt général.
Pour les Narbonnais ces deux radars rappellent clairement la conduite dangereuse du maire...
Lire la suite |
|
|
24 janvier 2016
« Narbonne au cœur des possibles »... Bricolé en toute hâte, à la place d’un « esprit d’ouverture » inaccessible à la municipalité Nouveau Narbonne, ce slogan voudrait suggérer que ces « possibles » parlent de lendemains qui chantent.
Or, parmi tous les « possibles », il y a le pire ! Et cette possibilité semble hélas la plus probable après presque deux ans de règne de M. MOULY à la tête de la ville. Force est en effet de constater que le contenu du conseil municipal de jeudi soir (28 janvier) a démontré l’approximation des choix de M. MOULY et le danger qu’ils représentent pour les administrés narbonnais. Quelques exemples :
1. Interrogés sur le coût de fonctionnement de la structure gonflable installée près de l’Espace de Liberté ni M. MOULY ni son adjointe à l’urbanisme n’a pu en évaluer le coût de fonctionnement (dépenses énergétiques) indiquant benoîtement qu'il convenait d'attendre un an d'usage pour le connaître.
2. M. MOULY a écourté autoritairement le débat sur les orientations budgétaires de l’année 2016, au cours duquel Marc ORTIZ, conseiller de J’Aime Narbonne, pointait un grand nombre d’incohérences, notamment sur le montant des reports d’investissements. Si ce débat avait eu lieu, l’opposition aurait pu souligner la dangereuse augmentation de la dette qui attend les contribuables narbonnais, ceci pour satisfaire au caprice de la « grande salle » de M. MOULY, lequel a été forcé de reconnaître que la ville de Narbonne n'était pas touchée par une baisse des dotations de l'État.
3. A propos d’une installation photovoltaïque sur le parking de la Maison des Services à St Jean-St Pierre par un prestataire privé, sur interrogation de Nicolas SAINTE-CLUQUE, M. MOULY est encore une fois incapable de donner des précisions sur l'évaluation des subsides qui reviendront en contrepartie à la ville et fait cette réponse incroyable : « On verra plus tard ! ». Plus grave encore, sur interrogation de Catherine BOSSIS, il reconnaît ne pas avoir consulté les habitants limitrophes et le conseil de quartier de Saint Jean Saint Pierre avant que d'envisager une telle installation.
Pour les Narbonnais c’est tout vu : ils constatent hélas que cette mairie est un bateau à la dérive, avec un pilote sans boussole et un équipage inexpérimenté, ou à tout le moins dérouté par les décisions irréfléchies de ce capitaine.
Lire la suite |
|
|
24 janvier 2016
J'Aime Narbonne a sa maison. Ainsi que nous l'avions annoncé depuis quelques mois, le siège de l'association et du groupe des élus de J'Aime Narbonne est une réalité qui s'inscrit dans le paysage de la ville, au 18 avenue Pierre-Sémard.
Les très nombreux Narbonnais qui se sont joints à nous, samedi 23 janvier, ont pu constater la force du travail militant qui a permis d'aménager de manière séduisante et fonctionnelle cet ancien local commercial. L'investissement des bénévoles a été naturellement souligné par les orateurs de cette inauguration, le président Jacques BAILLAT, le secrétaire général Guillaume MASSON, le porte-parole du groupe Nicolas SAINTE-CLUQUE et le président d'honneur Jacques BASCOU.
De fortes paroles ont été prononcées à cette occasion, pour rappeler les objectifs et la philosophie de J'Aime Narbonne, son engagement au service de Narbonne et de ses habitants, dans la continuation de "l'esprit d'ouverture".
Jacques BASCOU, dans un discours très noble et responsable, a notamment insisté sur l'obligation de rassembler les Narbonnais et de reconstruire autour d'un projet. Conditions qui feront que l'échec de mars 2014 "sera un épisode qu'on oubliera vite". (lire la presse ci-contre).
Nicolas SAINTE-CLUQUE a porté le même message et souligné combien cette "responsabilité collective" était nécessaire afin d'être en mesure, demain, de redonner à Narbonne un vrai projet d'avenir construit avec et pour les Narbonnaises et les Narbonnais.
Lire la suite |
|
|
21 janvier 2016
Jean-Marie ORRIT, conseiller municipal Nouveau Narbonne, vient de se voir privé de toutes ses délégations pour avoir commis un crime de lèse-apolitisme en se présentant aux élections régionales sur la liste de M. SAUREL, le maire de Montpellier (lire l'extrait de presse ci-joint). Les arguments présentés par M. MOULY sont de la plus parfaite mauvaise foi et d'une hypocrisie absolue quand on se souvient que ce même M. MOULY avait fait des pieds et des mains pour être candidat à ces régionales, comme tête de liste de Les Républicains. Souvenons-nous du ballet tragicomique du mois de juin dernier : il n'était pas candidat le 8, il l'était formellement le 13 et ne l'était plus le 17... Pour finalement se faire damer le pion par M. PY, maire de Leucate.
Faut-il en conclure que s'il avait été candidat, il se serait démis de ses délégations de maire ?
Par ailleurs, M. MOULY sanctionne M. ORRIT mais tolère en même temps que son adjoint M. CÉSAR brigue des responsabilités éminentes au sein du parti de droite Les Républicains. C'est l'apolitisme à géométrie variable... ce qui en langage commun s'appelle "le bal des faux-culs".
Lire la suite |
|
|
19 janvier 2016
Au siège de Nouveau Narbonne, M. MOULY a dévoilé avant-hier son unique projet : "On marquera Bascou à la culotte"... Programme assorti d'un sous-projet : "Empêcher Bascou d'avoir du ventre et des charentaises..." (voir ci-contre). L'élégance et la profondeur de ces propos n'aura pas échappé aux Narbonnais, pas plus que la hauteur de vue et le sens des priorités de celui qui est censé conduire la politique de la Ville dans des temps difficiles et troublés.
Mais trêve d'ironie ! Hélas la triste réalité est bien là, devant les yeux des Narbonnais. Chaque jour qui passe démontre que le maire n'est pas à la hauteur de la mission qui lui incombe.
Qu'a-t-il fait depuis mars 2014 ? De la poudre aux yeux, du "pétassage" de rues, de basses polémiques de comptoir, de la concertation de façade masquant un réel mépris des citoyens. Et aussi des décisions à l'emporte pièce comme la valse hésitation de Sportfolio, l'arrêt du Festival Trenet et de la biennale de l'aquarelle. Et encore des coups de mentons, avec la "chasse aux sorcières en mairie", le tour de vis aux associations. Et toujours des coups tordus pour sanctionner un restaurant à La Nautique, éteindre la lumière sur la stèle d'un ancien maire à Narbonne-Plage et même pour s'en prendre à un dessinateur au centre des Halles. Enfin, M. MOULY n'oublie pas les coups de pouce aux amis (telle la large subvention à un club de foot qu'il a jadis présidé) et à lui-même (déplacement à grands frais d'un arrêt de bus devant son cabinet professionnel)...
Cette liste très incomplète, c'est le triste bilan de M. MOULY depuis bientôt deux ans. Le seul mérite que l'on puisse lui reconnaître est d'avoir inauguré ou maintenu (souvent avec mauvaise humeur et mauvaise foi) les nombreux projets d'intérêt public lancés par l'équipe de Jacques BASCOU (deux crèches, le centre multiculturel de Narbonne-Plage, quartier de la caserne Montmorency, etc). Mais il a néanmoins stoppé l'indispensable projet d'école à Montplaisir, et s'est dernièrement désengagé du fonctionnement du Musée de la Romanité.
Oui M. MOULY n'a aucun vision de la ville de demain car M. MOULY est dominé par une obsession : c'est la grande salle multimodale, aussi coûteuse qu'inutile, qu'il veut réaliser coûte que coûte sans même être capable de nous dire à ce jour où elle se situera exactement.
Il est probable que M. MOULY souffre d'une autre obsession devant les compétences, la maîtrise, le sens de l'intérêt général, du dialogue et de l'ouverture de Jacques BASCOU. Bien incapable de se hisser à ce niveau et de donner à Narbonne tout le rôle qui lui revient au sein de la Communauté d'agglomération, M. MOULY invective, menace, injurie et se complet dans des phrases au ras des pâquerettes. Cette attitude ne déconsidère que M. MOULY lui-même. Cependant, parce qu'il est le maire, elle donne une mauvaise image de Narbonne.
Mais peut-être, aussi, avec le peu de sens politique que son entourage s'échine à lui inculquer, M. MOULY essaie-t-il, par ses propos outranciers, d'endiguer un début de désintégration du groupe Nouveau Narbonne ? Cela est hautement probable...
Jacques Bascoufait la seule réponsequi vaille aux attaquesgrossièresde M. Mouly
Lire la suite |
|
|
16 janvier 2016
La presse rapporte ce matin la cérémonie des voeux au personnel municipal et met l'accent sur le discours très étrange de la Directrice générale des services qui résume sa mission à celle d'un conducteur d'autobus... On verra en lisant le compte rendu de la presse (ci-contre) avec quelle délicatesse et quel sens de l'à propos cette fonctionnaire considère le personnel municipal, particulièrement ceux dont la place est celle des valises dans le coffre de l'autobus.
Mais la Directrice aurait pu pousser sa métaphore jusqu'au bout et évoquer, dans le sillage de ce bus cahoteux, la charrette des condamnés dans laquelle ont pris place, depuis mars 2014, les très nombreux agents qui ont subi la "chasse aux sorcières", et ceci malgré les promesses de campagne de M. MOULY...
VOEUX MUNICIPAUX (SUITE) :
APRÈS LA "MÉTAPHORE DE L'AUTOBUS",
LES MARRONS CHAUDS D'UN PALE MATAMORE
17 janvier 2016 La période des voeux semble avoir déchaîné le génie créatif et le sens de l'innovation chez Nouveau Narbonne et M. MOULY. Aie ! Ainsi, jeudi soir, le personnel municipal s'est vu infliger la désormais célèbre et inoubliable "métaphore de l'autobus", prétendant faire le tri entre les "phares qui éclairent la voie" et les "valises" qui encombrent le coffre à bagages (lire ci-dessus).
Hier, la population (enfin quelques dizaines de personnes tout au plus) a participé à une cérémonie de voeux qui se voulait inédite et novatrice mais qui sombra dans le pathétique à l'image du fade discours de M. MOULY et de ce famélique "arbre aux souhaits" illustrant, sous le vernis d'une fausse proximité, le manque d'idées, d'ambition et de vision de cette municipalité.
Heureusement, les quelques courageux qui s'étaient risqués sur la Place de la Mairie ont pu se réchauffer aux sons d'un orchestre avec quelques marrons chauds.
Après avoir réduit les chocolats de fin d'année des seniors mais aussi supprimé les livres aux enfants des maternelles, M. MOULY distribue maintenant des marrons chauds. Rassurons les Narbonnais : nul n'y a vu la moindre métaphore, mais plutôt la triste prestation d'un pale matamore.
Lire la suite |
|
|
16 janvier 2016
Après l'annonce de la candidature de M. CÉSAR au poste de Président départemental du parti Les Républicains dans l'Aude, la réaction de M. PY, maire de Leucate et secrétaire départemental de LR (lire ci-contre), est somme toute très logique. Il appelle toute la droite narbonnaise, Nouveau Narbonne en tête, à s'assumer en tant que telle plutôt que de continuer de se cacher sous le masque de l'apolitisme auquel s'accroche désespérément M. MOULY.
On attend donc toujours avec un grand intérêt de savoir ce que M. MOULY, Président de Nouveau Narbonne, pense de l'engagement politique de son adjoint M. CÉSAR...
Lire la suite |
|
|
12 janvier 2016
En fin de semaine dernière, la presse et les réseaux sociaux ont relaté l'expulsion du dessinateur Denis CARRIÈRE des Halles par deux vigiles dont un agent municipal.
On aurait pu penser et espérer que l'autorité municipale aurait apporté à ce fait divers une réponse de bon sens et pleine de retenue.
Or, c'est par la voix de M. MOULY en personne que cette réponse est exposée aujourd'hui dans la presse. Et l'on repassera pour le bon sens et la retenue !
Empruntant un ton martial, qui pourrait laisser entendre que le dessinateur Denis CARRIÈRE est responsable de "débordements ponctuellement observés dans l'enceinte des Halles", M. MOULY exige que désormais un permis soit requis pour être autorisé à croquer des scènes de la vie quotidienne dans les Halles.
On reste pantois devant une telle autorité, avec cette double interrogation : faut-il en rire ou en pleurer ?
En rire certainement car le ridicule de la situation réclame une réponse sur le mode de l'humour, ce soit en prose, en vers ou en dessins...
En pleurer aussi, car c'est encore une fois l'image de Narbonne qui est ternie par des décisions impulsives d'un maire qui par ailleurs cultive une proximité de façade avec les Narbonnais, pour mieux les mépriser et réinstaller un mauvais esprit partisan et clanique. M. MOULY, bien incapable de se couler dans "l'esprit d'ouverture" qui fut celui de l'équipe de Jacques BASCOU, voudrait que Narbonne soit "Au coeur des possibles". Malheureusement, le pire fait partie de ces possibles. Nous y sommes !
Oui c'est à pleurer.
Lire la suite |
|
|
| |