| 28 décembre 2015
Charles TRENET,neuvième personnage français le plus connu dans le monde, continue inlassablement d'intéresser les médias. Mais le "Fou chantant" n'a plus droit de cité dans sa ville natale, Narbonne. Ce matin dans la presse, Marie-Claude EGLESSIES, ancienne adjointe au maire de l'équipe de Jacques BASCOU et fondatrice du Festival Trenet, rappelle à bon escient le gâchis que constitue l'abandon de ce Festival par la municipalité Nouveau Narbonne de M. MOULY.
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17 décembre 2015
"L'esprit d'ouverture"avait déjà été rayé du logo de la Ville de Narbonne et surtout des pratiques de la municipalité Nouveau Narbonne, repliées sur elle même, pratiquant l'ostracisme et l'exclusion à l'encontre de tout ceux qui ne font pas allégeance.
Mais cela ne suffisait pas. M. MOULY et ses amis avaient hâte de faire disparaitre une signature dynamique qui soulignait l'esprit de dialogue et de partenariat qui était celui de l'équipe de Jacques BASCOU.
Ainsi est né un nouveau logo, semble-t-il bricolé à la hâte. M. MOULY et son adjoint CESAR l'on présenté à la presse locale en début de semaine. Aujourd'hui, cette même presse relate l'accueil réservé par les réseaux sociaux à ce logo. Un flop retentissant ! Le mini sondage réalisé par l'Indépendant indique que seuls 16,8% disent que ce logo "leur plaît beaucoup", 27 % lui préfèrent le précédent tandis que plus de 50 % se demandent "si c'était bien nécessaire"...
"Un logo qui cultive la nostalgie",par Nicolas SAINTE-CLUQUE
"MM. Mouly et César ont présenté à la presse le nouveau logo de la municipalité. Sur la forme, nous ne pouvons que regretter un graphisme qui cultive la nostalgie, le passé. Un logo fade, « à la papa » en quelque sorte. Le slogan quant à lui, inscrit désormais notre ville dans l’incertitude, l’hypothétique… Il est le reflet de la gestion Nouveau Narbonne : sans vision claire, sans volonté de faire rayonner la ville en dehors de ses remparts.
A peine dévoilé, il fait déjà un flop auprès des Narbonnaises et des Narbonnais ! Mais que pouvaient-ils attendre de la part d’élus qui les ignorent ?
Sur la méthode que pouvons-nous dire, si ce n’est que le logo d’une ville ne se construit pas en cachette derrière les murs épais du Château. Considérer les Narbonnaises et les Narbonnais comme de simples spectateurs est une erreur fondamentale. Ils doivent au contraire être acteurs et participer pleinement à la gestion de la cité. Cela nous l’avions compris et mis en œuvre lorsque nous avons créé le logo « Narbonne, l’esprit d’ouverture », en associant les personnalités du monde économique, du sport, de la vie associative, des historiens, le personnel de la mairie et même les élus ! La population a pu elle aussi participer à la création de cette identité visuelle en exprimant son avis via le site internet. Il en était d’ailleurs ressorti que l’ancien et vieux logo était considéré comme « trop froid », « strict » et « statique » et que les Narbonnais ont une image de leur ville tout en douceur et en modernité.
De cette participation est né le logo orange feu-jaune, reflet de l’esprit Narbonnais. La couleur orange est bien celle des Narbonnais, couleur identitaire que tous les clubs sportifs portent. C’est une couleur chaude qui exprime le dynamisme et la modernité de notre ville où il fait bon vivre. C’est également un rappel de notre terroir et de ses racines romaines ouvertes sur la Méditerranée.
« L’esprit d’ouverture » n’était donc pas un simple slogan, c’était, et reste, un état d’esprit qui permettait de créer du lien et de véhiculer l’idée d’échanges constructifs avec d’autres territoires, d’autres partenaires.
Monsieur César s’est cru bon de souligner que son pâle logo n’aurait coûté que 10.000€. Mais le résultat est à la hauteur de son investissement : vide de sens et inutile. Alors au lieu de consacrer chaque année une importante enveloppe budgétaire au remplacement non justifié du précédent logo sur tous les supports de la ville, Monsieur César ferait mieux par exemple de consacrer ce budget à l’achat d’un livre de Noël pour les enfants ainsi qu’au soutien des associations narbonnaises qui participent au dynamisme de notre ville et qui, voyant leurs subventions se réduire comme peau de chagrin, risquent de ne plus pouvoir atteindre leurs objectifs ô combien importants.
Une fois encore les élus Nouveau Narbonne font preuve d’une incompétence, d’un amateurisme et d’un manque de vision sans précédent. Cela prêterait à sourire si l’image de notre ville n’était pas en jeu. "
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25 octobre 2015
Vendredi soir, plus de quatre vingts personnes avaient répondu à l'invitation de J'Aime Narbonne, pour une réunion publique à l'Espace Léo. Une occasion de rappeler les engagements et les valeurs de l'association créée en juin 2014 avec pour objectif de soutenir l'action des élus de l'opposition municipale J'Aime Narbonne et de préparer un projet avec et pour les Narbonnais dans l'optique d'une alternance en 2020. Le président Jacques BAILLAT a rappelé ces objectifs avant de céder le micro à Hélène SANDRAGNÉ, vice-président du Conseil départemental, qui s'est attachée à rappeler les valeurs de solidarité et de justice qui doivent guider l'action publique, et de conclure par cet appel en forme de souhait : "Pour faire la différence, il faudra être différent".
Catherine BOSSIS, également vice-présidente du Conseil départemental, a aussi parlé de valeurs, en revendiquant son propre engagement politique et en portant une critique de l'apolitisme : "L’apolitisme c’est l’absence d’identité, le refus de l’histoire, qui autorise tous les renoncements, tous les compromis. Puisqu'on n'est personne, on peut-être un jour avec Ménard et pire le lendemain..." Elle a terminé en appelant à la mise en oeuvre "d'un projet pour le plus grand nombre qui fasse émerger une vision enthousiasmante pour notre ville..."
Marc ORTIZ, conseiller délégué aux finances au Grand Narbonne, a souhaité alerter l'assistance sur "le projet pharaonique de grande salle que le maire veut imposer, aux Narbonnais." Il a notamment pointé l'incohérence des choix de M. MOULY qui, tout en s'attachant à ce projet au coût exorbitant, par ailleurs générateur de lourdes charges de fonctionnement, multiplie les installations de structures provisoires et tout aussi coûteuses (chapiteau pour le volley au Palais du Travail à 350 000 €, gymnase gonflable à l'Espace de Liberté pour 690 000 €). "Avec tous ces chapiteaux, je me demande si Narbonne n'est pas la ville du cirque..." a conclu Marc ORTIZ.
Enfin, Nicolas SAINTE-CLUQUE, conseiller départemental et porte-parole de J'Aime Narbonne, a synthétisé : "J'Aime Narbonne s'adresse aux Narbonnais dans leur différence. Ce qui nous rassemble ce sont des valeurs : justice, égalité, respect. Ailleurs, ces valeurs sont obsolètes... "Ce qui nous rassemble aussi c'est la vision de la ville en opposition à une gestion à la petite semaine et au clanisme. "A cette vision nous voulons associer les Narbonnais. Aujourd'hui, dans les conseils de quartiers, les gens sont dans l'attente. Et pour cause, NN na mis que des gens à lui. Ils n'aiment pas la différence, ils forment un clan dans lequel c'est copinage d'un côté et flingage de l'autre... "Effectivement nous ne sommes pas la pâle copie de Nouveau Narbonne. Ici, on ne regarde que les idées qui feront avancer Narbonne. Ici, nous portons "l'esprit d'ouverture" qui a été celui de l'équipe de Jacques BASCOU entre 2008 et 2014..."
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9 octobre 2015
Prudence et réserve : la position et l'attitude de J'Aime Narbonne ne varient pas dans le cadre des ennuis judiciaire du chef de cabinet de M. MOULY. En effet, la lecture de la presse du jour n'apporte que peu de clarification et aucune certitude dans ce dossier judiciaire des plus stupéfiants.
Les interpellés dans cette affaire de trafic de viande de cheval, dont le chef de cabinet M. Carnero, ont tous été remis en liberté, mais ils "risquent tous une mise en examen" indique Midi Libre dans son article de la page Région.
Le rédacteur de cet article relativement documenté souligne que "le rôle de Stéphane Carnero reste à éclaircir. Il est mis en cause dans l'établissement d'un certain nombre de faux au profit de la famille Rochette" indique une source proche du dossier" (lire ci-dessous).
Autant dire que le chef de cabinet de M. MOULY n'est à cette heure ni accusé ni blanchi de quoi que ce soit. Il convient donc de laisser la justice faire son travail et de rappeler le principe de présomption d'innocence.
J'Aime Narbonne, entend ne pas déroger à ces principes fondamentaux qui pourtant avaient été largement bafoués pendant le mandat de l'équipe de Jacques BASCOU.
Souvenons-nous ! Sous l'impulsion de Nouveau Narbonne, l'opposition de l'époque avait fondé son action sur la propagation de contre-vérités, de rumeurs, de calomnies. C'était une marque de fabrique ! Cet état d'esprit est tellement ancré dans les gènes de Nouveau Narbonne qu'il transparait jusques et y compris dans les attitudes et propos de son leader, M. MOULY.
Pourtant avocat de profession, celui-ci a osé déclarer à la presse, jeudi, qu'il "n'y a pas de fumée sans feu" dans l'affaire de son chef de cabinet. C'est dire que même dans un dossier qui le touche au plus près, la tentation du ragot l'emporte... (lre ci-dessous)
Et c'est ce même M. MOULY qui se plaint aujourd'hui, dans cette même presse, d'atteintes à l'honneur et l'intégrité professionnelle de son collaborateur, et de l'atteinte à la présomption d'innocence en tant que principe fondamental de notre Droit. (lire ci-dessous)
Face à cette tragi-comédie, les Narbonnaises et les Narbonnais sont en droit, eux, de se plaindre de la légèreté et de l'inconstance de leur maire.
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7 octobre 2015
Coup de menton d'un côté et coup de pied de l'âne de l'autre... Le télescopage de l'actualité est terrible pour M. MOULY en ce mercredi de début octobre.
En effet, dans la lignée de ses impulsions désormais légendaires, M. MOULY annonce le clap final pour la Chorale A tout bout d'chant de La Nautique, après plusieurs mois d'une pantalonnade jouée en duo avec son conseiller municipal M. DÉJEAN, par ailleurs président de la Société Nautique (voir notre précédent post).
Pour la petite association culturelle, le message est clair : " Circulez y'a plus rien à voir ! Et débrouillez vous pour vous reloger ailleurs ! " (voir notre coupure de presse)
Mais tandis qu'il se consacrait à régler de manière martiale le sort d'un groupe musical spécialisé dans la chanson populaire, M. MOULY s'est fait lui-même virer de la tête de liste de la droite pour les élections régionales de décembre. C'est finalement M. PY, maire de Leucate, qui tirera la liste audoise, nous indique la presse de ce matin.
Pourtant, après sa valse hésitation du printemps (souvenons-nous : il était candidat le 13 juin et se retirait quatre jours après) M. MOULY nourrissait encore des espoirs. Il avait même délégué son tout nouveau chargé de mission à un tâche de lobbying auprès du parti Les Républicains. Mauvaise pioche !
Ainsi va le maire de Narbonne : occupé à "pétasser" les rues, à sanctionner les associations qui ne lui plaisent pas, à promettre du sport et des spectacles aux Narbonnais qui eux espèrent des emplois et du développement économique, mais il est toujours à côté de son sujet quand il s'agit de rehausser la fonction et de traiter les questions essentielles.
Ce qui frappe le plus chez M. MOULY, c'est son désir non dissimulé de cumuler des mandats, lui qui promettait de ne se consacrer qu'à Narbonne. Il a voulu être conseiller départemental mais les électeurs l'ont remis à sa place. Il a voulu être conseiller régional mais les partis de la droite l'ont renvoyé dans les cordes. Que lui reste-t-il à espérer : député, sénateur et pourquoi pas Président de la République ?
Cependant évitons d'en trop rire car tout cela est finalement bien triste pour Narbonne.
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5 octobre 2015
La presse nous apprend que la conciliation judiciaire entre l'association A tout bout d'chant et la Société Nautique a échoué. Rappelons l'origine du conflit : dans le cadre d'une convention avec l'ancienne équipe dirigeante de la Société Nautique, l'association culturelle occupe un local situé sur la concession portuaire. Or, arguant que ce local serait dangereux - ce qu'une expertise a contredit cet été - M. DÉJEAN, président de la SNN, par ailleurs conseiller municipal Nouveau Narbonne, a exigé le départ de A tout bout d'chant, avant démolition du local.
La raison de l'échec de la conciliation qui a eu lieu lundi est tristement simple : M. DÉJEAN n'a fait aucune nouvelle proposition devant le conciliateur de justice M. RAGUIN et il a confirmé qu'il souhaite un départ de l'association A tout bout d'chant au 23 mars 2016 alors que celle-ci demande une prolongation jusqu'à l'été 2016, en sorte de boucler sa saison culturelle et surtout de s'organiser pour de trouver un nouveau local.
Mais là ou l'affaire devient carrément ubuesque, c'est lorsque M. DÉJEAN, contredisant ses déclarations du mois de juin dernier, prétend maintenant que ce n’est plus la S.N.N qui veut le départ de l'association, mais la mairie, propriétaire des lieux et concédante à la Société Nautique.
On croit rêver ! Mais à quoi jouent MM. DÉJEAN ET MOULY ? Ne sont-ils pas élus de la même majorité Nouveau Narbonne, donc logiquement à même d'accorder leurs violons sur ce dossier ? Les tensions sont-elles déjà si vives et les plaies ouvertes à Nouveau Narbonne pour que l'on soit incapable de pendre une décision en concertation ?
Voilà où nous en sommes à La Nautique. On ne sait plus qui gouverne qui, qui veut et décide quoi. Souvenons nous des épisodes tout aussi ubuesques du Championnat de Wind Surf et celui de la Terrasse du restaurant le Pavillon ! Et cette pantalonnade s'exerce depuis des mois. Dans le cas présent, c'est au détriment d'une association culturelle qui anime ce beau quartier de Narbonne.
Oui vraiment, à La Nautique - mais pas seulement - la barque Nouveau Narbonne prend l'eau et se noie dans de sordides querelles. Au détriment encore une fois de l'intérêt général des Narbonnais.
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5 octobre 2015
Jacques Bascou s'est exprimé hier dans la presse de Narbonne, dans le cadre d'une grande interview.
Il y rappelle ses objectifs à la tête du Grand Narboone, sa vision du territoire, sa conception de l'action publique et ses pratiques d'élu responsbale opposé à la politque spectacle. Il corrige aussi un certain nombre de contre vérités distillés ces dernières semaines.
Un contenu riche qui illustre la hauteur de vue et le sens des réalités et des priorités du Président du Grand Narbonne.
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2 octobre 2015
On ne va pas revenir une fois de plus sur les gesticulations et le cinéma politicien des élus de Nouveau Narbonne et de leurs alliés, lors du dernier conseil d'agglomération (voir notre précédent article). La meilleure réponse que puissent apporter Jacques BASCOU et sa large majorité, c'est leur travail au quotidien pour le territoire et les 39 communes qui le composent, Narbonne incluse.
A cet égard, la lecture de la presse du jour est évocatrice (lire ci-contre et ci-dessous).
Il y est question du Pôle Santé dont la création a été approuvée et qui verra l'implantation notamment de la Polyclinique sur la ZAE de Montredon.
Il y est aussi question de l'opération Orchestre à l'école qui s'est soldée par une distribution d'instruments aux élèves de l'école Mathieu-Peyronne (Narbonne) et Yvan-Pélissier (Cuxac).
Voilà le travail au quotidien du Grand Narbonne et de la majorité BASCOU. Loin de la polémique et de la vaine politique spectacle de Nouveau Narbonne.
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30 septembre 2015
Le groupe d'opposition au Grand Narbonne, formé essentiellement par les conseillers de Nouveau Narbonne, a montré une fois de plus, mardi soir, sa conception du débat et son intérêt pour les affaires du territoire. Vêtus d'un ridicule tee shirt (Stop à l'hémorragie fiscale !), ces élus entendaient contester trois délibérations concernant des ajustement de la Contribution fiscale des entreprises (CFE), de la taxe d'habitation et de la Taxe des ordures ménagères.
Les nouvelles dispositions, portées par Viviane DURAND (maire de Sainte-Vallière et vice-présidente aux finances) et Guillaume HÉRAS (maire de St-Marcel et vice-président à l'Environnement), relevaient de mises en conformité avec la Loi (zonages de la taxe des ordures ménagères) et de la justice fiscale (révision des tranches de la CFE notamment qui n'affecteront que les plus grosses entreprises). Ces dossiers avaient été travaillé en amont lors des commissions dans lesquelles, selon Viviane DURAND, "la Ville de Narbonne a brillé par son absence"... Ce qui explique sans doute que M. MALQUIER, l'orateur de NN, n'ait trouvé que de maigres arguments à opposer à ces dispositions, reconnaissant même que le surcroit d'investissements qu'elles autoriseraient serait utile... Allez comprendre !
Qu'à cela ne tienne, Nouveau Narbonne a choisi de faire son cinéma politicien en agitant le spectre démagogique de "l'hémorragie fiscale". Cette attitude est restée vaine puisque les trois délibérations ont été adoptées à une large majorité.
Après cette séance de série B, les élus NN ont quitté la salle, démontrant ainsi l'intérêt qu'ils portent aux dossiers du Grand Narbonne. Après cette sortie digne du théâtre de Guignol, nul ne s'est plaint d'une hémorragie de matière grise...
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28 septembre 2015
Il faut le lire pour le croire ! Oui, il faut lire M. MOULY dans la presse de dimanche qui devise de manière quasi surréaliste sur son projet de "grande salle" dont, au passage, il veut se persuader qu'elle est "très attendue par les Narbonnais". Méthode Coué... En "attendant", à cette lecture il y a tout lieu de se faire du souci sur la manière dont ce dossier est géré (?) par l'hôtel de ville.
D'une part M. MOULY nous indique benoitement que la salle s'insèrera en lieu et place des tennis du Parc des Sports et cela "sans modifier le stade". C'est sans doute par un coup de baguette magique que M. MOULY dit Merlin l'Enchanteur va insérer un équipement d'environ 5 000 mètres-carrés sans rien modifier à l'existant...
Plus loin, on apprend que "ni le coût ni le mode de financement ne sont arrêtés"... Et M. MOULY poursuit (sur le mode "je réfléchis à haute voix") en nous expliquant qu'il a une préférence pour un mode de financement et d'exploitation confiés au secteur privé.
Cependant, M. MOULY assortit ce choix d'une réserve à la naïveté confondante : "Je ne connais pas assez les tenants et les aboutissants d'une telle possibilité... Je ne voudrais pas priver la Ville et les Narbonnais de se réserver la priorité de l'occupation. C'est mon petit dilemme... "
En effet c'est un dilemme, mais un dilemme énormissime... qui doit d'ores et déjà alerter les Narbonnais sur ce qui se trame dans leur dos.
En effet quand un maire se permet de communiquer sur un projet en avouant qu'il n'en connait pas "tous les tenants et les aboutissants", soit on est dans le domaine de l'incompétence, soit dans celui de l'embrouille. Et dans les deux cas, il y a du souci à se faire...
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22 septembre 2015
Ce n'est pas la première fois ni sans doute, hélas, la dernière ! Les méthodes non professionnelles et très contestables de l'émission Capital M6 ont été à nouveau mises en lumière, cette fois par la Mairie de Paris, à propos d'un tout récent reportage sur les HLM de la capitale. Parmi les griefs reprochés aux journalistes de cette émission à sensation, on retrouve exactement les pratiques qui ont eu cours lors du reportage réalisé en mars 2013 à Narbonne, lequel avait fabriqué une présentation caricaturale et inexacte de la gestion du personnel et des finances de la Ville et du Grand Narbonne.
Déloyauté, affirmation de faux chiffres, mauvaise foi... Les mêmes ingrédients ont été utilisés avec la Mairie de Paris (http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1425270-hlm-et-classes-moyennes-dans-capital-m6-nous-a-manipules-c-est-un-reportage-oriente.html). A la suite de l'émission sur Narbonne, qui portait gravement atteinte à la réputation de Narbonne et à l'intégrité professionnelle du personnel municipal, Jacques BASCOU avait eu le courage d'attaquer Capital M6 devant le tribunal correctionnel.
Ce procès avait toutes les chances d'aboutir à la mise en lumière des pratiques douteuses et répréhensibles de cette émission. Or, une fois élu à la mairie, M. MOULY a tout de suite mis un terme à cette procédure.
Il s'est même fait le défenseur bien imprudent de l'émission déclarant à la presse locale : "Je ne peux pas imaginer que Capital M6 n'ait pas fait preuve de professionnalisme. "
A l'époque nous avons signalé la double faute morale de M. MOULY. D'une part il offensait l'immense majorité des journalistes qui réfutent les méthodes de Capital M6. D'autre part, il offensait l'immense majorité des employés municipaux de Narbonne qui avaient été scandalisés par le "cirque" pagnolesque de l'un d'entre eux, M. ANDUJAR, au cours de cette émission.
Mais il est vrai, comme on l'a signalé il y a peu de temps, que l'ex-syndicaliste M. ANDUJAR est aujourd'hui aux abonnés absents. Tout comme d'ailleurs M. ALRIC, ce proche de M. MOULY, qui s'était servi de son association Anticor 11 pour aiguiller les journalistes de Capital M6 à Narbonne.
Un silence assourdissant dont on comprend encore mieux la raison...
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22 septembre 2015
L’incendie qui a frappé l’école Mathieu Peyronne est un véritable choc pour tous les habitants du quartier de Saint-Jean-Saint-Pierre, mais aussi pour tous les Narbonnais (voir article de presse ci-contre). Nous partageons l’émotion des enfants, de leurs parents et de la communauté éducative. Au nom du groupe « J’Aime Narbonne », le porte-parole Nicolas SAINTE-CLUQUE exprime aux enseignants de l’école Mathieu Peyronne, tout notre soutien. Parce qu’ils sont en première ligne face aux dures réalités de notre société, nous devons tous leur exprimer notre solidarité et réaffirmer l’importance qu’ils ont dans la construction des futurs citoyens.
Cet acte volontaire et gratuit, profondément stupide, dirigé contre un symbole républicain, lieu d’apprentissage des savoirs et du vivre-ensemble est inacceptable.
Nous le condamnons avec la plus grande fermeté et souhaitons que les services de police puissent retrouver les coupables rapidement. De tels agissements ne peuvent et ne doivent pas rester impunis.
Enfin nous soutenons et remercions le personnel municipal qui met tout en œuvre pour que les enfants retrouvent le chemin de l’école le plus rapidement possible.
A l’heure où notre société subit les assauts d’une évolution violente avec les fractures qui en découlent, nous devons nous remémorer la pensée de Jean Zay : « L’école doit rester l’asile inviolable où les querelles des hommes ne pénètrent pas ».
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20 septembre 2015
Créée et lancée par l'équipe de Jacques BASCOU, la salle multiculturelle de Narbonne-Plage (dénommée Dominique Baudis) a été inaugurée samedi matin par M. MOULY et Nouveau Narbonne, sans que les élus de J'Aime Narbonne n'aient été invités. Ces derniers ont réagi dans la presse de ce matin, évoquant les mauvaises manières et le mépris de l'opposition qui animent Nouveau Narbonne, mais également l'incompétence de cette municipalité à propos d'une subvention sollicitée auprès du Conseil départemental.
Mais au-delà de ces attitudes préjudiciables pour Narbonne et qui ne pouvaient rester ignorées, J'Aime Narbonne se félicite de voir naître ce magnifique équipement dans la station balnéaire. Un équipement de plus à mettre au crédit de l'équipe de Jacques BASCOU. La seule paternité que peut invoquer la municipalité actuelle est le nom de ce très bel équipement. Un peu maigre pour s'autosatisfaire...
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12 septembre 2015
Voici le communiqué de J'Aime Narbonne publie aujourd'hui dans la presse, en réponse à un article de Nouveau Narbonne intitulé "le bal des faux nez", dans lequel notre mouvement était qualifié "d'opportune imitation" :
En réponse au « bal des faux nez » de Nouveau Narbonne, l’association J’Aime Narbonne tient à rassurer les Narbonnaises et les Narbonnais : « Nous n’avons nullement l’intention de copier l’apolitisme de façade de NN. Cela voudrait dire que nous renierions nos engagements d’œuvrer pour l’intérêt général et notre esprit d’ouverture.
Copier NN, c’est se livrer à la “chasse aux sorcières“ dans les couloirs
de la mairie ; c’est sanctionner brutalement et sans justification plus de cent associations ; c’est favoriser les copains et les amis comme le fait M. Mouly à La Nautique ou en privilégiant le club de football qu’il a présidé pendant dix ans ; c’est s’octroyer le fait du prince quand le maire, aux frais du contribuable, déménage un arrêt de bus devant son cabinet professionnel. Copier NN, c’est priver enfants et parents d'une école nécessaire à
Montplaisir ; c’est arrêter l’aménagement de Narbonne-Plage ; c’est “pétasser“ les rues sans proposer un vrai projet de développement pour Narbonne sinon une “grande salle“ coûteuse et non adaptée aux besoins des habitants. Non, J’Aime Narbonne n’a nullement l’intention de copier les mauvais élèves de NN dont l'apolitisme consiste à servir l'intérêt de quelques-uns au détriment de l’intérêt général.
Oui, J’Aime Narbonne accueille tous ceux qui veulent participer à un projet d’avenir pour Narbonne et qui s’engagent à le faire dans un esprit républicain fait de tolérance et d’ouverture aux autres. D’ailleurs, les bonnes volontés affluent déjà...»
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9 septembre 2015
Nicolas SAINTE-CLUQUE, porte parole de J'Aime Narbonne, et Guillaume MASSON, secrétaire général, ont répondu aux questions de la presse à l'occasion de cette rentrée 2015. La raison d'être du mouvement a été rappelée ainsi que son opposition à la politique sans cap et sans vision de Nouveau Narbonne. Nicolas SAINTE-CLUQUE a notamment déclaré :
« Sur la circulation, le TGV, la ville de demain on n’entend rien. Par contre, faire du "pétassage" mais refuser de faire une école à Montplaisir alors que le quartier est en plein développement, on en entend parler ! Didier Mouly veut se faire un prénom en faisant de belles infrastructures. Ce n’est plus le temps des pharaons. Il est sûr de lui : “Je fais une grosse réalisation et je suis réélu”. Ce sera la salle polyvalente à 20 millions. Finalement, les Barques à 8 millions, ce n’était pas si élevé... ».
Enfin, les dirigeants de J'Aime Narbonne ont annoncé un accroissement des moyens d'action de l'association, notamment la création prochaine d'un local à l'enseigne de J'Aime Narbonne.
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10 septembre 2015
Mais où sont-ils passés ? Il fut un temps pas si lointain où l’on ne pouvait ouvrir une gazette locale sans voir leur portrait affiché et leurs moindres déclarations rapportées.
Où est passé Jean-Marc ALRIC, le « croisé » de la lutte anti-corruption, le « lanceur d’alerte » qui se vivait en Grand Inquisiteur et allait purifier la dépense publique en discutant l’utilisation du moindre denier public sous la mandature de Jacques Bascou à la mairie ? Disparu des chroniques, et singulièrement de l’internet où il distillait son venin quasi quotidiennement sur le blog de l’association Anticor 11 dont il avait fait sa « créature ».
Pourtant, s’il voulait s’en donner la peine, M. Alric aurait du pain sur la planche en matière de clientélisme, favoritisme, conflits d’intérêts e gaspillage d’argent public.
Pourquoi ne l’a-t-on pas entendu après le vote du dernier budget de la Ville qui a décidé d’une augmentation de 7 % de la masse salariale à la mairie ? S’est-il fendu de communiqués outrés après que M. Mouly, contredisant ses promesses électorales, a décidé d’embaucher à tour de bras dans son cabinet (un chef de cabinet, un directeur de cabinet et un nouveau venu, transfuge de la presse, depuis le 1er septembre) ?
S’est-il offusqué de ce que des élus et employés de la ville animent des bodegas lors de Barques en scène ? A-t-il publié des photos du patrimoine privé de certains nouveaux élus, comme il l’a fait avec une ancienne adjointe de Jacques Bascou ?
S’est-il insurgé des relents de clientélisme et de favoritisme qui ont prévalu dans l’attribution des subventions aux associations ? A-t-il sauté au plafond quand M. Mouly a promis un stade au FUN, le club dont il fut président pendant des années ? Ou s’est-il étouffé lorsque ce même M. Mouly a gaspillé les deniers publics pour faire disparaître un arrêt de bus devant son cabinet professionnel ? Non, non et non ! Personne ne saurait dire ce que devient M. Alric. On l’a perdu depuis son engagement sur l’éphémère liste de M. Millet et depuis qu’il a soutenu publiquement M. Mouly à quelques semaines des municipales. Vous nous en direz tant !
Où est donc passé Jean-François ANDUJAR, le syndicaliste « pur et dur », l’homme que l’on présentait comme « la bête noire » de Jacques Bascou et qui prétendait dénoncer la politique du personnel conduite par l’ancienne municipalité, jusqu’à se prêter à une lamentable mise en scène dans une émission de télévision sur la chaine M6 ?
Disparu des écrans et des radars M. Andujar ! Pourtant, depuis l’arrivée de Nouveau Narbonne à la mairie, ce n’est pas la matière qui manquerait pour un syndicaliste aussi combatif. Eh oui ! malgré les promesses d’avant élection, la « chasse aux sorcières » est bel est bien d’actualité. Parmi les victimes on compte déjà un directeur de la police municipale, un conservateur des musées, une directrice de la petite enfance, un directeur des finances, une directrice du CCAS, et ce n’est pas fini…
Pendant ce temps, M. ANDUJAR semble couler des jours heureux dans un poste aménagé à la mairie et surtout dans une discrétion confondante qui interpelle ses mandants syndicaux.
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8 septembre 2015
M. MOULY se targue de respecter ses promesses depuis son élection du 30 mars 2014. Et des promesses il en a fait, notamment dans une interview au journal Midi Libre, parue le 1er avril 2014. Cet article était ainsi titré : "Il n'y aura pas de chasse aux sorcières". Or, depuis cette annonce, plusieurs cadres de la mairie ont été virés ou empêchés de poursuivre leur mission (directeur de la police municipale, conservateur des musées, directrice de la petite enfance et du CCAS, directeur des finances) tandis que l'ensemble des employés municipaux sont sous pression constante. Dans ce même article, M. MOULY était interrogé sur la composition de son cabinet. Il répondait ceci : "La seule chose que je peux vous dire est que M. Stéphane CARNERO sera nommé chef de cabinet. Nous en réduirons la voilure..."
Depuis cette annonce, M. CARNERO est effectivement chef de cabinet, mais M. MOULY a aussi embauché M. Marc DELPOUX, ancien entraîneur de rugby à la mission peu définie à tel point que celui-ci a trouvé le temps de s'occuper en même temps de la gestion d'un bar-restaurant de la ville.
Comme la voilure n'était sans doute pas assez réduite, M. MOULY vient d'embaucher un autre collaborateur - chargé de mission semble-t-il - en la personne de M. Vincent BOILLOT, journaliste au Midi Libre jusqu'à la toute récente (le 1er septembre) disparition de la rédaction locale de ce journal.
On ne sait pas encore si ce nouveau serviteur du maire aura le temps d'ouvrir un commerce en ville... Toujours est-il que quand M. MOULY décide de "réduire la voilure" il en coûte au contribuable narbonnais. D'ailleurs, après avoir seriné pendant toute la campagne électorale qu'il allait faire des économies sur le fonctionnement de la mairie, M. MOULY a fait voter un budget 2015 avec un augmentation de près de 7% de la masse salariale.
Mais M. MOULY va sans doute nous dire que ses promesses du 1er avril 2014 étaient un "poisson d'avril"...
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2 septembre 2015
Quel sens des priorités ! Les élus de Nouveau Narbonne n'avaient rien de plus urgent et d'important à faire lundi matin que d'enlever le projecteur qui éclairait la stèle en hommage à l'ancien maire Louis MADAULE, à Narbonne-Plage. Non vous ne rêvez pas, c'est bien ce que la presse locale rapporte ce matin, photo à l'appui. Voici la raison invoquée par l'adjoint de la plage : « Toutes les statues et autres monuments commémoratifs ne sont pas éclairés la nuit à Narbonne. Donc, dans un souci d’équité, la Ville a décidé d’enlever le projecteur qui éclairait la stèle ». Vous ne rêvez toujours pas... c'est bien ce qu'a déclaré cet élu, sans doute en mission commandée par le "château".
Non content d'afficher des comportements de très bas niveau, indignes d'élus responsables, la maison Nouveau Narbonne ne manque pas d'air. En effet, puisqu'on nous parle d'équité, on pourrait se demander pourquoi Narbonne est sans doute la seule ville de France qui propose deux lieux commémoratifs en la mémoire d'un ancien maire, en l'occurrence Hubert MOULY.
Quoi qu'il en soit, les habitants de Narbonne-Plage attendent autre chose de la mairie car ils voient bien que, depuis avril 2014, tout l'aménagement impulsé par l'équipe de Jacques BASCOU a été stoppé. Et que la seule action notable de ces derniers mois aura été de polémiquer petitement sur le financement du centre multi-culturel.
Quant à l'ensemble des Narbonnais, ils se rendent bien compte, hélas, qu'ils ne sont pas gouvernés par des "lumières"...
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1er septembre 2015
M. MOULY et son adjoint M. CÉSAR espéraient se faire briller en recevant hier la ministre Sylvia PINEL pour le lancement d’Atlaas, une plateforme d’échanges réunissant des initiatives numériques publiques et citoyennes. En effet, la veille dans la presse locale, l'adjoint CÉSAR vantait les initiatives prises par Narbonne ces dernières années pour devenir l'une des villes numériques les plus en pointe de France, et consacrée comme telle par le label @@@@@.
Sauf que M. CÉSAR oubliait volontairement de dire que toutes ces initiatives avaient été lancées par l'équipe de Jacques BASCOU, notamment par Nicolas SAINTE-CLUQUE, l'ancien adjoint délégué aux Nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC).
Mais à trop vouloir abuser son monde et occuper le nid du voisin, on se brûle parfois les ailes. C'est ce qui est arrivé hier lorsque la ministre Sylvia PINEL a rappelé le rôle central de l'équipe de Jacques BASCOU dans ce domaine des nouvelles technologies.
Le "coucou" a été démasqué par la ministre. Ce n'est que justice.
Pour l'intérêt général, nous espérons que l'actuelle municipalité saura perpétuer l'excellent travail accompli par l'équipe de Jacques BASCOU.
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31 août 2015
Barques en scène n'avait pas encore éteint ses derniers lampions que la municipalité NN publiait un bulletin de victoire. Si l'on en croit les chiffres fournis par la mairie à la presse, Barques en scènes aurait recueilli une belle fréquentation. Si cela est vrai, on ne peut que se réjouir de cette information qui démontre combien était judicieuse l'idée de lancer un festival de fin d'été, ainsi que l'a initié l'équipe de Jacques BASCOU, dès 2008, avec le Festival Trenet.
Cependant, dans son désir très voyant d'afficher des chiffres qui impressionnent, la municipalité "NN" semble avoir poussé le bouchon un peu loin et même très haut puisqu'un drone a été mobilisé (et payé) pour la circonstance... On croit rêver !
Il n'empêche que cet empressement à communiquer n'a pas échappé au journaliste du Midi Libre qui précise bien que "ce chiffrage doit être pris au conditionnel"... Fermez le ban ! Quoi qu'il en soit, puisque la municipalité aime tant les chiffres, il serait intéressant de savoir quelles ont été les retombées de ce Barques en scène en termes de notoriété pour Narbonne. Force est de constater que les télévisions et la presse nationale et internationale ne se sont pas bousculés à Narbonne, comme cela était devenu la règle lors du Festival Trenet.
Force est aussi de constater que l'état d'esprit négatif, diviseur et clanique de Nouveau Narbonne s'est encore exprimé lors de ces journées, avec l'épisode malheureux de la bodega de Gilles BELZONS. Sur cette affaire suivre les liens suivants : http://www.lindependant.fr/2015/08/27/gilles-belzons-debarque-en-scene,2076653.php
https://www.facebook.com/gilles.belzons/posts/10206041012039396
Tandis que l'emblématique restaurateur des Halles était avisé de manière cavalière d'un déplacement de sa bodega, on a pu constater que plusieurs adjoints au maire et des proches de l'hôtel de ville avaient installé les bodegas d'associations amies, aux meilleurs emplacements, devant la passerelle des Barques...
On est bien loin en effet de l'esprit festif, convivial et familial d'un festival de fin d'été comme il avait été pensé et réalisé en 2008. Ce devait être la fête des Narbonnais. Avec NN c'est bien la fête à "Neuneu" et le mauvais esprit en plus...
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21 août 2015
Souvenons-nous ! A l'hiver dernier, alors que le Racing rencontrait de grandes difficultés sportives et que son président Anton HILL, s'était rendu en urgence en Australie au chevet de son père atteint d'un cancer, M. MOULY avait fait de fracassantes déclarations dans la presse. Plus que cela : un ultimatum était envoyé à Rocky ELSOM, l'actionnaire propriétaire du club à 95 %.
Ce dernier devait s'engager sous huit jours à ouvrir le capital à des Narbonnais et accepter de nombreuses modifications dans le fonctionnement du club. Sinon on allait voir ce qu'on allait voir. Oui, on allait voir qui était Raoul... Et que voit-on, neuf mois après ? De quoi a accouché ce coup de sang, bien dans les pratiques
irréfléchies du maire ? Eh bien, la réponse nous a été donnée par M. MOULY lui-même dans une récente conférence
de presse : "Aujourd’hui, il (Rocky Elsom) est le seul interlocuteur du Racing. Il ne souhaite pas avoir d’intermédiaire. Il prend toutes les rênes du club..." (lire extait de presse ci-contre). Tandis que le premier adjoint MALQUIER, un brin crispé, a ajouté ceci : "La Ville de Narbonne ne souhaite pas s’immiscer dans la gestion de cette société, économique ou sportive… " A part cela, M. MOULY fait un long développement pour nous expliquer qu'il a réorganisé l'accès de la tribune officielle et qu'on ne risque pas de le voir dans les vestiaires... Fondamental !
Eh oui, on est bien dans les Tontons flingueurs quand l'accorte Madame Mado se moque de Raoul Volfoni : "Toi t'es un vrai chef !"
Plus sérieusement, M. MOULY, par ses rodomontades et ses coups de menton ridicules et lassants, déconsidère une fois de plus la fonction de maire. Cela devient plus qu'inquiétant pour qui se soucie de l'avenir de la ville.
Enfin, alors que la saison commence ce soir, le vrais supporters du Racing seront là et bien là pour apporter leur soutien sincère au club centenaire.
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21août 2015
À La Nautique, la nouvelle équipe dirigée par M. Robert DÉJEAN, avec la bénédiction de son ami le maire M. MOULY, continue d'exercer des brimades sur tous ceux qui ne sont pas dans la ligne. Après l'épisode du parking dressé devant le nouveau restaurant Le Pavillon, avec l'aval de M. MOULY, la fine équipe de La Nautique a tout fait pour éjecter la chorale A tout bout de chant, qui était hébergée dans des locaux prêtés par l'ancienne équipe dirigeante de La Nautique, sur le territoire de la concession maritime.
Lors d'une récente réunion dite de concertation, les animateurs de cette association culturelle ont appris qu'ils devaient quitter les lieux avant le printemps. L'Indépendant rapporte la teneur de cette rencontre qui a mis en lumière, une fois de plus, les méthodes expéditives des amis de M. MOULY.
Le message adressé aux associations de Narbonne est clair : se soumettre au pouvoir municipal ou bien subir des brimades... Ce ne sont pas les méthodes qui avaient cours entre 2008 et 2014 sous la mandature de Jacques BASCOU et de son équipe.
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9 août 2015
Pour ses amis, M. MOULY ne recule devant rien. On a eu l'épisode calamiteux de La Nautique (voir nos précédents articles). Et voici l'épisode du FUN, le club de football de la ville que M. MOULY a un temps présidé. Non content d'avoir été bien servi au moment de la distribution des subventions (alors que tant d'associations ont été rayées de la carte ou amputées de leur aide), le FUN aura son stade à lui. M. MOULY vient de s'y engager publiquement.
Au final, les Narbonnais auront compris qu'il faut être dans les bonnes grâces du maire pour prétendre à un soutien de la municipalité. Si l'on résume, depuis son arrivée à la mairie, les seuls investissements proposés par M. MOULY concernent le milieu sportif : grande salle à 20 millions d'euros toujours en projet, skate parc, gymnase gonflable, chapiteau au Palais du Travail, salle VIP très coûteuse au Parc des Sports et maintenant un stade avec tribunes et vestiaires pour le FUN...
Parallèlement, M. MOULY a stoppé toute une série d'investissements programmés par l'équipe de Jacques BASCOU comme l'école de Montplaisir ou la poursuite de la modernisation de Narbonne-Plage.
Assurément, même si le sport est un domaine important qui ne doit pas être négligé, la politique des amis semble très éloignée de l'intérêt général...
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4 août 2015
Entamé par Jacques BASCOU, dans un contexte très difficile hérité de l'ancienne municipalité "NN" (MOYNIER-MILLET), le redressement de l'Office public HLM (désormais Domitia Habitat) se conforme avec un temps d'avance sur le calendrier prévu. Ainsi que l'indique la presse ce matin, Domitia Habitat a retrouvé ses capacités d'investir et de créer de nouveaux logements sur Narbonne et sur le Grand Narbonne.
Une excellente nouvelle pour nos concitoyens en quête de logement mais aussi pour l'ensemble de l'économie locale. Le courage et la persévérance de Jacques BASCOU ont porté leurs fruits.
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29 juillet 2015
A Narbonne-Plage, les Narbonnais ont sous les yeux une nouvelle preuve de l'art de la provocation et de la manipulation de la mairie Nouveau Narbonne. Un panneau a été installé pour annoncer la prochaine ouverture de la salle publique dont la construction avait été lancée à la fin du mandat de Jacques BASCOU, répondant à une demande de la population et du comité de quartier.
Plutôt que de se réjouir de l'ouverture prochaine de cet équipement, la municipalité de M. MOULY utilise ce support de communication publique (donc payé par les contribuables) pour polémiquer, et reprocher à la Région, au Département et au Grand Narbonne de ne pas avoir subventionné cette salle.
On voit bien où NN veut en venir : tenter de démontrer un ostracisme de ces collectivités à l'encontre de Narbonne. Sauf qu'il s'agit d'une nouvelle manipulation que Jacques BASCOU a d'ailleurs démontée dans l'article du Midi Libre consacré à ce sujet.
En effet, l'équipe de Jacques BASCOU avait bien sollicité des subventions pour cette salle publique qui avait, dans le projet initial, une vocation multiculturelle, avec notamment une salle de cinéma. Et à ce titre, cet équipent pouvait prétendre à ces aides des collectivités partenaires.
Or, M.MOULY et NN ont jugé bon de changer la destination du lieu, et de lui donner un objet plutôt sportif avec notamment l'ajout de douches... Jusqu'à preuve du contraire on n'est plus dans le même cadre. Nouveau Narbonne et M. MOULY tentent donc une fois de plus de tromper les Narbonnais. Mais à Narbonne-Plage, ainsi que le rappelle également Jacques BASCOU, il sera bien difficile de masquer l'inaction de M. MOULY et de NN : depuis mars 2014, tous les projets de modernisation de la station ont été stoppés, notamment la poursuite de l'aménagement du front de mer.
Seule cette salle en chantier témoigne d'une amélioration des infrastructures ; une salle voulue par l'équipe de Jacques BASCOU, qui en avait prévu le financement dans un projet multiculturel qui pouvait prétendre à des aides extérieures. Par leur mauvaise gestion de la situation, M. MOULY et NN ont semble-t-il perdu des soutiens financiers précieux pour la Ville. A cette équipe si mal avisée il ne reste que les armes de la manipulation et de la désinformation. A ce jeu malsain, c'est encore une fois Narbonne qui trinque.
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25 juillet 2015
Treize structures d'accompagnement et de soutien à la création d'entreprises et aux projets professionnels ont été regroupés par le Grand Narbonne au sein du programme IN'ESS à St Jean-St Pierre (dans les locaux de l'ancienne direction des Telecom). Il s'agit d'un programme innovant porté par le Grand Narbonne et qui a reçu le soutien de l'Europe, de la Région et du Département (8 millions d'euros d'investissement en tout).
Ainsi que l'a indiqué Jacques BASCOU dans un premier bilan de cette structure "120 projets sont accompagnés" par IN'ESS avec autant d'emplois déjà créés (voir l'article ci-dessous).
Pour plus de renseignements
cliquer sur l'image
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16 juillet 2015
A La Nautique, Jacques HEURLEY, l'ancien président de la Société nautique s'inquiétait de la création d'un parking en lieu et place du boulodrome, et avait posé dernièrement plusieurs questions aux actuel dirigeants de la SNN. (Lire notre post précédent) Les réponses apportée dans la presse, notamment par M. Robert DÉJEAN, l'actuel président de la SNN, sont édifiantes de l'état d'esprit de celui qui fut par ailleurs conseiller général du canton Sud et qui demeure conseiller municipal auprès de M. MOULY.
Ainsi, M. DÉJEAN n'hésite pas à s'opposer à ses détracteurs au prétexte qu'ils se feraient "les avocats d'une cause commerciale", en l'occurrence le restaurant Le Pavillon, donné en location par l'ancienne équipe dirigeante de la SNN. (Lire le premier passage surlignée en jaune)
Comment qualifier l'attitude d'un président d'association, par ailleurs élu de la Ville, qui fustige une action en faveur du développement économique et de l'emploi ? Irresponsable semble être le mot le plus approprié...
Par ailleurs, dans ces mêmes réponses, M. DÉJEAN confirme une information importante, à savoir que ces travaux de parking, qui boucheront la plus belle vue de La Nautique et nuiront évidemment au nouveau restaurant qui anime les lieux, ont été réalisés avec l'accord de la Ville et de M. MOULY. (Lire le deuxième passage surligné en jaune)
Ainsi, comme nous le craignions dans notre dernier article sur ce sujet, M. MOULY est bien l'otage de ses amis de La Nautique, lui qui a tout fait pour déstabiliser l'équipe précédente du Président HEURLEY. M. MOULY devra donc assumer à son tour la défiguration de ce magnifique lieu patrimonial de Narbonne, et le fait qu'un de ses élus n'a que faire de la prospérité des activités commerciales sur ce site...
On dit souvent qu'on a les amis qu'on mérite...
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13 juillet 2015
A la Société Nautique, M. MOULY semble totalement débordé par sa créature... Après avoir créé maintes difficultés à l'ancienne équipe dirigeante de la Société Nautique et suscité une prise de pouvoir de ses amis, parmi lesquels figure le nouveau président M. Robert DÉJEAN (par ailleurs conseiller municipal Nouveau Narbonne), M. MOULY est-il impuissant à faire valoir les intérêts de la ville sur la concession portuaire des bords de l'étang ?
Ainsi, M. Jacques HEURLEY, l'ancien président débarqué par les
amis de M. MOULY, pose aujourd'hui dans la presse plusieurs questions relatives à des travaux entrepris dans l'enceinte de la concession portuaire, et qui visent notamment à interdire l'accès du parking aux non sociétaires de la SNN (lire l'article ci-contre). Ces travaux auront pour conséquence de supprimer le
boulodrome qui se situe devant le nouveau restaurant "Le Pavillon", établissement plébiscité par la clientèle depuis sa création, mais semble-t-il peu au goût des nouveaux dirigeants de La Nautique, soucieux de rester entre soi... et d'exclure toute présence non agréée par eux. Les questions de M. HEURLEY interpellent indirectement la mairie :
ces travaux on-ils reçu l'aval des autorités municipales, sachant que la Société Nautique est concessionnaire du port pour le compte de la Ville ? La réponse est en suspens. Que va faire M. MOULY ? Laissera-t-il
faire ses encombrants amis ? Ou virera-t-il de bord en catastrophe comme il l'avait fait en rétablissant l'organisation d'un championnat national de Wind Surf que ses amis voulaient rayer de la carte narbonnaise ? Dans tous les cas, M. MOULY devrait savoir que diriger une ville
nécessite d'avoir un cap et une boussole... Mais manifestement, à La Nautique comme pour l'ensemble de la politique municipale, il navigue à l'estime.
Très inquiétant !
Sur le même sujet lire la chronique de Michel SANTOCliquer sur le photo
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10 juillet 2015
Initiées par l'équipe de Jacques BASCOU en 2012, la réhabilitation de l'ancienne caserne Montmorency et la définition d'un nouveau quartier semblent être enfin d'actualité. La municipalité NN en a dévoilé dernièrement les grandes lignes
avec notamment la création d'un jardin au coeur de cet ensemble immobilier d'environ 120 appartements. En revanche, nulle trace de la maison des associations qui était projetée initialement ! Il est vrai que le soutien aux associations n'est pas dans les priorités de la municipalité NN... Toujours est-il que l'on se félicite de la mise en oeuvre de ce nouvel
ensemble urbain. Il convient de rappeler que cette opération n'a été possible que grâce à l'implication forte de la municipalité précédente et de Jacques BASCOU personnellement grâce à ses contacts gouvernementaux, pour obtenir que l'Etat rende à la ville la propriété des lieux, à la suite du déménagement de l'escadron de gendarmerie mobile qui l'occupait. Merci donc à l'équipe BASCOU d'avoir impulsé une nouvelle dynamique pour ce quartier de l'avenue Général-Leclerc !
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8 juillet 2015
Après le directeur de la police municipale débarqué l'été dernier, c'est au tour du conservateur des musées d'être viré en ce mois de juillet. (lire ci-contre) Si l'on en croit la presse, ce professionnel qui avait su redynamiser les musées de Narbonne depuis son arrivée en 2012, ne correspond plus à la politique culturelle de M. MOULY...
Outre le fait que la politique culturelle de M. MOULY reste une énigme pour les Narbonnais, le prétexte ne trompera personne. Du reste, on devrait apprendre prochainement que deux autres chefs de services sont eux aussi sur la sellette...
Une fois encore, les promesses de la dernière campagne électorale sont bien loin : dans sa profession de foi M. MOULY promettait de "rassurer" le personnel et, dans une lettre, il s'engageait "solennellement à ne jamais faire de chasse aux sorcières"... (lire ci-dessous)
La réalité a bel et bien rattrapé les Narbonnais. Nouveau Narbonne et M. MOULY montrent leur vrai visage : on est sommé d'être avec eux ou on dégage...
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1er juillet 2015
Manier le mensonge et la duplicité !M. MOULY excelle dans ces mauvaises manières, ainsi qu'en témoignent les dirigeants d'associations qui se sont réunis dernièrement pour protester et agir contre la suppression ou la diminution de leurs subventions. L'Indépendant du jour expose les difficultés auxquelles ces associations sont désormais confrontées, notamment dans l'organisation d'animations pour les Narbonnais.
Ces animations, M. MOULY semble en avoir fait une condition pour que soient versées des subventions, ce qui était déjà le cas avec l'ancienne municipalité. C'est ce qu'on peut lire dans l'encadré surligné en jaune.
Or, un dirigeant d'une de ces associations sanctionnées de manière arbitraire révèle que la mairie elle-même l'avait sollicité pour organiser une animation. On ne saurait agir avec plus de cynisme
et de fausseté... Lire la suite |
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1er juillet 2015
Nous l'écrivions dans notre bilan de la première année de M. MOULY et de NN à la mairie : "Ce qu'ils font de mieux c'est de poursuivre les actions de l'équipe de Jacques BASCOU, mais en cherchant à s'en attribuer la paternité"... Fait à nouveau vérifié dans la presse du jour, avec la mise en lumière de l'opération d'accessibilité à la plage pour les handicapés. Or, contrairement à ce qui est dit dans cet article par l'adjointe en charge du dossier, ce dispositif n'a pas été lancé l'été dernier mais bien par l'équipe de Jacques BASCOU, grâce à l'implication de
Georges ABBAMONTE, ancien conseiller municipal délégué au handicap (lire sa mise au point ci-contre). Alors on ne peut que se réjouir que cette magnifique initiative
soit poursuivie et développée, mais Nouveau Narbonne n'en a nullement la paternité. Cependant, l'on se doit malheureusement de rappeler que la
nouvelle municipalité n'est pas toujours aussi bien inspirée dans ses choix concernant l'accessibilité de l'espace public puisque M. MOULY s'entête notamment à organiser le conseil municipal dans une salle non accessible. Ce que Georges ABBAMONTE et d'autres membres d'associations d'aide au handicap ont rappelé lors du conseil municipal de mars, entraînant une nouvelle crise de nerfs du maire...
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1er juillet 2015
L'association J'Aime Narbonne a tenu son assemblée générale, lundi soir au restaurant Chez Pierrot (Vinassan). Une centaine d'adhérents a participé à cette soirée placée sous le double signe de l'engagement et de la convivialité.
Le Président Jacques Baillat a ouvert les débats en rappelant la raison d'être de J'Aime Narbonne : une association de citoyens de tous horizons, engagés pour l'avenir de Narbonne et partageant l'esprit d'ouverture qui a prévalu au sein de l'équipe municipale de Jacques Bascou, entre 2008 et 2014.
Il a particulièrement insisté sur la capacité de rebond de J'aime Narbonne. En effet, à la déception de la défaite aux municipales asuccédé une volonté de faire valoir les valeurs du mouvement dans le cadre des élections départementales. La mobilisation formidable de tous a permis de faire élire ou réélire quatre candidats issus des rangs de J'Aime Narbonne et de réaliser un magnifique grand chelem sur les trois cantons de Narbonne ; véritable camouflet infligé à Nouveau Narbonne et à son leader M. Mouly, qui ambitionnaient de tout écraser.
Cette année difficile fut aussi marquée par la consolidation de la présidence de Jacques Bascou au Grand Narbonne, où ses capacités de rassembleur ont été reconnues d'une majorité d'élus, de plus en plus étoffée au fil des mois.
Ainsi, en animant à Narbonne une opposition municipale ni systématique ni démagogique, mais ferme et déterminée sur le contenu des dossiers, les élus de J'Aime Narbonne s'affichent clairement en alternative crédible pour construire l'avenir de Narbonne.
Ainsi que l'a détaillé le secrétaire général Guillaume Masson, l'association s'est donnée les moyens de son ambition, notamment en termes de communication (site internet, page Facebook, Twitter, dépliants d'information, notamment les quatre pages consacrées au « Vrai bilan de M. Mouly et de NN »).
Mais J'Aime Narbonne, c'est aussi un lieu d'échanges et de convivialité, avec de nombreux rendez-vous pour consolider les liens.
Comme toute association, J'Aime Narbonne a besoin de ressources pour vivre. Celle-ci proviennent exclusivement des cotisations des adhérents et des produits des festivités. La trésorière Alice Guitard a dressé un bilan de gestion excédentaire.
A la faveur de cette assemblée générale, le conseil d'administration s'est étoffé de neuf nouveaux membres élus à l'unanimité. Il s'agit de : Fanny AMOROS, Michel BASCOUL, Bruno BIRAL, Elsa CHABANE, Patrick FRANCOIS, Magali GUERRERO, Dominique LLOPIS, Martine MIR, Claudine PETIT.
Enfin, avant la partie conviviale, il appartenait à Nicolas Sainte-Cluque, porte-parole de l'association, et Jacques Bascou, président d'honneur, de conclure en appelant chacun à poursuivre son engagement pour Narbonne, dans l'unité qui est celle de J'Aime Narbonne, et dans « l'esprit d'ouverture » qui malheureusement aujourd'hui a déserté les instances d'un pouvoir municipal replié sur lui même et qui place Narbonne dans un isolement dangereux.
J'Aime Narbonne veut et va se battre pour que notre ville reprenne la marche en avant qui fut la sienne entre 2008 et 2014. Lire la suite |
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30 juin 2015
On a beau être vacciné les embrouilles de Nouveau Narbonne laissent toujours pantois.
La dernière est plus que gonflée puisque que "NN" dit et fait dire dans les quartiers Sud que l'actuelle municipalité n'est pour rien dans l'arrêt du projet d'école de Montplaisir. Et les menteurs patentés qui gouvernent la ville, sans vergogne aucune, renvoient la faute sur l'équipe de Jacques BASCOU.
Pour rafraîchir la mémoire de Nouveau Narbonne, voici deux articles qui remettent les choses à leur place :
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30 juin 2015
Jacques BASCOU, Président du Grand Narbonne, a beaucoup oeuvré pour la constitution de l'association de coopération Coeur du Languedoc qui réunit les agglomérations de Narbonne, Béziers, Agde et les communautés de communes de Lézignan et de la Domitienne. C'est désormais chose faite. La constitution de cette association API (approche territoriale intégrée) a été formalisée lundi à Maureilhan.
A cheval sur deux départements et englobant le territoire de ce qui fut appelé un temps le Triangle d'Oc, cette association est une première française. Son but est simple : travailler en coopération étroite pour porter des projets communs (Canal du Midi, économie, viticulture, énergie) accessibles aux financements européens. Seize projets ont été listés, qui pourraient mobiliser 27 millions d'euros de ces fonds européens dont la répartition sera décidée à l'automne par le Conseil régional.
Voilà comment on doit faire de la politique aujourd'hui. Rechercher des coopérations tous azimuts et porter des projets à l'échelle d'un territoire pertinent, dans le but de créer de l'activité et de l'emploi. Pour celà, il faut de la vision, de l'engagement et un sens de l'ouverture.
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24 juin 2015
Face à l'arbitraire des décisions de la municipalité et de son maire M. MOULY, plusieurs représentants d'associations se sont réunis mardi soir devant la mairie et dans le cadre du conseil municipal.
Lors des débats de l'assemblée, ces bénévoles sanctionnés par la politique de Nouveau Narbonne n'ont pas eu de la part de M. MOULY et des élus de la majorité les réponses cohérentes et objectives qu'ils pouvaient espérer. En revanche, ils ont entendu et applaudi l'intervention de Nicolas SAINTE-CLUQUE, au nom de J'Aime Narbonne. Ce dernier a patiemment décortiqué ces attributions de subventions pour 2015, parvenant à la conclusion que sous couvert d'économies de bouts de chandelles, Nouveau Narbonne a bien appliqué des choix clientélistes visant à sanctionner ceux qui ne lui font pas allégeance.
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21 juin 2015
Contrairement à tous les usages des précédentes municipalités, M. MOULY et son équipe n'avaient pas produit la liste des subventions aux associations lors du conseil municipal de mars, à une semaine des élections départementales.
J'Aime Narbonne avait protesté de ce manquement et fait part de craintes légitimes quant à ces attributions pour l'année 2015.
Craintes hélas justifiées au regard des subventions qui seront proposées au vote du Conseil municipal ce mardi 23 juin (18h30Salle des Synodes).
En effet, Midi Libre publie ce matin cette liste (lire ci-contre) dans laquelle on constate que 50 associations on été purement et simplement rayées de la liste des attributions et que certaines ont vu leurs moyens considérablement réduits : notamment les associations de quartier qui oeuvrent pour la préservation du lien social, mais aussi l'association Acti City qui propose un grand nombre d'activités pour les jeunes de Narbonne, ou encore l'Association des commerçants du centre ville qui assure l'animation du commerce.
M. MOULY va nous dire mardi soir qu'il entend ainsi faire des économies sur le budget de la Ville. Il nous avait dit la même chose lorsqu'il avait décidé de supprimer les moyens de communication de la Ville, notamment le magazine d'informations municipales. Or, il vient de se dédire une fois de plus en faisant publier un nouveau magazine dénommé "Narbonne & Vous".
Encore une fois M. MOULY gouverne à l'impulsion et au coup de tête. Cette fois, ce sont les associations narbonnaises qui en font les frais.
Comme on le craignait en mars, le coup de ciseau est arrivé en juin !
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18 juin 2015
" Pas facile de s'y retrouver ! " Le Midi Libre décrypte dans son édition du jour la guéguerre entre M. MOULY et M. PY pour la tête de liste audoise des Républicains (ex-UMP) aux futures élections régionales.
En effet, c'est le moins que l'on puisse dire au regard des tergiversations de M. MOULY qui n'était pas candidat le 8 juin, qui l'était formellement le 13 juin et qui ne l'est plus depuis le 17... (voir notre précédent article ci-dessous).
En réalité M. MOULY a encore agi de manière irréfléchie et impulsive, démontrant une fois encore son inexpérience de la fonction politique, fût-elle apolitique.
M. MOULY espérait ainsi obtenir cette tête de liste de la droite audoise tout en restant en marge des Républicains, cela au nom de la "société civile". Encore un bel exemple de l'hypocrisie historique de Nouveau Narbonne, refusant d'endosser et d'assumer son étiquette évidente de droite.
Mais si M. MOULY père, avait su, en son temps, faire vivre cette ambiguïté et l'imposer à ses partenaires de la droite régionale sous la tutelle de l'ancien président Jacques BLANC, l'héritier est loin d'avoir ce talent et cette habileté.
Les Républicains et M. PY ont donc fermement renvoyé cet héritier derrière les murs du "château" où, à en croire le Midi Libre, M. MOULY serait désormais en proie à une grosse bouderie d'enfant, faisant savoir que s'il n'est pas finalement désigné en première place, la liste des Républicains se fera sans Nouveau Narbonne.
En somme M. MOULY se met en situation de négocier l'armistice alors qu'il a perdu la guéguerre...
Face à ce déferlement d'inconsistance et d'ego, M. PY a beau jeu de montrer (faussement) désolé : " Je renonce à comprendre cette séquence et donc à la commenter... " C'est plus cruel encore pour M. MOULY qu'un coup de colère bien senti...
Ainsi que J'Aime Narbonne l'exprimait hier, tout cela prêterait à sourire s'il ne s'agissait pas du maire de Narbonne, c'est-à-dire de celui dont les paroles et les actes engagent la réputation et l'image de la ville. Et là, on n'a plus envie de rire car à l'évidence le comportement irréfléchi et égotique de M. MOULY ne fera pas avancer les dossiers de la ville.
Voilà pourquoi il sera important, en décembre prochain, de désigner dans la future assemblée régionale des représentants de Narbonne et du Grand Narbonne qui sauront porter l'intérêt général.
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17 juin 2015
Samedi 13 juin l'Indépendant nous a appris que M. MOULY est candidat pour mener la tête de liste des Républicains (ex-UMP) aux élections régionales de décembre prochain. Ce mercredi 17 juin, le même journal nous indique que M. MOULY renonce à cette ambition, ou plutôt que M. Michel PY, maire de Leucate et leader des Républicains dans l'Aude, l'y a fait renoncer.
En quatre jours, M. MOULY a donc cumulé une déroute politique avec un fiasco de communication... Cela prêterait à rire s'il ne s'agissait du maire de Narbonne et donc de l'homme qui est censé porter haut les intérêts de notre cité et de ses habitants.
Or que nous montre cet homme à travers ce nouvel épisode calamiteux
pour l'image de Narbonne ?
1. M. MOULY démontre une fois encore son caractère impulsif, non réfléchi qui le conduit à agir par coups de tête (souvenons-nous du va-et-vient de Sportfolio) et non comme un élu responsable qui murit ses réflexions et se donne les moyens de parvenir à ses fins dans l'intérêt général.
2. Or, l'intérêt général est bien le cadet des soucis de M. MOULY, lui qui promettait d'être un maire à temps plein. A l'inverse, il nous montre son visage réel, celui d'un homme qui se préoccupe d'abord de sa carrière politique et de ses intérêts personnels. En effet, après avoir été candidat aux élections départementales (avec le résultat que l'on sait), il visait désormais une place éligible au Conseil régional, afin d'améliorer sa situation personnelle. Au final, cet épisode consternant démontre une fois de plus que M. MOULY n'est pas à la hauteur de la fonction de maire de Narbonne et cette triste réalité conduit malheureusement à isoler et affaiblir notre ville sur la scène départementale et régionale.
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23 mai 2015
Souvenons-nous ! La première décision prise par M. MOULY au lendemain de son élection l'an dernier fut l'annulation du festival Sportfolio, au prétexte qu'il voulait rétablir le Conseil municipal dans la salle des Consuls de la mairie... alors que cette salle constituait le coeur des expositions du festival.
M.MOULY avait aussi clamé que Sportfolio n'était pas assez ouvert aux photographes locaux, témoignant ainsi qu'il n'avait rien compris à la portée mondiale de ce festival, lequel participe de ce fait au rayonnement de Narbonne.
Heureusement, face au tollé général suscité par ce premier caprice de M.MOULY (il en aura beaucoup d'autres par la suite), Sportfolio a pu retrouver sa place à Narbonne, et ce malgré une baisse importante de la subvention municipale, mais toujours avec le soutien du Conseil général et du Grand Narbonne, ainsi que celui de la Région.
Mais, visiblement, M. MOULY n'aime pas qu'on lui rappelle ses errements. Et quand le journaliste du Midi Libre s'est avisé de le faire, lors de la conférence de presse de présentation, le maire s'est montré "agacé". Un attitude qui contraste avec celle de Jacques BASCOU lors de cette même conférence : "Quand on est uni sur Narbonne, ça permet de rayonner !" a déclaré le Président du Grand Narbonne.
Il ne reste qu'à souhaiter un plein succès à cette nouvelle édition de Sportfolio ! Sans aucun agacement !
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20 mai 2015
Le Midi Libre publie ce mercredi 20 mai le rapport de la société des transports Keolis, relatif au déplacement des arrêts de bus Mistral et Rossel, décidé autoritairement par M. MOULY, sans concertation avec les professionnels des transports.
Ce déplacement, qui a conduit à la création d'un nouvel arrêt aberrant devant le Palais du Travail, avec des travaux coûteux et l'abattage piteux d'un platane, pose d'évidents problèmes de sécurité qui sont pointés par la société Keolis.
M. MOULY lui continue de se terrer dans le silence, et entame de nouveaux travaux coûteux pour créer un quai de délestage afin de desservir les établissements scolaires, occasionnant de nouvelles dépenses inutiles.
On comprend que M. MOULY soit plus que très gêné aux entournures. En effet, cette affaire, souligne son amateurisme d'élu mais aussi sa tendance à s'octroyer le "fait du prince" puisque ces déplacements se situent devant son cabinet professionnel.
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19 mai 2015
Volontairement, par respect et souci de non ingérence dans la vie interne des associations, nous n'avions pas commenté la prise de pouvoir plus que douteuse qui s'est opérée il y a quelques semaines au sein de la Société Nautique.
Personne n'est dupes pour autant : le renversement du Président Jacques HEURLEY a bien été provoqué par les amis de M. MOULY, au premier chef du quel figure M. Robert DÉJEAN.
Le projet que portait le président sortant était sans doute trop ambitieux pour les amis de M. MOULY, très désireux semble-t-il de conserver La Nautique à l'égal d'une propriété privée.
Mais nous ne pouvons garder davantage le silence après l'annonce de annulation, par la nouvelle équipe de La Nautique, du championnat national d'extrême glisse (Windsurf). Car cet événement, soutenu jusqu'ici par la municipalité de Jacques BASCOU, contribuait, comme tant d'autres, au rayonnement de Narbonne et à sa bonne réputation.
En effet, ce sont pas moins de 300 personnes (concurrents et familles) qui étaient hébergés pendant plusieurs jours, à Narbonne fin août, au moment où l'activité touristique décline sensiblement.
Les amis de M. MOULY ont sans doute pensé que ce championnat perturberait la quiétude du petit port qu'ils estiment leur... Le même M. MOULY, rappelons-le, avait torpillé toujours à La Nautique un projet d'hôtellerie-restauration qui pourtant aurait amené de activité et de l'emploi.
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16 mai 2015
Celle-là, il fallait y penser ! Mais M. MOULY illustre un bon mot de Michel Audiard : il ose tout... jusqu'à réclamer 500 000 euros de dédommagement pour l'usure des chaussées relative au passage des autobus sur la voirie de Narbonne...
Que faut-il comprendre sans cette demande délirante ?
Assurément que M. MOULY considère les transports urbains comme une contrainte et non comme un service rendu à la population narbonnaise. C'est avec le même état d'esprit, souvenons-nous, qu'il a déplacé autoritairement l'arrêt de bus situé devant son cabinet professionnel pour l'implanter face au Palais du Travail, ce qui nécessita l'abattage nocturne et piteux d'un platane.
Faut-il aussi rappeler que M. MOULY se parait, il y quelques semaines encore, du label "d'élu responsable". Pour rester dans la métaphore cinématographique, après cette lubie, M. MOULY aurait pu obtenir un rôle de premier plan dans le film "Ridicule"...
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8 mai 2015
Nouvelle illustration de la manière brutale dont la municipalité Nouveau Narbonne gère les associations de la ville, le local de l'Arche, association d'utilité publique dans le quartier de St-Jean/St-Pierre, a été enlevé sans même en aviser les responsables de l'association.
Rappelons qu'à l'été dernier, une autre association d'utilité publique, l'UFC-Que Choisir, avait été virée du jour au lendemain du local qui lui avait été attribué quelques mois auparavant...
Explication officielle : il fallait reloger une directrice de la mairie. Explication plus probable : favoriser une autre association de consommateurs proche du régime municipal et co-fondée par l'actuelle première adjointe Mme BELOTTI-LASCOMBES...
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27 avril 2015
M. MOULY et Nouveau Narbonneviennent de boucler leur première année à la mairie de Narbonne.
Malgré le désaveu retentissant qui lui a été infligé le 29 mars dernier à l'occasion des élections départementales, la majorité municipale tente de présenter le bilan de cette première année sous un jour favorable.
Parfaitement dans son rôle d'opposition vigilante et responsable, attaché à la préservation de l'intérêt général et fermement engagé auprès des Narbonnais pour préparer un avenir meilleur pour la ville et ses habitants, le groupe J'Aime Narbonne a souhaité informer la population de la réalité de ce bilan de M. Mouly et de NN.
Un dépliant de quatre pages est en cours de distribution en ville, dans lequel l'on verra que M. Mouly et ses amis ont multiplié les décisions incohérentes, sans aucune vision d'ensemble, qu'ils ont renoué avec les erreurs du passé : repli sur soi et isolement de Narbonne, pressions sur les associations et le personnel municipal, mélanges des genres douteux, et même la tentation du "fait du prince" et des petits arrangements personnels.
Les seules actions positives ont consisté à inaugurer ou à poursuivre les projets engagés par Jacques Bascou et son équipe. Mais M. Mouly et NN ont toujours essayé de se les attribuer en niant ou en escamotant la paternité de ces projets.
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27 avril 2015
Tandis que M. MOULY, s'adonne au "pétassage" de quelques rues ou qu'il déplace l'arrêt de bus devant son cabinet professionnel, Jacques BASCOU s'active sur tous les fronts pour obtenir des moyens nouveaux pour le développement du territoire et l'inscrire dans une vision d'avenir.
1. La semaine dernière, le Président du Grand Narbonne était à l'Elysée où il a rencontré le Président de la République François HOLLANDE et la ministre de l'Ecologie Ségolène ROYAL et s'est vu confirmer une subvention de 500 000 € dans le cadre du programme "Territoires à énergie positive pour la croissance verte". Cette subvention pourra atteindre 2 M€ en fonction de la qualité des projets présentés.
2. Par ailleurs, Jacques BASCOU continue d'oeuvrer en étroite coopération avec les intercommunalités voisines (Béziers-Méditerranée, Hérault-Méditerranée, la Domitienne et le Lézignanais) pour constituer une force de frappe en vue de monter des projets éligibles aux fonds européens. Avec en ligne de mire, la constitution d'un futur pôle métropolitain régional qui s'insèrera entre ceux de Toulouse et Montpellier (voir article ci-joint).
La différence d'approche entre Jacques BASCOU et M. MOULY ne peut que sauter aux yeux des Narbonnais... D'un côté il y a du travail de fond au service d'une vision du territoire et de l'avenir. De l'autre c'est un manque d'expérience, de relationnel positif pour la ville, et un regard au ras du goudron.
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22 avril 2015
Alors que l'Espace de Liberté porte un projet inédit autour des sports de glisse, en coopération avec l'ex-patineur Philippe CANDELORO, la mairie - affichant clairement son obsession "d'aller vite" - lance son propre projet de skate parc sur le site de l'Espace de Liberté.
Encore une fois, la vision à courte vue et le tape à l'oeil guident les choix de Nouveau Narbonne ; avec toujours cette pratique du "seul contre tous".
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22 avril 2015
Après les élections départementales, les choix budgétaires du Département ont été définis avec une reprise de l'investissement au niveau qui était celui d'avant la crise de 2008. C'est le résultat d'une politique de maîtrise des dépenses accompagnée d'une stabilité des taux d'imposition depuis cinq ans.
Cette bonne gestion était aussi celle qui a caractérisé le mandat de Jacques BASCOU à la mairie de Narbonne de 2008 à 2014. Pendant ces six années, la Ville a investi et s'est modernisée, elle a amélioré les services à la population, sans affecter les grands équilibres des finances et sans augmenter les taux d'imposition. Cette politique dynamique a permis de soutenir l'activité économique pendant les longues années de crise, offrant à travers l'investissement un ballon d'oxygène aux entreprises locales.
A Narbonne, la mairie fait un choix inverse
Les choix de la municipalité de M. MOULY sont différents puisqu'un brutal coup de frein à l'investissement s'est produit à l'annonce du budget de 2015 (15 millions d'euros environ alors que l'équipe BASCOU a maintenu un investissement d'environ 20 millions d'euros par an).
Il apparaît que M. MOULY et ses amis n'ont pas de projet pas de vision à long terme. Ils sont obsédés par la réalisation de leur "grande salle" au Parc des Sports, un équipement qui coutera au bas mot 20 millions d'euros et qui ne correspond pas à un réel besoin pour les Narbonnais. Bref c'est du tape à l'oeil...
D'ailleurs, ce manque de vision à moyen terme est flagrant puisque M. MOULY et NN annoncent aujourd'hui vouloir créer un gymnase gonflable à destination des handballeurs sur le site de l'Espace de Liberté. Encore une fois, où sont la cohérence et la vision d'ensemble ?
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22 avril 2015
Parmi les autorisations de programme, actées par le Conseil départemental pour 2015, figure le chantier de la Rocade Est de Narbonne. La promesse faite par les candidats de la Majorité départementale (Patrick FRANÇOIS et Hélène SANDRAGNÉ) sera tenue. Les Narbonnais ne se sont pas trompés en choisissant les vrais élus responsables.Lire la suite |
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19 avril 2015
Jacques BASCOU, Président du Grand Narbonne, s'exprime ce matin dans le Midi Libre et livre ses commentaires sur la dernière année politique à Narbonne et dans le Grand Narbonne.
Sa sérénité et sa hauteur de vue apparaissent tout au long de ses propos. Un contraste saisissant avec de récentes interviews-bilan, dont celle du maire M. MOULY.
Tout en tenant ferme la barre du Grand Narbonne, où sa majorité s'est consolidée ces derniers mois, Jacques BASCOU distille les conseils qui permettront à J'Aime Narbonne de conforter sa vocation d'opposition responsable et crédible, prête à renouer dès 2020 le fil qui s'est rompu à la mairie de Narbonne.
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