J'Aime Narbonne
"L'esprit d'ouverture" - Page du groupe d'opposition municipale
18 avenue Pierre-Sémard - 11100 NARBONNE

FESTIVAL TRENET : OUI "QUEL GÂCHIS" !

28 décembre 2015



Charles TRENET,

neuvième personnage français le plus connu dans le monde, continue inlassablement d'intéresser les médias. Mais le "Fou chantant" n'a plus droit de cité dans sa ville natale, Narbonne.

Ce matin dans la presse, Marie-Claude EGLESSIES, ancienne adjointe au maire de l'équipe de Jacques BASCOU et fondatrice du Festival Trenet, rappelle à bon escient le gâchis que constitue l'abandon de ce Festival par la municipalité Nouveau Narbonne de M. MOULY.

UN LOGO TERNE ET PASSÉISTE QUI FAIT FLOP !

17 décembre 2015

"L'esprit d'ouverture"

avait déjà été rayé du logo de la Ville de Narbonne et surtout des pratiques de la municipalité Nouveau Narbonne, repliées sur elle même, pratiquant l'ostracisme et l'exclusion à l'encontre de tout ceux qui ne font pas allégeance.

Mais cela ne suffisait pas. M. MOULY et ses amis avaient hâte de faire disparaitre une signature dynamique qui soulignait l'esprit de dialogue et de partenariat qui était celui de l'équipe de Jacques BASCOU.

Ainsi est né un nouveau logo, semble-t-il bricolé à la hâte. M. MOULY et son adjoint CESAR l'on présenté à la presse locale en début de semaine. Aujourd'hui, cette même presse relate l'accueil réservé par les réseaux sociaux à ce logo. Un flop retentissant ! Le mini sondage réalisé par l'Indépendant indique que seuls 16,8% disent que ce logo "leur plaît beaucoup", 27 % lui préfèrent le précédent tandis que plus de 50 % se demandent "si c'était bien nécessaire"...

"Un logo qui cultive la nostalgie",

par Nicolas SAINTE-CLUQUE


"MM. Mouly et César ont présenté à la presse le nouveau logo de la municipalité.

Sur la forme, nous ne pouvons que regretter un graphisme qui cultive la nostalgie, le passé. Un logo fade, « à la papa » en quelque sorte. Le slogan quant à lui, inscrit désormais notre ville dans l’incertitude, l’hypothétique… Il est le reflet de la gestion Nouveau Narbonne : sans vision claire, sans volonté de faire rayonner la ville en dehors de ses remparts.

A peine dévoilé, il fait déjà un flop auprès des Narbonnaises et des Narbonnais ! Mais que pouvaient-ils attendre de la part d’élus qui les ignorent ?

Sur la méthode que pouvons-nous dire, si ce n’est que le logo d’une ville ne se construit pas en cachette derrière les murs épais du Château. Considérer les Narbonnaises et les Narbonnais comme de simples spectateurs est une erreur fondamentale. Ils doivent au contraire être acteurs et participer pleinement à la gestion de la cité. Cela nous l’avions compris et mis en œuvre lorsque nous avons créé le logo « Narbonne, l’esprit d’ouverture », en associant les personnalités du monde économique, du sport, de la vie associative, des historiens, le personnel de la mairie et même les élus ! La population a pu elle aussi participer à la création de cette identité visuelle en exprimant son avis via le site internet. Il en était d’ailleurs ressorti que l’ancien et vieux logo était considéré comme « trop froid », « strict » et « statique » et que les Narbonnais ont une image de leur ville tout en douceur et en modernité.

De cette participation est né le logo orange feu-jaune, reflet de l’esprit Narbonnais. La couleur orange est bien celle des Narbonnais, couleur identitaire que tous les clubs sportifs portent. C’est une couleur chaude qui exprime le dynamisme et la modernité de notre ville où il fait bon vivre. C’est également un rappel de notre terroir et de ses racines romaines ouvertes sur la Méditerranée.

« L’esprit d’ouverture » n’était donc pas un simple slogan, c’était, et reste, un état d’esprit qui permettait de créer du lien et de véhiculer l’idée d’échanges constructifs avec d’autres territoires, d’autres partenaires.

Monsieur César s’est cru bon de souligner que son pâle logo n’aurait coûté que 10.000€. Mais le résultat est à la hauteur de son investissement : vide de sens et inutile. Alors au lieu de consacrer chaque année une importante enveloppe budgétaire au remplacement non justifié du précédent logo sur tous les supports de la ville, Monsieur César ferait mieux par exemple de consacrer ce budget à l’achat d’un livre de Noël pour les enfants ainsi qu’au soutien des associations narbonnaises qui participent au dynamisme de notre ville et qui, voyant leurs subventions se réduire comme peau de chagrin, risquent de ne plus pouvoir atteindre leurs objectifs ô combien importants.

Une fois encore les élus Nouveau Narbonne font preuve d’une incompétence, d’un amateurisme et d’un manque de vision sans précédent. Cela prêterait à sourire si l’image de notre ville n’était pas en jeu. "

RÉUNION PUBLIQUE DU 24 OCTOBRE : ENGAGEMENTS ET VALEURS AVEC J'AIME NARBONNE

25 octobre 2015

Vendredi soir, plus de quatre vingts personnes

avaient répondu à l'invitation de J'Aime Narbonne, pour une réunion publique à l'Espace Léo.
Une occasion de rappeler les engagements et les valeurs de l'association créée en juin 2014 avec pour objectif de soutenir l'action des élus de l'opposition municipale J'Aime Narbonne et de préparer un projet avec et pour les Narbonnais dans l'optique d'une alternance en 2020.

Le président Jacques BAILLAT a rappelé ces objectifs avant de céder le micro à Hélène SANDRAGNÉ, vice-président du Conseil départemental, qui s'est attachée à rappeler les valeurs de solidarité et de justice qui doivent guider l'action publique, et de conclure par cet appel en forme de souhait : "Pour faire la différence, il faudra être différent".

Catherine BOSSIS, également vice-présidente du Conseil départemental, a aussi parlé de valeurs, en revendiquant son propre engagement politique et en portant une critique de l'apolitisme : "L’apolitisme c’est l’absence d’identité, le refus de l’histoire, qui autorise tous les renoncements, tous les compromis. Puisqu'on n'est personne, on peut-être un jour avec Ménard et pire le lendemain..." Elle a terminé en appelant à la mise en oeuvre "d'un projet pour le plus grand nombre qui fasse émerger une vision enthousiasmante pour notre ville..."

Marc ORTIZ, conseiller délégué aux finances au Grand Narbonne, a souhaité alerter l'assistance sur "le projet pharaonique de grande salle que le maire veut imposer, aux Narbonnais." Il a notamment pointé l'incohérence des choix de M. MOULY qui, tout en s'attachant à ce projet au coût exorbitant, par ailleurs générateur de lourdes charges de fonctionnement, multiplie les installations de structures provisoires et tout aussi coûteuses (chapiteau pour le volley au Palais du Travail à 350 000 €, gymnase gonflable à l'Espace de Liberté pour 690 000 €). "Avec tous ces chapiteaux, je me demande si Narbonne n'est pas la ville du cirque..." a conclu Marc ORTIZ.

Enfin, Nicolas SAINTE-CLUQUE, conseiller départemental et porte-parole de J'Aime Narbonne, a synthétisé : "J'Aime Narbonne s'adresse aux Narbonnais dans leur différence. Ce qui nous rassemble ce sont des valeurs : justice, égalité, respect. Ailleurs, ces valeurs sont obsolètes...
"Ce qui nous rassemble aussi c'est la vision de la ville en opposition à une gestion à la petite semaine et au clanisme.
"A cette vision nous voulons associer les Narbonnais. Aujourd'hui, dans les conseils de quartiers, les gens sont dans l'attente. Et pour cause, NN na mis que des gens à lui. Ils n'aiment pas la différence, ils forment un clan dans lequel c'est copinage d'un côté et flingage de l'autre...
"Effectivement nous ne sommes pas la pâle copie de Nouveau Narbonne. Ici, on ne regarde que les idées qui feront avancer Narbonne. Ici, nous portons "l'esprit d'ouverture" qui a été celui de l'équipe de Jacques BASCOU entre 2008 et 2014..."

AFFAIRE DU CHEF DE CABINET DE LA MAIRIE :
PRUDENCE
ET Réserve s'imposent... y compris à m. MOULY

9 octobre 2015

Prudence et réserve :

la position et l'attitude de J'Aime Narbonne ne varient pas dans le cadre des ennuis judiciaire du chef de cabinet de M. MOULY.

En effet, la lecture de la presse du jour n'apporte que peu de clarification et aucune certitude dans ce dossier judiciaire des plus stupéfiants.

Les interpellés dans cette affaire de trafic de viande de cheval, dont le chef de cabinet M. Carnero, ont tous été remis en liberté, mais ils "risquent tous une mise en examen" indique Midi Libre dans son article de la page Région.

Le rédacteur de cet article relativement documenté souligne que "le rôle de Stéphane Carnero reste à éclaircir. Il est mis en cause dans l'établissement d'un certain nombre de faux au profit de la famille Rochette" indique une source proche du dossier" (lire ci-dessous).











Autant dire que le chef de cabinet de M. MOULY n'est à cette heure ni accusé ni blanchi de quoi que ce soit. Il convient donc de laisser la justice faire son travail et de rappeler le principe de présomption d'innocence.

J'Aime Narbonne, entend ne pas déroger à ces principes fondamentaux qui pourtant avaient été largement bafoués pendant le mandat de l'équipe de Jacques BASCOU.

Souvenons-nous ! Sous l'impulsion de Nouveau Narbonne, l'opposition de l'époque avait fondé son action sur la propagation de contre-vérités, de rumeurs, de calomnies. C'était une marque de fabrique ! Cet état d'esprit est tellement ancré dans les gènes de Nouveau Narbonne qu'il transparait jusques et y compris dans les attitudes et propos de son leader, M. MOULY.

Pourtant avocat de profession, celui-ci a osé déclarer à la presse, jeudi, qu'il "n'y a pas de fumée sans feu" dans l'affaire de son chef de cabinet. C'est dire que même dans un dossier qui le touche au plus près, la tentation du ragot l'emporte... (lre ci-dessous)









Et c'est ce même M. MOULY qui se plaint aujourd'hui, dans cette même presse, d'atteintes à l'honneur et l'intégrité professionnelle de son collaborateur, et de l'atteinte à la présomption d'innocence en tant que principe fondamental de notre Droit. (lire ci-dessous)








Face à cette tragi-comédie, les Narbonnaises et les Narbonnais sont en droit, eux, de se plaindre de la légèreté et de l'inconstance de leur maire.

M. MOULY VIRE LA CHORALE DE LA NAUTIQUE...
MAIS
IL EST VIRÉ DES RÉGIONALES PAR LA DROITE

7 octobre 2015

Coup de menton d'un côté et coup de pied de l'âne de l'autre...

Le télescopage de l'actualité est terrible pour M. MOULY en ce mercredi de début octobre.

En effet, dans la lignée de ses impulsions désormais légendaires, M. MOULY annonce le clap final pour la Chorale A tout bout d'chant de La Nautique, après plusieurs mois d'une pantalonnade jouée en duo avec son conseiller municipal M. DÉJEAN, par ailleurs président de la Société Nautique (voir notre précédent post).

Pour la petite association culturelle, le message est clair : " Circulez y'a plus rien à voir ! Et débrouillez vous pour vous reloger ailleurs ! " (voir notre coupure de presse)

Mais tandis qu'il se consacrait à régler de manière martiale le sort d'un groupe musical spécialisé dans la chanson populaire, M. MOULY s'est fait lui-même virer de la tête de liste de la droite pour les élections régionales de décembre. C'est finalement M. PY, maire de Leucate, qui tirera la liste audoise, nous indique la presse de ce matin.

Pourtant, après sa valse hésitation du printemps (souvenons-nous : il était candidat le 13 juin et se retirait quatre jours après) M. MOULY nourrissait encore des espoirs. Il avait même délégué son tout nouveau chargé de mission à un tâche de lobbying auprès du parti Les Républicains. Mauvaise pioche !

Ainsi va le maire de Narbonne : occupé à "pétasser" les rues, à sanctionner les associations qui ne lui plaisent pas, à promettre du sport et des spectacles aux Narbonnais qui eux espèrent des emplois et du développement économique, mais il est toujours à côté de son sujet quand il s'agit de rehausser la fonction et de traiter les questions essentielles.

Ce qui frappe le plus chez M. MOULY, c'est son désir non dissimulé de cumuler des mandats, lui qui promettait de ne se consacrer qu'à Narbonne. Il a voulu être conseiller départemental mais les électeurs l'ont remis à sa place. Il a voulu être conseiller régional mais les partis de la droite l'ont renvoyé dans les cordes. Que lui reste-t-il à espérer : député, sénateur et pourquoi pas Président de la République ?

Cependant évitons d'en trop rire car tout cela est finalement bien triste pour Narbonne.

LA NAUTIQUE : À QUOI JOUENT MM. MOULY ET DÉJEAN ?

5 octobre 2015


La presse nous apprend

que la conciliation judiciaire entre l'association A tout bout d'chant et la Société Nautique a échoué.

Rappelons l'origine du conflit : dans le cadre d'une convention avec l'ancienne équipe dirigeante de la Société Nautique, l'association culturelle occupe un local situé sur la concession portuaire. Or, arguant que ce local serait dangereux - ce qu'une expertise a contredit cet été - M. DÉJEAN, président de la SNN, par ailleurs conseiller municipal Nouveau Narbonne, a exigé le départ de A tout bout d'chant, avant démolition du local.

La raison de l'échec de la conciliation qui a eu lieu lundi est tristement simple : M. DÉJEAN n'a fait aucune nouvelle proposition devant le conciliateur de justice M. RAGUIN et il a confirmé qu'il souhaite un départ de l'association A tout bout d'chant au 23 mars 2016 alors que celle-ci demande une prolongation jusqu'à l'été 2016, en sorte de boucler sa saison culturelle et surtout de s'organiser pour de trouver un nouveau local.

Mais là ou l'affaire devient carrément ubuesque, c'est lorsque M. DÉJEAN, contredisant ses déclarations du mois de juin dernier, prétend maintenant que ce n’est plus la S.N.N qui veut le départ de l'association, mais la mairie, propriétaire des lieux et concédante à la Société Nautique.

On croit rêver ! Mais à quoi jouent MM. DÉJEAN ET MOULY ? Ne sont-ils pas élus de la même majorité Nouveau Narbonne, donc logiquement à même d'accorder leurs violons sur ce dossier ? Les tensions sont-elles déjà si vives et les plaies ouvertes à Nouveau Narbonne pour que l'on soit incapable de pendre une décision en concertation ?

Voilà où nous en sommes à La Nautique. On ne sait plus qui gouverne qui, qui veut et décide quoi. Souvenons nous des épisodes tout aussi ubuesques du Championnat de Wind Surf et celui de la Terrasse du restaurant le Pavillon ! Et cette pantalonnade s'exerce depuis des mois. Dans le cas présent, c'est au détriment d'une association culturelle qui anime ce beau quartier de Narbonne.

Oui vraiment, à La Nautique - mais pas seulement - la barque Nouveau Narbonne prend l'eau et se noie dans de sordides querelles. Au détriment encore une fois de l'intérêt général des Narbonnais.

JACQUES BASCOU EXPRIME SA VISION DU TERRITOIRE ET DE L'ACTION PUBLIQUE

5 octobre 2015

Jacques Bascou

s'est exprimé hier dans la presse de Narbonne, dans le cadre d'une grande interview.

Il y rappelle ses objectifs à la tête du Grand Narboone, sa vision du territoire, sa conception de l'action publique et ses pratiques d'élu responsbale opposé à la politque spectacle. Il corrige aussi un certain nombre de contre vérités distillés ces dernières semaines.

Un contenu riche qui illustre la hauteur de vue et le sens des réalités et des priorités du Président du Grand Narbonne.

GRAND NARBONNE : QUAND "NN" FAIT SON CINÉMA,
LA
MAJORITÉ BASCOU TRAVAILLE ET CELA SE VOIT

2 octobre 2015


On ne va pas revenir

une fois de plus sur les gesticulations et le cinéma politicien des élus de Nouveau Narbonne et de leurs alliés, lors du dernier conseil d'agglomération (voir notre précédent article).

La meilleure réponse que puissent apporter Jacques BASCOU et sa large majorité, c'est leur travail au quotidien pour le territoire et les 39 communes qui le composent, Narbonne incluse.

A cet égard, la lecture de la presse du jour est évocatrice (lire ci-contre et ci-dessous).

Il y est question du Pôle Santé dont la création a été approuvée et qui verra l'implantation notamment de la Polyclinique sur la ZAE de Montredon.

Il y est aussi question de l'opération Orchestre à l'école qui s'est soldée par une distribution d'instruments aux élèves de l'école Mathieu-Peyronne (Narbonne) et Yvan-Pélissier (Cuxac).

Voilà le travail au quotidien du Grand Narbonne et de la majorité BASCOU. Loin de la polémique et de la vaine politique spectacle de Nouveau Narbonne.






















GRAND NARBONNE : LES ÉLUS NOUVEAU NARBONNE
FONT UN
P'TIT COUP DE CINÉMA POLITICIEN ET PUIS S'EN VONT...

30 septembre 2015


Le groupe d'opposition au Grand Narbonne,

formé essentiellement par les conseillers de Nouveau Narbonne, a montré une fois de plus, mardi soir, sa conception du débat et son intérêt pour les affaires du territoire.

Vêtus d'un ridicule tee shirt (Stop à l'hémorragie fiscale !), ces élus entendaient contester trois délibérations concernant des ajustement de la Contribution fiscale des entreprises (CFE), de la taxe d'habitation et de la Taxe des ordures ménagères.

Les nouvelles dispositions, portées par Viviane DURAND (maire de Sainte-Vallière et vice-présidente aux finances) et Guillaume HÉRAS (maire de St-Marcel et vice-président à l'Environnement), relevaient de mises en conformité avec la Loi (zonages de la taxe des ordures ménagères) et de la justice fiscale (révision des tranches de la CFE notamment qui n'affecteront que les plus grosses entreprises).

Ces dossiers avaient été travaillé en amont lors des commissions dans lesquelles, selon Viviane DURAND, "la Ville de Narbonne a brillé par son absence"... Ce qui explique sans doute que M. MALQUIER, l'orateur de NN, n'ait trouvé que de maigres arguments à opposer à ces dispositions, reconnaissant même que le surcroit d'investissements qu'elles autoriseraient serait utile... Allez comprendre !

Qu'à cela ne tienne, Nouveau Narbonne a choisi de faire son cinéma politicien en agitant le spectre démagogique de "l'hémorragie fiscale". Cette attitude est restée vaine puisque les trois délibérations ont été adoptées à une large majorité.

Après cette séance de série B, les élus NN ont quitté la salle, démontrant ainsi l'intérêt qu'ils portent aux dossiers du Grand Narbonne. Après cette sortie digne du théâtre de Guignol, nul ne s'est plaint d'une hémorragie de matière grise...

"GRANDE SALLE" : M. MOULY A UN "PETIT DILEMME"...
ET
LES NARBONNAIS PEUVENT CRAINDRE LES GROS SOUCIS

28 septembre 2015

Il faut le lire pour le croire !

Oui, il faut lire M. MOULY dans la presse de dimanche qui devise de manière quasi surréaliste sur son projet de "grande salle" dont, au passage, il veut se persuader qu'elle est "très attendue par les Narbonnais". Méthode Coué...

En "attendant", à cette lecture il y a tout lieu de se faire du souci sur la manière dont ce dossier est géré (?) par l'hôtel de ville.

D'une part M. MOULY nous indique benoitement que la salle s'insèrera en lieu et place des tennis du Parc des Sports et cela "sans modifier le stade". C'est sans doute par un coup de baguette magique que M. MOULY dit Merlin l'Enchanteur va insérer un équipement d'environ 5 000 mètres-carrés sans rien modifier à l'existant...

Plus loin, on apprend que "ni le coût ni le mode de financement ne sont arrêtés"... Et M. MOULY poursuit (sur le mode "je réfléchis à haute voix") en nous expliquant qu'il a une préférence pour un mode de financement et d'exploitation confiés au secteur privé.

Cependant, M. MOULY assortit ce choix d'une réserve à la naïveté confondante : "Je ne connais pas assez les tenants et les aboutissants d'une telle possibilité... Je ne voudrais pas priver la Ville et les Narbonnais de se réserver la priorité de l'occupation. C'est mon petit dilemme... "

En effet c'est un dilemme, mais un dilemme énormissime... qui doit d'ores et déjà alerter les Narbonnais sur ce qui se trame dans leur dos.

En effet quand un maire se permet de communiquer sur un projet en avouant qu'il n'en connait pas "tous les tenants et les aboutissants", soit on est dans le domaine de l'incompétence, soit dans celui de l'embrouille. Et dans les deux cas, il y a du souci à se faire...

OÙ IL EST QUESTION (UNE FOIS DE PLUS) DE CAPITAL M6...
ET DES FAUTES MORALES DE M. MOULY

22 septembre 2015

Ce n'est pas la première fois

ni sans doute, hélas, la dernière ! Les méthodes non professionnelles et très contestables de l'émission Capital M6 ont été à nouveau mises en lumière, cette fois par la Mairie de Paris, à propos d'un tout récent reportage sur les HLM de la capitale.

Parmi les griefs reprochés aux journalistes de cette émission à sensation, on retrouve exactement les pratiques qui ont eu cours lors du reportage réalisé en mars 2013 à Narbonne, lequel avait fabriqué une présentation caricaturale et inexacte de la gestion du personnel et des finances de la Ville et du Grand Narbonne.

Déloyauté, affirmation de faux chiffres, mauvaise foi... Les mêmes ingrédients ont été utilisés avec la Mairie de Paris (http://​leplus.​nouvelobs.​com/​con​trib​utio​n/​1425270-​hlm-​et-​classes-​moyennes-​dans-​capital-​m6-​nous-​a-​manipules-​c-​est-​un-​reportage-​oriente.​html).
A la suite de l'émission sur Narbonne, qui portait gravement atteinte à la réputation de Narbonne et à l'intégrité professionnelle du personnel municipal, Jacques BASCOU avait eu le courage d'attaquer Capital M6 devant le tribunal correctionnel.

Ce procès avait toutes les chances d'aboutir à la mise en lumière des pratiques douteuses et répréhensibles de cette émission. Or, une fois élu à la mairie, M. MOULY a tout de suite mis un terme à cette procédure.

Il s'est même fait le défenseur bien imprudent de l'émission déclarant à la presse locale : "Je ne peux pas imaginer que Capital M6 n'ait pas fait preuve de professionnalisme. "

A l'époque nous avons signalé la double faute morale de M. MOULY. D'une part il offensait l'immense majorité des journalistes qui réfutent les méthodes de Capital M6. D'autre part, il offensait l'immense majorité des employés municipaux de Narbonne qui avaient été scandalisés par le "cirque" pagnolesque de l'un d'entre eux, M. ANDUJAR, au cours de cette émission.

Mais il est vrai, comme on l'a signalé il y a peu de temps, que l'ex-syndicaliste M. ANDUJAR est aujourd'hui aux abonnés absents. Tout comme d'ailleurs M. ALRIC, ce proche de M. MOULY, qui s'était servi de son association Anticor 11 pour aiguiller les journalistes de Capital M6 à Narbonne.

Un silence assourdissant dont on comprend encore mieux la raison...

INCENDIE DE L'ÉCOLE MATHIEU-PEYRONNE : UN ACTE INACCEPTABLE !


22 septembre 2015

L’incendie qui a frappé l’école Mathieu Peyronne

est un véritable choc pour tous les habitants du quartier de Saint-Jean-Saint-Pierre, mais aussi pour tous les Narbonnais (voir article de presse ci-contre).

Nous partageons l’émotion des enfants, de leurs parents et de la communauté éducative. Au nom du groupe « J’Aime Narbonne », le porte-parole Nicolas SAINTE-CLUQUE exprime aux enseignants de l’école Mathieu Peyronne, tout notre soutien. Parce qu’ils sont en première ligne face aux dures réalités de notre société, nous devons tous leur exprimer notre solidarité et réaffirmer l’importance qu’ils ont dans la construction des futurs citoyens.

Cet acte volontaire et gratuit, profondément stupide, dirigé contre un symbole républicain, lieu d’apprentissage des savoirs et du vivre-ensemble est inacceptable.

Nous le condamnons avec la plus grande fermeté et souhaitons que les services de police puissent retrouver les coupables rapidement. De tels agissements ne peuvent et ne doivent pas rester impunis.

Enfin nous soutenons et remercions le personnel municipal qui met tout en œuvre pour que les enfants retrouvent le chemin de l’école le plus rapidement possible.

A l’heure où notre société subit les assauts d’une évolution violente avec les fractures qui en découlent, nous devons nous remémorer la pensée de Jean Zay : « L’école doit rester l’asile inviolable où les querelles des hommes ne pénètrent pas ».

NARBONNE-PLAGE : LES MAUVAISES MANIÈRES
ET
l'INCOMPÉTENCE DE NOUVEAU NARBONNE


20 septembre 2015

Créée et lancée par l'équipe de Jacques BASCOU,

la salle multiculturelle de Narbonne-Plage (dénommée Dominique Baudis) a été inaugurée samedi matin par M. MOULY et Nouveau Narbonne, sans que les élus de J'Aime Narbonne n'aient été invités.

Ces derniers ont réagi dans la presse de ce matin, évoquant les mauvaises manières et le mépris de l'opposition qui animent Nouveau Narbonne, mais également l'incompétence de cette municipalité à propos d'une subvention sollicitée auprès du Conseil départemental.

Mais au-delà de ces attitudes préjudiciables pour Narbonne et qui ne pouvaient rester ignorées, J'Aime Narbonne se félicite de voir naître ce magnifique équipement dans la station balnéaire. Un équipement de plus à mettre au crédit de l'équipe de Jacques BASCOU. La seule paternité que peut invoquer la municipalité actuelle est le nom de ce très bel équipement. Un peu maigre pour s'autosatisfaire...

NON ! J'AIME NARBONNE NE COPIE PAS LES MAUVAIS ÉLÈVES DE NOUVEAU NARBONNE

12 septembre 2015

Voici le communiqué

de J'Aime Narbonne publie aujourd'hui dans la presse, en réponse à un article de Nouveau Narbonne intitulé "le bal des faux nez", dans lequel notre mouvement était qualifié "d'opportune imitation" :


En réponse au « bal des faux nez » de Nouveau Narbonne, l’association J’Aime Narbonne tient à rassurer les Narbonnaises et les Narbonnais : « Nous n’avons nullement l’intention de copier l’apolitisme de façade de NN. Cela voudrait dire que nous renierions nos engagements d’œuvrer pour l’intérêt général et notre esprit d’ouverture.

Copier NN, c’est se livrer à la “chasse aux sorcières“ dans les couloirs
de la mairie ; c’est sanctionner brutalement et sans justification plus
de cent associations ; c’est favoriser les copains et les amis comme
le fait M. Mouly à La Nautique ou en privilégiant le club de football
qu’il a présidé pendant dix ans ; c’est s’octroyer le fait du prince
quand le maire, aux frais du contribuable, déménage un arrêt de bus
devant son cabinet professionnel.

Copier NN, c’est priver enfants et parents d'une école nécessaire à
Montplaisir ; c’est arrêter l’aménagement de Narbonne-Plage ; c’est
“pétasser“ les rues sans proposer un vrai projet de développement
pour Narbonne sinon une “grande salle“ coûteuse et non adaptée
aux besoins des habitants.

Non, J’Aime Narbonne n’a nullement l’intention de copier les mauvais élèves de NN dont l'apolitisme consiste à servir l'intérêt de quelques-uns au détriment de l’intérêt général.

Oui, J’Aime Narbonne accueille tous ceux qui veulent participer à un projet d’avenir pour Narbonne et qui s’engagent à le faire dans un esprit républicain fait de tolérance et d’ouverture aux autres. D’ailleurs, les bonnes volontés affluent déjà...»

LE PS DÉCRYPE L'APOLITISME DE NN

14 septembre 2015

J'AIME NARBONNE FAIT SA RENTRÉE


9 septembre 2015

Nicolas SAINTE-CLUQUE,

porte parole de J'Aime Narbonne, et Guillaume MASSON, secrétaire général, ont répondu aux questions de la presse à l'occasion de cette rentrée 2015.

La raison d'être du mouvement a été rappelée ainsi que son opposition à la politique sans cap et sans vision de Nouveau Narbonne. Nicolas SAINTE-CLUQUE a notamment déclaré :

« Sur la circulation, le TGV, la ville de demain on n’entend rien. Par contre, faire du "pétassage" mais refuser de faire une école à Montplaisir alors que le quartier est en plein développement, on en entend parler ! Didier Mouly veut se faire un prénom en faisant de belles infrastructures. Ce n’est plus le temps des pharaons. Il est sûr de lui : “Je fais une grosse réalisation et je suis réélu”. Ce sera la salle polyvalente à 20 millions. Finalement, les Barques à 8 millions, ce n’était pas si élevé... ».

Enfin, les dirigeants de J'Aime Narbonne ont annoncé un accroissement des moyens d'action de l'association, notamment la création prochaine d'un local à l'enseigne de J'Aime Narbonne.

AVIS DE RECHERCHE : OÙ SONT PASSÉS ALRIC ET ANDUJAR ?


10 septembre 2015

Mais où sont-ils passés ?

Il fut un temps pas si lointain où l’on ne pouvait ouvrir une gazette locale sans voir leur portrait affiché et leurs moindres déclarations rapportées.

Où est passé Jean-Marc ALRIC, le « croisé » de la lutte anti-corruption, le « lanceur d’alerte » qui se vivait en Grand Inquisiteur et allait purifier la dépense publique en discutant l’utilisation du moindre denier public sous la mandature de Jacques Bascou à la mairie ?

Disparu des chroniques, et singulièrement de l’internet où il distillait son venin quasi quotidiennement sur le blog de l’association Anticor 11 dont il avait fait sa « créature ».

Pourtant, s’il voulait s’en donner la peine, M. Alric aurait du pain sur la planche en matière de clientélisme, favoritisme, conflits d’intérêts e gaspillage d’argent public.

Pourquoi ne l’a-t-on pas entendu après le vote du dernier budget de la Ville qui a décidé d’une augmentation de 7 % de la masse salariale à la mairie ? S’est-il fendu de communiqués outrés après que M. Mouly, contredisant ses promesses électorales, a décidé d’embaucher à tour de bras dans son cabinet (un chef de cabinet, un directeur de cabinet et un nouveau venu, transfuge de la presse, depuis le 1er septembre) ?

S’est-il offusqué de ce que des élus et employés de la ville animent des bodegas lors de Barques en scène ? A-t-il publié des photos du patrimoine privé de certains nouveaux élus, comme il l’a fait avec une ancienne adjointe de Jacques Bascou ?

S’est-il insurgé des relents de clientélisme et de favoritisme qui ont prévalu dans l’attribution des subventions aux associations ? A-t-il sauté au plafond quand M. Mouly a promis un stade au FUN, le club dont il fut président pendant des années ? Ou s’est-il étouffé lorsque ce même M. Mouly a gaspillé les deniers publics pour faire disparaître un arrêt de bus devant son cabinet professionnel ?

Non, non et non ! Personne ne saurait dire ce que devient M. Alric. On l’a perdu depuis son engagement sur l’éphémère liste de M. Millet et depuis qu’il a soutenu publiquement M. Mouly à quelques semaines des municipales. Vous nous en direz tant !

Où est donc passé Jean-François ANDUJAR, le syndicaliste « pur et dur », l’homme que l’on présentait comme « la bête noire » de Jacques Bascou et qui prétendait dénoncer la politique du personnel conduite par l’ancienne municipalité, jusqu’à se prêter à une lamentable mise en scène dans une émission de télévision sur la chaine M6 ?

Disparu des écrans et des radars M. Andujar ! Pourtant, depuis l’arrivée de Nouveau Narbonne à la mairie, ce n’est pas la matière qui manquerait pour un syndicaliste aussi combatif. Eh oui ! malgré les promesses d’avant élection, la « chasse aux sorcières » est bel est bien d’actualité. Parmi les victimes on compte déjà un directeur de la police municipale, un conservateur des musées, une directrice de la petite enfance, un directeur des finances, une directrice du CCAS, et ce n’est pas fini…

Pendant ce temps, M. ANDUJAR semble couler des jours heureux dans un poste aménagé à la mairie et surtout dans une discrétion confondante qui interpelle ses mandants syndicaux.

EMBAUCHES AU CABINET DU MAIRE : M. MOULY AVAIT PRomis
DE
"RÉDUIRE LA VOILURE" MAIS C'ÉTAIT UN POISSON D'AVRIL !

8 septembre 2015

M. MOULY se targue de respecter ses promesses

depuis son élection du 30 mars 2014. Et des promesses il en a fait, notamment dans une interview au journal Midi Libre, parue le 1er avril 2014. Cet article était ainsi titré : "Il n'y aura pas de chasse aux sorcières". Or, depuis cette annonce, plusieurs cadres de la mairie ont été virés ou empêchés de poursuivre leur mission (directeur de la police municipale, conservateur des musées, directrice de la petite enfance et du CCAS, directeur des finances) tandis que l'ensemble des employés municipaux sont sous pression constante.

Dans ce même article, M. MOULY était interrogé sur la composition de son cabinet. Il répondait ceci : "La seule chose que je peux vous dire est que M. Stéphane CARNERO sera nommé chef de cabinet. Nous en réduirons la voilure..."









Depuis cette annonce, M. CARNERO est effectivement chef de cabinet, mais M. MOULY a aussi embauché M. Marc DELPOUX, ancien entraîneur de rugby à la mission peu définie à tel point que celui-ci a trouvé le temps de s'occuper en même temps de la gestion d'un bar-restaurant de la ville.

Comme la voilure n'était sans doute pas assez réduite, M. MOULY vient d'embaucher un autre collaborateur - chargé de mission semble-t-il - en la personne de M. Vincent BOILLOT, journaliste au Midi Libre jusqu'à la toute récente (le 1er septembre) disparition de la rédaction locale de ce journal.

On ne sait pas encore si ce nouveau serviteur du maire aura le temps d'ouvrir un commerce en ville... Toujours est-il que quand M. MOULY décide de "réduire la voilure" il en coûte au contribuable narbonnais. D'ailleurs, après avoir seriné pendant toute la campagne électorale qu'il allait faire des économies sur le fonctionnement de la mairie, M. MOULY a fait voter un budget 2015 avec un augmentation de près de 7% de la masse salariale.

Mais M. MOULY va sans doute nous dire que ses promesses du 1er avril 2014 étaient un "poisson d'avril"...

NARBONNE-PLAGE : NOUVEAU NARBONNE ÉTEINT LA LUMIÈRE

2 septembre 2015

Quel sens des priorités !

Les élus de Nouveau Narbonne n'avaient rien de plus urgent et d'important à faire lundi matin que d'enlever le projecteur qui éclairait la stèle en hommage à l'ancien maire Louis MADAULE, à Narbonne-Plage. Non vous ne rêvez pas, c'est bien ce que la presse locale rapporte ce matin, photo à l'appui.

Voici la raison invoquée par l'adjoint de la plage : « Toutes les statues et autres monuments commémoratifs ne sont pas éclairés la nuit à Narbonne. Donc, dans un souci d’équité, la Ville a décidé d’enlever le projecteur qui éclairait la stèle ». Vous ne rêvez toujours pas... c'est bien ce qu'a déclaré cet élu, sans doute en mission commandée par le "château".

Non content d'afficher des comportements de très bas niveau, indignes d'élus responsables, la maison Nouveau Narbonne ne manque pas d'air. En effet, puisqu'on nous parle d'équité, on pourrait se demander pourquoi Narbonne est sans doute la seule ville de France qui propose deux lieux commémoratifs en la mémoire d'un ancien maire, en l'occurrence Hubert MOULY.

Quoi qu'il en soit, les habitants de Narbonne-Plage attendent autre chose de la mairie car ils voient bien que, depuis avril 2014, tout l'aménagement impulsé par l'équipe de Jacques BASCOU a été stoppé. Et que la seule action notable de ces derniers mois aura été de polémiquer petitement sur le financement du centre multi-culturel.

Quant à l'ensemble des Narbonnais, ils se rendent bien compte, hélas, qu'ils ne sont pas gouvernés par des "lumières"...

VILLE NUMÉRIQUE : LE "COUCOU" DÉMASQUÉ PAR LA MINISTRE


1er septembre 2015

M. MOULY et son adjoint M. CÉSAR

espéraient se faire briller en recevant hier la ministre Sylvia PINEL pour le lancement d’Atlaas, une plateforme d’échanges réunissant des initiatives numériques publiques et citoyennes.

En effet, la veille dans la presse locale, l'adjoint CÉSAR vantait les initiatives prises par Narbonne ces dernières années pour devenir l'une des villes numériques les plus en pointe de France, et consacrée comme telle par le label @@@@@.

Sauf que M. CÉSAR oubliait volontairement de dire que toutes ces initiatives avaient été lancées par l'équipe de Jacques BASCOU, notamment par Nicolas SAINTE-CLUQUE, l'ancien adjoint délégué aux Nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC).

Mais à trop vouloir abuser son monde et occuper le nid du voisin, on se brûle parfois les ailes. C'est ce qui est arrivé hier lorsque la ministre Sylvia PINEL a rappelé le rôle central de l'équipe de Jacques BASCOU dans ce domaine des nouvelles technologies.

Le "coucou" a été démasqué par la ministre. Ce n'est que justice.

Pour l'intérêt général, nous espérons que l'actuelle municipalité saura perpétuer l'excellent travail accompli par l'équipe de Jacques BASCOU.

BARQUES EN SCÈNE : C'EST BIEN LA FÊTE À NEUNEU... AVEC LE MAUVAIS ESPRIT EN PLUS

31 août 2015



Barques en scène

n'avait pas encore éteint ses derniers lampions que la municipalité NN publiait un bulletin de victoire. Si l'on en croit les chiffres fournis par la mairie à la presse, Barques en scènes aurait recueilli une belle fréquentation. Si cela est vrai, on ne peut que se réjouir de cette information qui démontre combien était judicieuse l'idée de lancer un festival de fin d'été, ainsi que l'a initié l'équipe de Jacques BASCOU, dès 2008, avec le Festival Trenet.

Cependant, dans son désir très voyant d'afficher des chiffres qui impressionnent, la municipalité "NN" semble avoir poussé le bouchon un peu loin et même très haut puisqu'un drone a été mobilisé (et payé) pour la circonstance... On croit rêver !

Il n'empêche que cet empressement à communiquer n'a pas échappé au journaliste du Midi Libre qui précise bien que "ce chiffrage doit être pris au conditionnel"... Fermez le ban !

Quoi qu'il en soit, puisque la municipalité aime tant les chiffres, il serait intéressant de savoir quelles ont été les retombées de ce Barques en scène en termes de notoriété pour Narbonne. Force est de constater que les télévisions et la presse nationale et internationale ne se sont pas bousculés à Narbonne, comme cela était devenu la règle lors du Festival Trenet.

Force est aussi de constater que l'état d'esprit négatif, diviseur et clanique de Nouveau Narbonne s'est encore exprimé lors de ces journées, avec l'épisode malheureux de la bodega de Gilles BELZONS. Sur cette affaire suivre les liens suivants : http://​www.​lin​depe​ndan​t.​fr/​2015/​08/​27/​gilles-​belzons-​debarque-​en-​scene,2076653.php
https://​www.​facebook.​com/​gilles.​belzons/​posts/​102​0604​1012​0393​96

Tandis que l'emblématique restaurateur des Halles était avisé de manière cavalière d'un déplacement de sa bodega, on a pu constater que plusieurs adjoints au maire et des proches de l'hôtel de ville avaient installé les bodegas d'associations amies, aux meilleurs emplacements, devant la passerelle des Barques...

On est bien loin en effet de l'esprit festif, convivial et familial d'un festival de fin d'été comme il avait été pensé et réalisé en 2008. Ce devait être la fête des Narbonnais. Avec NN c'est bien la fête à "Neuneu" et le mauvais esprit en plus...

RELATIONS MAIRIE-RACING : ON ALLAIT VOIR QUI ÉTAIT RAOUL, ET ON A VU UN... "VRAI CHEF"

21 août 2015


Souvenons-nous !

A l'hiver dernier, alors que le Racing rencontrait de grandes difficultés sportives et que son président Anton HILL, s'était rendu en urgence en Australie au chevet de son père atteint d'un cancer, M. MOULY avait fait de fracassantes déclarations dans la presse. Plus que cela : un ultimatum était envoyé à Rocky ELSOM, l'actionnaire propriétaire du club à 95 %.

Ce dernier devait s'engager sous huit jours à ouvrir le capital à des Narbonnais et accepter de nombreuses modifications dans le fonctionnement du club. Sinon on allait voir ce qu'on allait
voir. Oui, on allait voir qui était Raoul...

Et que voit-on, neuf mois après ? De quoi a accouché ce coup de sang, bien dans les pratiques
irréfléchies du maire ?

Eh bien, la réponse nous a été donnée par M. MOULY lui-même dans une récente conférence
de presse : "Aujourd’hui, il (Rocky Elsom) est le seul interlocuteur du Racing. Il ne souhaite pas
avoir d’intermédiaire. Il prend toutes les rênes du club..." (lire extait de presse ci-contre).
Tandis que le premier adjoint MALQUIER, un brin crispé, a ajouté ceci : "La Ville de Narbonne
ne souhaite pas s’immiscer dans la gestion de cette société, économique ou sportive… "

A part cela, M. MOULY fait un long développement pour nous expliquer qu'il a réorganisé l'accès de la tribune officielle et qu'on ne risque pas de le voir dans les vestiaires... Fondamental !

Eh oui, on est bien dans les Tontons flingueurs quand l'accorte Madame Mado se moque de Raoul Volfoni : "Toi t'es un vrai chef !"

Plus sérieusement, M. MOULY, par ses rodomontades et ses coups de menton ridicules et lassants, déconsidère une fois de plus la fonction de maire. Cela devient plus qu'inquiétant pour qui se soucie de l'avenir de la ville.

Enfin, alors que la saison commence ce soir, le vrais supporters du Racing seront là et bien là pour apporter leur soutien sincère au club centenaire.

À LA NAUTIQUE LES BRIMADES DES AMIS DE M. MOULY CONTINUENT : APRÈS LE RESTAURANT LA CHORALE...

21août 2015


À La Nautique,

la nouvelle équipe dirigée par M. Robert DÉJEAN, avec la bénédiction de son ami le maire M. MOULY, continue d'exercer des brimades sur tous ceux qui ne sont pas dans la ligne.

Après l'épisode du parking dressé devant le nouveau restaurant Le Pavillon, avec l'aval de M. MOULY, la fine équipe de La Nautique a tout fait pour éjecter la chorale A tout bout de chant, qui était hébergée dans des locaux prêtés par l'ancienne équipe dirigeante de La Nautique, sur le territoire de la concession maritime.

Lors d'une récente réunion dite de concertation, les animateurs de cette association culturelle ont appris qu'ils devaient quitter les lieux avant le printemps. L'Indépendant rapporte la teneur de cette rencontre qui a mis en lumière, une fois de plus, les méthodes expéditives des amis de M. MOULY.

Le message adressé aux associations de Narbonne est clair : se soumettre au pouvoir municipal ou bien subir des brimades... Ce ne sont pas les méthodes qui avaient cours entre 2008 et 2014 sous la mandature de Jacques BASCOU et de son équipe.


RIEN N'EST TROP BEAU POUR LES AMIS DE M. MOULY...
MAIS L'INTÉRÊT Général en prend un coup

9 août 2015

Pour ses amis,

M. MOULY ne recule devant rien. On a eu l'épisode calamiteux de La Nautique (voir nos précédents articles). Et voici l'épisode du FUN, le club de football de la ville que M. MOULY a un temps présidé.

Non content d'avoir été bien servi au moment de la distribution des subventions (alors que tant d'associations ont été rayées de la carte ou amputées de leur aide), le FUN aura son stade à lui. M. MOULY vient de s'y engager publiquement.

Au final, les Narbonnais auront compris qu'il faut être dans les bonnes grâces du maire pour prétendre à un soutien de la municipalité.
Si l'on résume, depuis son arrivée à la mairie, les seuls investissements proposés par M. MOULY concernent le milieu sportif : grande salle à 20 millions d'euros toujours en projet, skate parc, gymnase gonflable, chapiteau au Palais du Travail, salle VIP très coûteuse au Parc des Sports et maintenant un stade avec tribunes et vestiaires pour le FUN...

Parallèlement, M. MOULY a stoppé toute une série d'investissements programmés par l'équipe de Jacques BASCOU comme l'école de Montplaisir ou la poursuite de la modernisation de Narbonne-Plage.

Assurément, même si le sport est un domaine important qui ne doit pas être négligé, la politique des amis semble très éloignée de l'intérêt général...

DOMITIA HABITAT (OFFICE HLM) : ON REPART SUR DU NEUF !


4 août 2015

Entamé par Jacques BASCOU

, dans un contexte très difficile hérité de l'ancienne municipalité "NN" (MOYNIER-MILLET), le redressement de l'Office public HLM (désormais Domitia Habitat) se conforme avec un temps d'avance sur le calendrier prévu.

Ainsi que l'indique la presse ce matin, Domitia Habitat a retrouvé ses capacités d'investir et de créer de nouveaux logements sur Narbonne et sur le Grand Narbonne.

Une excellente nouvelle pour nos concitoyens en quête de logement mais aussi pour l'ensemble de l'économie locale. Le courage et la persévérance de Jacques BASCOU ont porté leurs fruits.

NARbonne-plage : LA MAIRIE PROVOQUE ET MANIPULE
PLUTÔT
que de poursuivre la modernisation de la station

29 juillet 2015

A Narbonne-Plage,

les Narbonnais ont sous les yeux une nouvelle preuve de l'art de la provocation et de la manipulation de la mairie Nouveau Narbonne.

Un panneau a été installé pour annoncer la prochaine ouverture de la salle publique dont la construction avait été lancée à la fin du mandat de Jacques BASCOU, répondant à une demande de la population et du comité de quartier.

Plutôt que de se réjouir de l'ouverture prochaine de cet équipement, la municipalité de M. MOULY utilise ce support de communication publique (donc payé par les contribuables) pour polémiquer, et reprocher à la Région, au Département et au Grand Narbonne de ne pas avoir subventionné cette salle.

On voit bien où NN veut en venir : tenter de démontrer un ostracisme de ces collectivités à l'encontre de Narbonne. Sauf qu'il s'agit d'une nouvelle manipulation que Jacques BASCOU a d'ailleurs démontée dans l'article du Midi Libre consacré à ce sujet.

En effet, l'équipe de Jacques BASCOU avait bien sollicité des subventions pour cette salle publique qui avait, dans le projet initial, une vocation multiculturelle, avec notamment une salle de cinéma. Et à ce titre, cet équipent pouvait prétendre à ces aides des collectivités partenaires.

Or, M.MOULY et NN ont jugé bon de changer la destination du lieu, et de lui donner un objet plutôt sportif avec notamment l'ajout de douches... Jusqu'à preuve du contraire on n'est plus dans le même cadre.

Nouveau Narbonne et M. MOULY tentent donc une fois de plus de tromper les Narbonnais. Mais à Narbonne-Plage, ainsi que le rappelle également Jacques BASCOU, il sera bien difficile de masquer l'inaction de M. MOULY et de NN : depuis mars 2014, tous les projets de modernisation de la station ont été stoppés, notamment la poursuite de l'aménagement du front de mer.

Seule cette salle en chantier témoigne d'une amélioration des infrastructures ; une salle voulue par l'équipe de Jacques BASCOU, qui en avait prévu le financement dans un projet multiculturel qui pouvait prétendre à des aides extérieures.

Par leur mauvaise gestion de la situation, M. MOULY et NN ont semble-t-il perdu des soutiens financiers précieux pour la Ville. A cette équipe si mal avisée il ne reste que les armes de la manipulation et de la désinformation. A ce jeu malsain, c'est encore une fois Narbonne qui trinque.

EMPLOI ET CRÉATION D'ENTREPRISES :
LE
GRAND NARBONNE TRAVAILLLE ET INNOVE


25 juillet 2015

Treize structures

d'accompagnement et de soutien à la création d'entreprises et aux projets professionnels ont été regroupés par le Grand Narbonne au sein du programme IN'ESS à St Jean-St Pierre (dans les locaux de l'ancienne direction des Telecom).

Il s'agit d'un programme innovant porté par le Grand Narbonne et qui a reçu le soutien de l'Europe, de la Région et du Département (8 millions d'euros d'investissement en tout).

Ainsi que l'a indiqué Jacques BASCOU dans un premier bilan de cette structure "120 projets sont accompagnés" par IN'ESS avec autant d'emplois déjà créés (voir l'article ci-dessous).


Pour plus de renseignements

cliquer sur l'image



LA NAUTIQUE : LES ÉDIFIANTES RÉPONSES DE M. DÉJEAN
DONT M. MOULY DOIT ASSUMER LES CONSÉQUENCES

16 juillet 2015

A La Nautique,

Jacques HEURLEY, l'ancien président de la Société nautique s'inquiétait de la création d'un parking en lieu et place du boulodrome, et avait posé dernièrement plusieurs questions aux actuel dirigeants de la SNN. (Lire notre post précédent)

Les réponses apportée dans la presse, notamment par M. Robert DÉJEAN, l'actuel président de la SNN, sont édifiantes de l'état d'esprit de celui qui fut par ailleurs conseiller général du canton Sud et qui demeure conseiller municipal auprès de M. MOULY.

Ainsi, M. DÉJEAN n'hésite pas à s'opposer à ses détracteurs au prétexte qu'ils se feraient "les avocats d'une cause commerciale", en l'occurrence le restaurant Le Pavillon, donné en location par l'ancienne équipe dirigeante de la SNN. (Lire le premier passage surlignée en jaune)

Comment qualifier l'attitude d'un président d'association, par ailleurs élu de la Ville, qui fustige une action en faveur du développement économique et de l'emploi ? Irresponsable semble être le mot le plus approprié...

Par ailleurs, dans ces mêmes réponses, M. DÉJEAN confirme une information importante, à savoir que ces travaux de parking, qui boucheront la plus belle vue de La Nautique et nuiront évidemment au nouveau restaurant qui anime les lieux, ont été réalisés avec l'accord de la Ville et de M. MOULY. (Lire le deuxième passage surligné en jaune)

Ainsi, comme nous le craignions dans notre dernier article sur ce sujet, M. MOULY est bien l'otage de ses amis de La Nautique, lui qui a tout fait pour déstabiliser l'équipe précédente du Président HEURLEY. M. MOULY devra donc assumer à son tour la défiguration de ce magnifique lieu patrimonial de Narbonne, et le fait qu'un de ses élus n'a que faire de la prospérité des activités commerciales sur ce site...

On dit souvent qu'on a les amis qu'on mérite...

GRAND N'IMPORTE QUOI À LA NAUTIQUE...
AU
NEZ ET À LA BARBE DE M. MOULY

13 juillet 2015

A la Société Nautique,

M. MOULY semble totalement débordé par sa créature...

Après avoir créé maintes difficultés à l'ancienne équipe dirigeante de la Société Nautique et suscité une prise de pouvoir de ses amis, parmi lesquels figure le nouveau président M. Robert DÉJEAN (par ailleurs conseiller municipal Nouveau Narbonne), M. MOULY est-il impuissant à faire valoir les intérêts de la ville sur la concession portuaire des bords de l'étang ?

Ainsi, M. Jacques HEURLEY, l'ancien président débarqué par les
amis de M. MOULY, pose aujourd'hui dans la presse plusieurs
questions relatives à des travaux entrepris dans l'enceinte de la
concession portuaire, et qui visent notamment à interdire l'accès
du parking aux non sociétaires de la SNN (lire l'article ci-contre).

Ces travaux auront pour conséquence de supprimer le
boulodrome qui se situe devant le nouveau restaurant "Le Pavillon",
établissement plébiscité par la clientèle depuis sa création, mais
semble-t-il peu au goût des nouveaux dirigeants de La Nautique,
soucieux de rester entre soi... et d'exclure toute présence
non agréée par eux.

Les questions de M. HEURLEY interpellent indirectement la mairie :
ces travaux on-ils reçu l'aval des autorités municipales, sachant
que la Société Nautique est concessionnaire du port pour le
compte de la Ville ?

La réponse est en suspens. Que va faire M. MOULY ? Laissera-t-il
faire ses encombrants amis ? Ou virera-t-il de bord en catastrophe
comme il l'avait fait en rétablissant l'organisation d'un
championnat national de Wind Surf que ses amis voulaient rayer
de la carte narbonnaise ?

Dans tous les cas, M. MOULY devrait savoir que diriger une ville
nécessite d'avoir un cap et une boussole... Mais manifestement,
à La Nautique comme pour l'ensemble de la politique municipale,
il navigue à l'estime.

Très inquiétant !



Sur le même sujet lire la chronique de Michel SANTO

Cliquer sur le photo












QUARTIER MONTMORENCY : MERCI À L'ÉQUIPE BASCOU

10 juillet 2015

Initiées par l'équipe de Jacques BASCOU en 2012,

la réhabilitation de l'ancienne caserne Montmorency et la définition d'un nouveau quartier semblent être enfin d'actualité.

La municipalité NN en a dévoilé dernièrement les grandes lignes
avec notamment la création d'un jardin au coeur de cet ensemble
immobilier d'environ 120 appartements. En revanche, nulle trace
de la maison des associations qui était projetée initialement !
Il est vrai que le soutien aux associations n'est pas dans les
priorités de la municipalité NN...

Toujours est-il que l'on se félicite de la mise en oeuvre de ce nouvel
ensemble urbain. Il convient de rappeler que cette opération n'a
été possible que grâce à l'implication forte de la municipalité
précédente et de Jacques BASCOU personnellement grâce à ses contacts gouvernementaux, pour obtenir que l'Etat rende à la ville la propriété des lieux, à la suite du déménagement de l'escadron de gendarmerie mobile qui l'occupait.

Merci donc à l'équipe BASCOU d'avoir impulsé une nouvelle dynamique pour ce quartier de l'avenue Général-Leclerc !

AVEC L'ÉTÉ REVIENT LA "CHASSE AUX SORCIÈRES" :
C'EST LE VRAI VISAGE DE NOUVEAU NARBONNE !

8 juillet 2015

Après le directeur

de la police municipale débarqué l'été dernier, c'est au tour du conservateur des musées d'être viré en ce mois de juillet. (lire ci-contre)

Si l'on en croit la presse, ce professionnel qui avait su redynamiser les musées de Narbonne depuis son arrivée en 2012, ne correspond plus à la politique culturelle de M. MOULY...

Outre le fait que la politique culturelle de M. MOULY reste une énigme pour les Narbonnais, le prétexte ne trompera personne. Du reste, on devrait apprendre prochainement que deux autres chefs de services sont eux aussi sur la sellette...

Une fois encore, les promesses de la dernière campagne électorale sont bien loin : dans sa profession de foi M. MOULY promettait de "rassurer" le personnel et, dans une lettre, il s'engageait "solennellement à ne jamais faire de chasse aux sorcières"... (lire ci-dessous)




















La réalité a bel et bien rattrapé les Narbonnais. Nouveau Narbonne et M. MOULY montrent leur vrai visage : on est sommé d'être avec eux ou on dégage...

associations : la fausseté de M. Mouly

1er juillet 2015

Manier le mensonge et la duplicité !

M. MOULY excelle dans ces mauvaises manières, ainsi qu'en témoignent les dirigeants d'associations qui se sont réunis dernièrement pour protester et agir contre la suppression ou la diminution de leurs subventions.

L'Indépendant du jour expose les difficultés auxquelles ces associations sont désormais confrontées, notamment dans l'organisation d'animations pour les Narbonnais.

Ces animations, M. MOULY semble en avoir fait une condition pour que soient versées des subventions, ce qui était déjà le cas avec l'ancienne municipalité. C'est ce qu'on peut lire dans l'encadré surligné en jaune.







Or, un dirigeant d'une de ces associations sanctionnées de manière arbitraire révèle que la mairie elle-même l'avait sollicité pour organiser une animation.

On ne saurait agir avec plus de cynisme
et de fausseté...

PLAGE ET HANDICAP : NOUVEAU NARBONNE POURSUIT
LA
POLITIQUE DE L'ÉQUIPE BASCOU... SANS LE DIRE

1er juillet 2015

Nous l'écrivions dans notre bilan

de la première année de M. MOULY et de NN à la mairie : "Ce qu'ils font de mieux c'est de poursuivre les actions de l'équipe de Jacques BASCOU, mais en cherchant à s'en attribuer la paternité"...

Fait à nouveau vérifié dans la presse du jour, avec la mise en lumière de l'opération d'accessibilité à la plage pour les handicapés. Or, contrairement à ce qui est dit dans cet article par l'adjointe en charge du dossier, ce dispositif n'a pas été lancé l'été dernier mais bien par l'équipe de Jacques BASCOU, grâce à l'implication de
Georges ABBAMONTE, ancien conseiller municipal délégué
au handicap (lire sa mise au point ci-contre).

Alors on ne peut que se réjouir que cette magnifique initiative
soit poursuivie et développée, mais Nouveau Narbonne n'en a
nullement la paternité.

Cependant, l'on se doit malheureusement de rappeler que la
nouvelle municipalité n'est pas toujours aussi bien inspirée
dans ses choix concernant l'accessibilité de l'espace public
puisque M. MOULY s'entête notamment à organiser le conseil
municipal dans une salle non accessible. Ce que Georges
ABBAMONTE et d'autres membres d'associations d'aide au
handicap ont rappelé lors du conseil municipal de mars,
entraînant une nouvelle crise de nerfs du maire...

LA MISE AU POINT DE GEORGES ABBAMONTE


J'AIME NARBONNE TOUJOURS PLUS ENGAGÉ
POUR L'AVENIR DE NARBONNE

1er juillet 2015

L'association J'Aime Narbonne

a tenu son assemblée générale, lundi soir au restaurant Chez Pierrot (Vinassan). Une centaine d'adhérents a participé à cette soirée placée sous le double signe de l'engagement et de la convivialité.

Le Président Jacques Baillat a ouvert les débats en rappelant la raison d'être de J'Aime Narbonne : une association de citoyens de tous horizons, engagés pour l'avenir de Narbonne et partageant l'esprit d'ouverture qui a prévalu au sein de l'équipe municipale de Jacques Bascou, entre 2008 et 2014.

Il a particulièrement insisté sur la capacité de rebond de J'aime Narbonne. En effet, à la déception de la défaite aux municipales a
succédé une volonté de faire valoir les valeurs du mouvement
dans le cadre des élections départementales. La mobilisation
formidable de tous a permis de faire élire ou réélire quatre
candidats issus des rangs de J'Aime Narbonne et de réaliser
un magnifique grand chelem sur les trois cantons de Narbonne ;
véritable camouflet infligé à Nouveau Narbonne et à son leader
M. Mouly, qui ambitionnaient de tout écraser.

Cette année difficile fut aussi marquée par la consolidation de
la présidence de Jacques Bascou au Grand Narbonne, où ses
capacités de rassembleur ont été reconnues d'une majorité d'élus,
de plus en plus étoffée au fil des mois.

Ainsi, en animant à Narbonne une opposition municipale ni systématique ni démagogique, mais ferme et déterminée sur le contenu des dossiers, les élus de J'Aime Narbonne s'affichent clairement en alternative crédible pour construire l'avenir de Narbonne.

Ainsi que l'a détaillé le secrétaire général Guillaume Masson, l'association s'est donnée les moyens de son ambition, notamment en termes de communication (site internet, page Facebook, Twitter, dépliants d'information, notamment les quatre pages consacrées au « Vrai bilan de M. Mouly et de NN »).

Mais J'Aime Narbonne, c'est aussi un lieu d'échanges et de convivialité, avec de nombreux rendez-vous pour consolider les liens.

Comme toute association, J'Aime Narbonne a besoin de ressources pour vivre. Celle-ci proviennent exclusivement des cotisations des adhérents et des produits des festivités. La trésorière Alice Guitard a dressé un bilan de gestion excédentaire.

A la faveur de cette assemblée générale, le conseil d'administration s'est étoffé de neuf nouveaux membres élus à l'unanimité. Il s'agit de : Fanny AMOROS, Michel BASCOUL, Bruno BIRAL, Elsa CHABANE, Patrick FRANCOIS, Magali GUERRERO, Dominique LLOPIS, Martine MIR, Claudine PETIT.

Enfin, avant la partie conviviale, il appartenait à Nicolas Sainte-Cluque, porte-parole de l'association, et Jacques Bascou, président d'honneur, de conclure en appelant chacun à poursuivre son engagement pour Narbonne, dans l'unité qui est celle de J'Aime Narbonne, et dans « l'esprit d'ouverture » qui malheureusement aujourd'hui a déserté les instances d'un pouvoir municipal replié sur lui même et qui place Narbonne dans un isolement dangereux.

J'Aime Narbonne veut et va se battre pour que notre ville reprenne la marche en avant qui fut la sienne entre 2008 et 2014.

LA DErNIÈre embrouille de Nouveau Narbonne :
ILS
PRÉTENDENT N'AVOIR PAS ARRÊTÉ L'ÉCOLE DE MONTLAISIR

30 juin 2015

On a beau être vacciné

les embrouilles de Nouveau Narbonne laissent toujours pantois.

La dernière est plus que gonflée puisque que "NN" dit et fait dire dans les quartiers Sud que l'actuelle municipalité n'est pour rien dans l'arrêt du projet d'école de Montplaisir. Et les menteurs patentés qui gouvernent la ville, sans vergogne aucune, renvoient la faute sur l'équipe de Jacques BASCOU.

Pour rafraîchir la mémoire de Nouveau Narbonne, voici deux articles qui remettent les choses à leur place :

LE GRAND NARBONNE et jacques bascou
TRÈS
ACTIFs AU "COEUR DU LANGUEDOC"

30 juin 2015

Jacques BASCOU,

Président du Grand Narbonne, a beaucoup oeuvré pour la constitution de l'association de coopération Coeur du Languedoc qui réunit les agglomérations de Narbonne, Béziers, Agde et les communautés de communes de Lézignan et de la Domitienne. C'est désormais chose faite. La constitution de cette association API (approche territoriale intégrée) a été formalisée lundi à Maureilhan.

A cheval sur deux départements et englobant le territoire de ce qui fut appelé un temps le Triangle d'Oc, cette association est une première française. Son but est simple : travailler en coopération étroite pour porter des projets communs (Canal du Midi, économie, viticulture, énergie) accessibles aux financements européens. Seize projets ont été listés, qui pourraient mobiliser 27 millions d'euros de ces fonds européens dont la répartition sera décidée à l'automne par le Conseil régional.

Voilà comment on doit faire de la politique aujourd'hui. Rechercher des coopérations tous azimuts et porter des projets à l'échelle d'un territoire pertinent, dans le but de créer de l'activité et de l'emploi. Pour celà, il faut de la vision, de l'engagement et un sens de l'ouverture.

ASSOCIATIONS : LES "OUBLIÉS" DES SUBVENTIONS
SE
MANIFESTENT AU CONSEIL MUNICIPAL

24 juin 2015

Face à l'arbitraire des décisions

de la municipalité et de son maire M. MOULY, plusieurs représentants d'associations se sont réunis mardi soir devant la mairie et dans le cadre du conseil municipal.

Lors des débats de l'assemblée, ces bénévoles sanctionnés par la politique de Nouveau Narbonne n'ont pas eu de la part de M. MOULY et des élus de la majorité les réponses cohérentes et objectives qu'ils pouvaient espérer. En revanche, ils ont entendu et applaudi l'intervention de Nicolas SAINTE-CLUQUE, au nom de J'Aime Narbonne. Ce dernier a patiemment décortiqué ces attributions de subventions pour 2015, parvenant à la conclusion que sous couvert d'économies de bouts de chandelles, Nouveau Narbonne a bien appliqué des choix clientélistes visant à sanctionner ceux qui ne lui font pas allégeance.










ASSOCIATIONS : LE COUP DE CISEAU EST ARRIVÉ !
50
STRUCTURES RAYÉES DE LA LISTE DES SUBVENTIONS

21 juin 2015


Contrairement à tous les usages

des précédentes municipalités, M. MOULY et son équipe n'avaient pas produit la liste des subventions aux associations lors du conseil municipal de mars, à une semaine des élections départementales.

J'Aime Narbonne avait protesté de ce manquement et fait part de craintes légitimes quant à ces attributions pour l'année 2015.

Craintes hélas justifiées au regard des subventions qui seront proposées au vote du Conseil municipal ce mardi 23 juin (18h30
Salle des Synodes).

En effet, Midi Libre publie ce matin cette liste
(lire ci-contre) dans laquelle on constate
que 50 associations on été purement et
simplement rayées de la liste des attributions
et que certaines ont vu leurs moyens
considérablement réduits : notamment les
associations de quartier qui oeuvrent pour la
préservation du lien social, mais aussi
l'association Acti City qui propose un
grand nombre d'activités pour les jeunes de
Narbonne, ou encore l'Association des
commerçants du centre ville qui assure
l'animation du commerce.

M. MOULY va nous dire mardi soir qu'il
entend ainsi faire des économies sur le
budget de la Ville. Il nous avait dit la même
chose lorsqu'il avait décidé de supprimer les
moyens de communication de la Ville,
notamment le magazine d'informations
municipales. Or, il vient de se dédire
une fois de plus en faisant publier un nouveau
magazine dénommé "Narbonne & Vous".

Encore une fois M. MOULY gouverne à
l'impulsion et au coup de tête. Cette fois,
ce sont les associations narbonnaises qui en
font les frais.

Comme on le craignait en mars,
le coup de ciseau est arrivé en juin !


PRÉCISION UTILE : RENDONS À L'ÉQUIPE BASCOU


Contrairement
à ce qui est indiqué dans l'article du Midi Libre ci-dessus, ce n'est pas l'actuelle municipalité qui a abaissé de 23 000 € à 6 000 € le seuil en-dessus duquel une convention d'objectifs doit être signée entre la Ville et les associations concernées. C'est une mesure de bon sens et de contrôle de l'utilisation des deniers publics qui avait été prise par l'équipe de Jacques BASCOU.

RÉGIONALES : LES DESSOUS DE LA GUÉGUERRE MOULY-PY
ON
POURRAIT EN RIRE MAIS CE N'EST PAS DRÔLE POUR NARBONNE

18 juin 2015


" Pas facile de s'y retrouver ! "

Le Midi Libre décrypte dans son édition du jour la guéguerre entre M. MOULY et M. PY pour la tête de liste audoise des Républicains (ex-UMP) aux futures élections régionales.

En effet, c'est le moins que l'on puisse dire au regard des tergiversations de M. MOULY qui n'était pas candidat le 8 juin, qui l'était formellement le 13 juin et qui ne l'est plus depuis le 17... (voir notre précédent article ci-dessous).

En réalité M. MOULY a encore agi de manière irréfléchie et impulsive, démontrant une fois encore son inexpérience de la fonction politique, fût-elle apolitique.

M. MOULY espérait ainsi obtenir cette tête de liste de la droite audoise tout en restant en marge des Républicains, cela au nom de la "société civile". Encore un bel exemple de l'hypocrisie historique de Nouveau Narbonne, refusant d'endosser et d'assumer son étiquette évidente de droite.

Mais si M. MOULY père, avait su, en son temps, faire vivre cette ambiguïté et l'imposer à ses partenaires de la droite régionale sous la tutelle de l'ancien président Jacques BLANC, l'héritier est loin d'avoir ce talent et cette habileté.

Les Républicains et M. PY ont donc fermement renvoyé cet héritier derrière les murs du "château" où, à en croire le Midi Libre, M. MOULY serait désormais en proie à une grosse bouderie d'enfant, faisant savoir que s'il n'est pas finalement désigné en première place, la liste des Républicains se fera sans Nouveau Narbonne.

En somme M. MOULY se met en situation de négocier l'armistice alors qu'il a perdu la guéguerre...

Face à ce déferlement d'inconsistance et d'ego, M. PY a beau jeu de montrer (faussement) désolé : " Je renonce à comprendre cette séquence et donc à la commenter... " C'est plus cruel encore pour M. MOULY qu'un coup de colère bien senti...

Ainsi que J'Aime Narbonne l'exprimait hier, tout cela prêterait à sourire s'il ne s'agissait pas du maire de Narbonne, c'est-à-dire de celui dont les paroles et les actes engagent la réputation et l'image de la ville. Et là, on n'a plus envie de rire car à l'évidence le comportement irréfléchi et égotique de M. MOULY ne fera pas avancer les dossiers de la ville.

Voilà pourquoi il sera important, en décembre prochain, de désigner dans la future assemblée régionale des représentants de Narbonne et du Grand Narbonne qui sauront porter l'intérêt général.

M. MOULY ET LES ÉLECTIONS RÉGIONALES :
VRAIMENT PAS À LA HAUTEUR !

17 juin 2015

Samedi 13 juin





l'Indépendant nous a appris que M. MOULY est candidat pour mener la tête de liste des Républicains (ex-UMP) aux élections régionales de décembre prochain.

Ce mercredi 17 juin, le même journal nous indique que M. MOULY renonce à cette ambition, ou plutôt que M. Michel PY, maire de Leucate et leader des Républicains dans l'Aude, l'y a fait renoncer.

En quatre jours, M. MOULY a donc cumulé une déroute politique avec un fiasco de
communication... Cela prêterait à rire s'il ne s'agissait du maire de Narbonne et donc
de l'homme qui est censé porter haut les intérêts de notre cité et de ses habitants.

Or que nous montre cet homme à travers ce nouvel épisode calamiteux
pour l'image de Narbonne ?

1.

M. MOULY démontre une fois encore son caractère impulsif, non réfléchi qui le conduit à agir par coups de tête (souvenons-nous du va-et-vient de Sportfolio) et non comme un élu responsable qui murit ses réflexions et se donne les moyens de parvenir à ses fins dans l'intérêt général.

2.

Or, l'intérêt général est bien le cadet des soucis de M. MOULY, lui qui promettait d'être un maire à temps plein. A l'inverse, il nous montre son visage réel, celui d'un homme qui se préoccupe d'abord de sa carrière politique et de ses intérêts personnels. En effet, après avoir été candidat aux élections départementales (avec le résultat que l'on sait), il visait désormais une place éligible au Conseil régional, afin d'améliorer sa situation personnelle.

Au final, cet épisode consternant démontre une fois de plus que M. MOULY n'est pas à la hauteur de la fonction de maire de Narbonne et cette triste réalité conduit malheureusement à isoler et affaiblir notre ville sur la scène départementale et régionale.

Sportfolio revient et M. Mouly s'agace...

23 mai 2015

Souvenons-nous !

La première décision prise par M. MOULY au lendemain de son élection l'an dernier fut l'annulation du festival Sportfolio, au prétexte qu'il voulait rétablir le Conseil municipal dans la salle des Consuls de la mairie... alors que cette salle constituait le coeur des expositions du festival.

M.MOULY avait aussi clamé que Sportfolio n'était pas assez ouvert aux photographes locaux, témoignant ainsi qu'il n'avait rien compris à la portée mondiale de ce festival, lequel participe de ce fait au rayonnement de Narbonne.

Heureusement, face au tollé général suscité par ce premier caprice de M.MOULY (il en aura beaucoup d'autres par la suite), Sportfolio a pu retrouver sa place à Narbonne, et ce malgré une baisse importante de la subvention municipale, mais toujours avec le soutien du Conseil général et du Grand Narbonne, ainsi que celui de la Région.

Mais, visiblement, M. MOULY n'aime pas qu'on lui rappelle ses errements. Et quand le journaliste du Midi Libre s'est avisé de le faire, lors de la conférence de presse de présentation, le maire s'est montré "agacé". Un attitude qui contraste avec celle de Jacques BASCOU lors de cette même conférence : "Quand on est uni sur Narbonne, ça permet de rayonner !" a déclaré le Président du Grand Narbonne.














Il ne reste qu'à souhaiter un plein succès à cette nouvelle édition de Sportfolio ! Sans aucun agacement !

Arrêt de bus du Palais du Travail :
le rapport qui accable M. Mouly...

20 mai 2015

Le Midi Libre

publie ce mercredi 20 mai le rapport de la société des transports Keolis, relatif au déplacement des arrêts de bus Mistral et Rossel, décidé autoritairement par M. MOULY, sans concertation avec les professionnels des transports.

Ce déplacement, qui a conduit à la création d'un nouvel arrêt aberrant devant le Palais du Travail, avec des travaux coûteux et l'abattage piteux d'un platane, pose d'évidents problèmes de sécurité qui sont pointés par la société Keolis.

M. MOULY lui continue de se terrer dans le silence, et entame de nouveaux travaux coûteux pour créer un quai de délestage afin de desservir les établissements scolaires, occasionnant de nouvelles dépenses inutiles.

On comprend que M. MOULY soit plus que très gêné aux entournures. En effet, cette affaire, souligne son amateurisme d'élu mais aussi sa tendance à s'octroyer le "fait du prince" puisque ces déplacements se situent devant son cabinet professionnel.






















Depuis des semaines, J'Aime Narbonne alerte sur cette situation insupportable et l'avait exposée dans son bulletin d'informations du mois d'avril.

La Nautique : les amis de M. Mouly annulent
un
championnat national... et M. Mouly joue les étonnés

19 mai 2015

Volontairement,

par respect et souci de non ingérence dans la vie interne des associations, nous n'avions pas commenté la prise de pouvoir plus que douteuse qui s'est opérée il y a quelques semaines au sein de la Société Nautique.


Personne n'est dupes pour autant : le renversement du Président Jacques HEURLEY a bien été provoqué par les amis de M. MOULY, au premier chef du quel figure M. Robert DÉJEAN.

Le projet que portait le président sortant était sans doute trop ambitieux pour les amis de M. MOULY, très désireux semble-t-il de conserver La Nautique à l'égal d'une propriété privée.

Mais nous ne pouvons garder davantage le silence après l'annonce de annulation, par la nouvelle équipe de La Nautique, du championnat national d'extrême glisse (Windsurf). Car cet événement, soutenu jusqu'ici par la municipalité de Jacques BASCOU, contribuait, comme tant d'autres, au rayonnement de Narbonne et à sa bonne réputation.

En effet, ce sont pas moins de 300 personnes (concurrents et familles) qui étaient hébergés pendant plusieurs jours, à
Narbonne fin août, au moment où l'activité touristique décline sensiblement.

Les amis de M. MOULY ont sans doute pensé que ce championnat perturberait la quiétude du petit port qu'ils estiment leur...
Le même M. MOULY, rappelons-le, avait torpillé toujours à La Nautique un projet d'hôtellerie-restauration qui pourtant aurait amené de activité et de l'emploi.







Après avoir tout fait pour déstabiliser
l'équipe dirigeante de la Société Nautique, au profit de ses amis dont M. Robert DÉJEAN, M. MOULY joue maintenant les étonnés et se dit prêt à faire tout son possible pour que soit maintenu en août le championnat d'Extrême Glisse.

Il est vrai que l'annulation de ce championnat par les amis de M. MOULY suscite l'indignation de beaucoup de monde, à commencer par le président de la Chambre de Commerce et d'Industrie.

En langage vulgaire on appelle cela "jouer les faux-cul"... Les Narbonnais apprécieront.

La dernière lubie ridicule de M. Mouly

16 mai 2015

Celle-là, il fallait y penser !

Mais M. MOULY illustre un bon mot de Michel Audiard : il ose tout... jusqu'à réclamer 500 000 euros de dédommagement pour l'usure des chaussées relative au passage des autobus sur la voirie de Narbonne...

Que faut-il comprendre sans cette demande délirante ?

Assurément que M. MOULY considère les transports urbains comme une contrainte et non comme un service rendu à la population narbonnaise. C'est avec le même état d'esprit, souvenons-nous, qu'il a déplacé autoritairement l'arrêt de bus situé devant son cabinet professionnel pour l'implanter face au Palais du Travail, ce qui nécessita l'abattage nocturne et piteux d'un platane.

Faut-il aussi rappeler que M. MOULY se parait, il y quelques semaines encore, du label "d'élu responsable".
Pour rester dans la métaphore cinématographique, après cette lubie, M. MOULY aurait pu obtenir un rôle de premier plan dans le film "Ridicule"...

Encore une association d'utilité publique virée par la mairie

8 mai 2015

Nouvelle illustration

de la manière brutale dont la municipalité Nouveau Narbonne gère les associations de la ville, le local de l'Arche, association d'utilité publique dans le quartier de St-Jean/St-Pierre, a été enlevé sans même en aviser les responsables de l'association.

Rappelons qu'à l'été dernier, une autre association d'utilité publique, l'UFC-Que Choisir, avait été virée du jour au lendemain du local qui lui avait été attribué quelques mois auparavant...

Explication officielle : il fallait reloger une directrice de la mairie. Explication plus probable : favoriser une autre association de consommateurs proche du régime municipal et co-fondée par l'actuelle première adjointe Mme BELOTTI-LASCOMBES...










Le vrai bilan de M. Mouly et de Nouveau Narbonne :
UN document édité et diffusé par J'Aime Narbonne

27 avril 2015

M. MOULY

et Nouveau Narbonne

viennent de boucler leur première année à la mairie de Narbonne.

Malgré le désaveu retentissant qui lui a été infligé le 29 mars dernier à l'occasion des élections départementales, la majorité municipale tente de présenter le bilan de cette première année sous un jour favorable.

Parfaitement dans son rôle d'opposition vigilante et responsable, attaché à la préservation de l'intérêt général et fermement engagé auprès des Narbonnais pour préparer un avenir meilleur pour la ville et ses habitants, le groupe J'Aime Narbonne a souhaité informer la population de la réalité de ce bilan de M. Mouly et de NN.

Un dépliant de quatre pages est en cours de distribution en ville, dans lequel l'on verra que M. Mouly et ses amis ont multiplié les décisions incohérentes, sans aucune vision d'ensemble, qu'ils ont renoué avec les erreurs du passé : repli sur soi et isolement de Narbonne, pressions sur les associations et le personnel municipal, mélanges des genres douteux, et même la tentation du "fait du prince" et des petits arrangements personnels.

Les seules actions positives ont consisté à inaugurer ou à poursuivre les projets engagés par Jacques Bascou et son équipe. Mais M. Mouly et NN ont toujours essayé de se les attribuer en niant ou en escamotant la paternité de ces projets.


Pendant que M. Mouly "pétasse", Jacques Bascou travaille
sur
tous les fronts pour amener projets et subventions

27 avril 2015

Tandis que M. MOULY,

s'adonne au "pétassage" de quelques rues ou qu'il déplace l'arrêt de bus devant son cabinet professionnel, Jacques BASCOU s'active sur tous les fronts pour obtenir des moyens nouveaux pour le développement du territoire et l'inscrire dans une vision d'avenir.

1. La semaine dernière, le Président du Grand Narbonne était à l'Elysée où il a rencontré le Président de la République François HOLLANDE et la ministre de l'Ecologie Ségolène ROYAL et s'est vu confirmer une subvention de 500 000 € dans le cadre du programme "Territoires à énergie positive pour la croissance verte". Cette subvention pourra atteindre 2 M€ en fonction de la qualité des projets présentés.

2. Par ailleurs, Jacques BASCOU continue d'oeuvrer en étroite coopération avec les intercommunalités voisines (Béziers-Méditerranée, Hérault-Méditerranée, la Domitienne et le Lézignanais) pour constituer une force de frappe en vue de monter des projets éligibles aux fonds européens. Avec en ligne de mire, la constitution d'un futur pôle métropolitain régional qui s'insèrera entre ceux de Toulouse et Montpellier (voir article ci-joint).

La différence d'approche entre Jacques BASCOU et M. MOULY ne peut que sauter aux yeux des Narbonnais... D'un côté il y a du travail de fond au service d'une vision du territoire et de l'avenir. De l'autre c'est un manque d'expérience, de relationnel positif pour la ville, et un regard au ras du goudron.















Skate parc à l'Espace de Liberté :
encore
une fois, la mairie joue seule contre tous

22 avril 2015

Alors que l'Espace de Liberté

porte un projet inédit autour des sports de glisse, en coopération avec l'ex-patineur Philippe CANDELORO, la mairie - affichant clairement son obsession "d'aller vite" - lance son propre projet de skate parc sur le site de l'Espace de Liberté.

Encore une fois, la vision à courte vue et le tape à l'oeil guident les choix de Nouveau Narbonne ; avec toujours cette pratique du "seul contre tous".









Département : l'investissement repart...
et
la rocade-est est en bonne voie

22 avril 2015

Après les élections départementales,

les choix budgétaires du Département ont été définis avec une reprise de l'investissement au niveau qui était celui d'avant la crise de 2008. C'est le résultat d'une politique de maîtrise des dépenses accompagnée d'une stabilité des taux d'imposition depuis cinq ans.

Cette bonne gestion était aussi celle qui a caractérisé le mandat de Jacques BASCOU à la mairie de Narbonne de 2008 à 2014. Pendant ces six années, la Ville a investi et s'est modernisée, elle a amélioré les services à la population, sans affecter les grands équilibres des finances et sans augmenter les taux d'imposition. Cette politique dynamique a permis de soutenir l'activité économique pendant les longues années de crise, offrant à travers l'investissement un ballon d'oxygène aux entreprises locales.

A Narbonne, la mairie
fait un choix inverse

Les choix de la municipalité de M. MOULY sont différents puisqu'un brutal coup de frein à
l'investissement s'est produit à l'annonce du
budget de 2015 (15 millions d'euros environ alors que
l'équipe BASCOU a maintenu un investissement d'environ
20 millions d'euros par an).

Il apparaît que M. MOULY et ses amis n'ont pas de
projet pas de vision à long terme. Ils sont obsédés
par la réalisation de leur "grande salle" au Parc
des Sports, un équipement qui coutera au bas mot
20 millions d'euros et qui ne correspond pas à un
réel besoin pour les Narbonnais. Bref c'est du
tape à l'oeil...

D'ailleurs, ce manque de vision à moyen terme est
flagrant puisque M. MOULY et NN annoncent aujourd'hui
vouloir créer un gymnase gonflable à destination des
handballeurs sur le site de l'Espace de Liberté. Encore
une fois, où sont la cohérence et la vision d'ensemble ?





La rocade inscrite pour 2015...

22 avril 2015

Parmi les autorisations
de programme, actées par le Conseil départemental pour 2015, figure le chantier de la Rocade Est de Narbonne. La promesse faite par les candidats de la Majorité départementale (Patrick FRANÇOIS et Hélène SANDRAGNÉ) sera tenue. Les Narbonnais ne se sont pas trompés en choisissant les vrais élus responsables.

Jacques Bascou : la sérénité et la hauteur de vue

19 avril 2015

Jacques BASCOU

,
Président du Grand Narbonne, s'exprime ce matin dans le Midi Libre et livre ses commentaires sur la dernière année politique à Narbonne et dans le Grand Narbonne.

Sa sérénité et sa hauteur de vue apparaissent tout au long de ses propos. Un contraste saisissant avec de récentes interviews-bilan, dont celle du maire M. MOULY.

Tout en tenant ferme la barre du Grand Narbonne, où sa majorité s'est consolidée ces derniers mois, Jacques BASCOU distille les conseils qui permettront à J'Aime Narbonne de conforter sa vocation d'opposition responsable et crédible, prête à renouer dès 2020 le fil qui s'est rompu à la mairie de Narbonne.

Elections départementales : magnifique Grand Chelem
des candidats soutenus par J'Aime Narbonne

30 mars 2015

Pour l'avoir espéré nous y avons cru

,
et pour l'avoir cru nous l'avons espéré : tous les candidats soutenus par J'Aime Narbonne ont remporté dimanche 29 mars les élections départementales à Narbonne 1, 2 et 3. C'est un magnifique Grand Chelem !

Toutes ces victoires sont belles car elles ont été difficiles, car elles récompensent un réel investissement de terrain des six candidats et de leurs suppléants, mais aussi une mobilisation exemplaire de tous leurs soutiens, dont celui de J'Aime Narbonne.

Toutes ces victoires sont belles car elles ont été acquises face à la montée d'idées extrémistes sans issue, et que cette menace a été endiguée par la réanimation des valeurs républicaines et par la réunion des forces de progrès.

Enfin, toutes ces victoires sont belles car elles sont une réponse magistrale et sans appel à l'arrogance, la suffisance, l'irrespect et l'agressivité de ceux qui pensaient "écraser" nos candidats à la faveur de cette élection. Il s'agit bien sûr de M. MOULY et de Nouveau Narbonne, battus sans appel un an à peine après leur installation à la mairie.

M. MOULY, qui avait voulu célébrer sa première année de maire un mois avant la date, reçoit aujourd'hui la vraie sanction que mérite ce bilan : un désaveu retentissant !

























































Jacques Bascou
fait un
utile rappel à l'histoire

30 mars 2015

Dimanche soir,
partageant la joie de tous les soutiens des nouveaux élus narbonnais au Conseil départemental, Jacques BASCOU a fait un utile rappel à l'histoire politique locale.

En effet, la victoire aux municipales de 2008 s'était dessinée dès 2004 grâce à la victoire de Muriel RAYMOND-GANCIA sur le canton-est de Narbonne, détenu de longue date par NN et qui était alors le fief de Mme DUBOURDIEU, une Moulyste historique et première adjointe de M. MOYNIER, alors maire.

Cette première brèche apparue dans les murs de l'Hôtel de Ville n'avait cessé de s'agrandir pour déboucher sur le brillant succès de l'équipe de Jacques BASCOU en 2008.

Par ailleurs, Jacques BASCOU soulignait justement la qualité du renouvellement qui s'est opéré dimanche soir, avec de jeunes élus pleins de qualités et de dynamisme, qui laissent augurer un "début de renouveau".

Inutile de dire que J'Aime Narbonne s'inscrit totalement dans cette perspective de renouveau.

Par ailleurs, Didier CODORNIOU, dont l'engagement gruissannais fut déterminant sur le canton de Narbonne 2, a souligné lui aussi la qualité de ce renouvellement, dressant un hommage appuyé et mérité à Catherine BOSSIS : "Elle peut encore nous étonner !" a-t-il dit. On en est sûr et certain...

M. Mouly est content MALGRÉ tout...

30 mars 2015

"Je ne vois pas
pourquoi
cela m'affaiblirait
politiquement
ou ternirait
mon image !"
Eh oui, M. MOULY
ose cette
déclaration
dans le Midi Libre
de ce lundi matin,
où il arbore même un grand sourire qui semble justifier le titre très ironique de l'article : "Mouly goûte à la défaite"

L'article se finit par cette inévitable et imparable remarque du journaliste : " Pour célébrer la première année de pouvoir d'un maire on a fait mieux ! " Seul M. MOULY croit le contraire...

Avec J'Aime Narbonne soutenez les candidats
de la Majorité départementale

26 mars 2015

Dimanche dernier,

le premier tour de scrutin des élections départementales a livré plusieurs enseignements, aux niveaux du département et de Narbonne :

1. Malgré un contexte très défavorable, les candidats de la Majorité départementale, parmi lesquels figurant plusieurs élus de J'Aime Narbonne,ont réalisé pour la plupart des scores supérieurs à la moyenne nationale de la gauche. Ainsi, d'ores et déjà on peut affirmer que cette majorité de gestion du département de l'Aude sera reconduite dès la semaine prochaine et qu'elle poursuivra les actions utiles et structurantes entreprises lors du précédent mandat

2. A contre-courant de sa progression manifeste au niveau national, la droite départementale qui s'est alliée avec le groupe des « Elus responsables », émanation de Nouveau Narbonne, réalise dans l'Aude le plus faible score de toute la France. Preuve que sa campagne, toute en agressivité contre la Majorité départementale et vide en propositions et programme, n'a pas abusé le vrai sens des responsabilités qui anime les électeurs.

3. Au sein de cette droite audoise, le groupe des Elus responsables est déjà décimé puisque trois de ses six binômes sont éliminés (Coursan, Lézignan et Narbonne 1).

4. A Narbonne, ce premier tour est un cinglant revers pour les candidats issus de Nouveau Narbonne, lesquels selon les propres termes de leur leader M. Didier Mouly ambitionnaient « d'écraser » la Majorité départementale. Résultat : NN est éliminé sur l'ancien canton-ouest, tandis que la Majorité départementale est en position de réaliser le grand chelem sur les trois cantons. Un an à peine après son accession à la mairie, alors qu'il aurait dû bénéficier de cette dynamique, Nouveau Narbonne est déjà logiquement sanctionné pour son inaction, pour son absence de vision d'une politique de ville et de territoire.

5. Enfin, avec des scores comparables aux autres départements de la région, un fort vote d'extrême droite s'est exprimé lors de ce premier tour, dans la plupart des cantons audois. Ce constat interpelle l'ensemble des forces politiques républicaines, mais tout le monde n'en a pas tiré les mêmes conclusions : les forces de gauche et le Modem appellent toutes à faire barrage à l'extrême droite lors du second tour, notamment sur le canton de Narbonne 1, tandis que les élus issus de Nouveau Narbonne s'entêtent à ne pas prendre position et à demeurer dans un silence complice.

***

Au terme de ce premier tour, le choix de J'Aime Narbonne est évident. Il s'agit d'apporter un soutien total aux candidats de la Majorité départementale (Nicolas Sainte-Cluque et Magali Vergnes sur Narbonne 1, Catherine Bossis et Jean-Luc Durand sur Narbonne 2, Hélène Sandragné et Patrick François sur Narbonne 3).

Ces candidats portent haut nos valeurs d'engagement au service des citoyens et de nos territoires. Ils portent aussi, et de manière incontestable, les valeurs républicaines qui sont le socle de notre démocratie française et assurent les conditions du mieux vivre ensemble dans une société de plus en plus complexe, éclatée et qui a tendance à se refermer sur elle-même.

Ce soutien est aussi pragmatique, car les Narbonnaises et les Narbonnais ont intérêt à envoyer au Conseil départemental des élus qui siègeront dans la majorité et pourront influer sur les choix qui les concernent. A l'inverse, il serait vain d'envoyer à Carcassonne des opposants systématiques et dogmatiques, qui se sont montrés jusqu'ici incapables de coopérer avec des instances essentielles pour le développement de Narbonne, à commencer par le Grand Narbonne.

***

Dimanche, votons et faisons voter pour des représentants engagés, fidèles aux valeurs républicaines, inspirés par « l'esprit d'ouverture » et refusant le sectarisme. Des représentants qui serviront les intérêts des Narbonnais et pas ceux d'un groupe qui a déjà montré ses limites, ses carences et son esprit clanique et diviseur après une seule année de mandat municipal.

Conseil municipal : les crises de nerfs de M. Mouly,
et les tricheries de Nouveau Narbonne sur le budget

20 mars 2015

M. MOULY n'aime pas

être placé face aux réalités de la politique brouillonne et sans cap qu'il conduit depuis un an. Et lorsque l'opposition, totalement dans son rôle, lui pose les questions qui le dérangent, que fait M. MOULY ? Il se fâche tout rouge, il interrompt la séance du conseil municipal, coupe la parole à tout le monde, et soliloque sans fin pour tenter de masquer son manque d'assurance manifeste.

Cette "stratégie de la crise de nerfs", maintes fois utilisée depuis un an, a été particulièrement caricaturale lors du conseil municipal de jeudi soir. M. MOULY a tout fait pour que les élus de J'Aime Narbonne ne puissent aller au bout de leurs questions et de leurs observations, ce qui a malheureusement conduit à une parodie de débat.

Toutefois, la discussion sur le budget a permis de mettre en lumière plusieurs tricheries de la majorité Nouveau Narbonne. En effet, la présentation qui fut faite au public et à la presse faisait état d'un montant de 18,5 millions d'€ d'investissements, alors que les documents du budget mentionnaient seulement 14,8 millions d'€ (chiffre d'ailleurs annoncé en décembre lors du débat sur les orientations budgétaires).

Comme l'a justement relevé Marc ORTIZ, c'est le plus faible niveau d'investissements de la commune depuis de très nombreuses années. Ce qui veut dire qu'un frein sévère est mis au développement de la Ville, et que les entreprises locales et leurs salariés perdront en 2015 le grand bol d'oxygène dont elles avaient bénéficié sous le mandat de Jacques BASCOU.

Mais peut-être que la vraie raison de ce recul historique, il faut la chercher dans la volonté de M. MOULY d'économiser afin de monter envers et contre tout son projet de grande salle à 15 ou 20 millions d'€ ?
Autre tricherie constatée : les dépenses de personnel augmenteront de plus de 6,6 % et non pas de 5,7 % comme l'a affirmé sans trembler l'adjointe aux finances...

Enfin, J'Aime Narbonne, par la voix de Nicolas SAINTE-CLUQUE, s'est élevé fermement contre le fait que, contrairement à tous les usages des précédentes municipalités, M. MOULY a refusé de publier le détail des subventions allouées aux associations. Que cachait cette timidité à quelques jours d'élections départementales ? Poser la question c'était y répondre et cela a déclenché une nouvelle crise de nerfs de M. MOULY.

Voici le vrai bilan de M. Mouly !

19 mars 2015

Dans une récente interview

accordée à l'Indépendant, M. MOULY a cru bon d'avancer le calendrier pour livrer son bilan de la première année de mandat. Une opération de communication qui a frisé le ridicule tant les propos du maire étaient décalés par rapport à la réalité.

Aujourd'hui, Nicolas SAINTE-CLUQUE, porte-parole de J'Aime Narbonne a rétabli la vérité en présentant aux lecteurs de l'Indépendant et aux Narbonnais, le vrai bilan de M. MOULY...



Vote du budget au Grand Narbonne :
Jacques Bascou
largement conforté et douche froide pour "NN"

19 mars 2015

Cornaqué

par Nouveau Narbonne,
le groupe très improbable des élus
d'opposition du Grand Narbonne
espérait inverser la tendance lors du
vote du budget, mercredi 18 mars.

A ces fins, ils avaient demandé que
le vote se fasse dans l'isoloir, ce que
Jacques BASCOU leur a accordé
volontiers même si la demande
n'était pas conforme au règlement
de l'assemblée.

Résultat : 50 voix pour le budget
présenté par la majorité de
Jacques BASCOU et 30 pour
l'opposition.

Voici donc Jacques BASCOU
parfaitement conforté dans son rôle de
leader du Grand Narbonne, tandis que
l'opposition rageuse, orchestrée par
Nouveau Narbonne, reçoit une sacrée
douche froide. Et ce d'autant plus que
ce vote, selon leur désir, s'est déroulé
à bulletin secret...

Après le va-et-vient de Sportfolio,
le clap
de fin de la Biennale de l'Aquarelle

18 mars 2015

Dans un communiqué

aux mots comptés et pesés, l'association Aude Aquarelle annonce sa décision de mettre fin à la Biennale de l'Aquarelle, une manifestation qui avait réuni 30 000 et 50 000 personnes à Narbonne lors des deux premières éditions.

Ce communiqué évoque " l'impossibilité manifeste de préserver l'ambiance et l'état d'esprit qui ont présidé à l'initiation de cet événement ".

Voilà qui en dit long sur la manière dont la municipalité Nouveau Narbonne a accueilli cet événement de portée mondiale qui, outre l'intérêt qu'il suscitait chez les Narbonnais, permettait de muscler l'activité économique (hôtels, restaurants, commerces) pendant trois semaines hors saison touristique.

Force est de constater, après l'annulations de Sportfolio (autre événement de portée mondiale) en 2014, que la nouvelle municipalité abime tout ce qui faisait rayonner Narbonne. Ceci en contradiction criante avec la profession de foi du candidat MOULY en mars 2014 : "Je veux que cette ville retrouve son rayonnement" claironnait-il alors...

Ce même M. MOULY explique benoitement dans l'Indépendant du jour qu'il est "contrarié" par l'abandon de la Biennale. Mais alors pourquoi n'a-t-il pas exercé son autorité pour faire en sorte que "l'ambiance et l'état d'esprit" chers aux créateurs de cette Biennale soient préservés ? Et pourquoi a-t-il fait annuler Sportfolio l'an dernier, pour finalement revoir sa position cette année, après avoir reçu une désapprobation quasi unanime ?

Comme toujours à Nouveau Narbonne, c'est une nouvelle manifestation de l'esprit d'embrouille et du double langage... doublée d'un évident manque de vision d'une politique municipale ambitieuse pour Narbonne.



M. Mouly des paroles aux actes...
ou le
long chemin qui mène l'élu à la sainteté

9 mars 2015

L'Indépendant

nous livrait la semaine dernière un récit hagiographique de la première année de mandat de M. MOULY (en fait onze mois car l'anniversaire aura lieu fin mars, mais on n'est pas à un détail près semble-t-il).


Ce récit, qui ne restera pas dans les annales du journalisme sérieux et pertinent, aura permis à M. MOULY de se présenter en élu proche de la sainteté, puisque le titre général de cette publication sur deux pages lui attribue cette noble pensée : " Le maire a une obligation première, c'est celle de servir les autres ".

En effet, on n'en attend pas moins de l'élu. Sauf que M. MOULY a encore semble-t-il un très long chemin à parcourir pour attendre la sainteté qui lui vaudrait un récit aussi hagiographique.

En effet, c'est ce même M. MOULY qui s'est distingué récemment en déplaçant autoritairement un arrêt de bus situé devant son cabinet professionnel. Et ceci au mépris de l'avis des premiers concernés qui sont les services des transports publics du Grand Narbonne, et avec pour résultat que le nouvel arrêt (situé devant le Palais du Travail) est techniquement inadapté et potentiellement très dangereux pour les usagers, principalement les élèves des établissements scolaires du quartier.

Comme on dit souvent, il y a loin des paroles aux actes, et plus encore de la fragilité des hommes à l'auréole des saints.

Grand Narbonne : face aux manoeuvres de "NN",
la mise au
point d'Henri Martin et la sérénité de Jacques Bascou

5 mars 2015

Depuis des semaines,

à la faveur des élections départementales, Nouveau Narbonne multiplie les manoeuvres pour tenter de déstabiliser la majorité de Jacques BASCOU à la tête du Grand Narbonne.

La plus visible de ces manoeuvres a consisté à prêter des intentions hostiles à Henri MARTIN, le maire de Port La Nouvelle, et vice-président du Grand Narbonne.

Ce matin dans la presse, Henri MARTIN a mis fin aux spéculations malsaines : "J'ai opté pour une position qui est celle de continuer à soutenir la majorité Bascou. Il faudrait une secousse sismique pour me faire changer d'avis. Or, il n'y a pas péril en la demeure."

De son côté, Jacques BASCOU a redit sa confiance dans le partenariat tissé de ligue date avec le maire de La Nouvelle et a pronostiqué une"large majorité" pour le vote du budget le 18 mars prochain.

Les manoeuvres de "NN" semblent bien vouées à faire pschitttt...

Les chèques parkings :
encore une
"initiative concrète" de l'équipe Bascou

3 mars 2015

M. MOULY dit le Coucou a encore sévi.

Depuis un an, tel le volatile qui pond ses oeufs dans le nid des voisins, M. MOULY s'attribue les réalisations et le bilan de l'équipe de Jacques BASCOU (crèches, politique de santé et du handicap, organisation des rythmes scolaires et même les Barques qu'il trouvait moches et le front de mer de Narbonne Plage qui ne lui plaisait pas, etc etc).

Est-ce l'approche d'un scrutin départemental où il s'est porté candidat, alors qu'il avait promis de ne se consacrer qu'à la mairie, ou l'appel du printemps qui le taraude ? Toujours est-il que M. MOULY vient de pondre sans vergogne un oeuf des plus incongrus en s'attribuant sur la page Facebook de Nouveau Narbonne "l'initiative concrète" des chèques parkings.

Or, cette initiative est bel et bien à mettre à l'actif de l'équipe de Jacques BASCOU qui a créé ces chèques en 2012, en coopération avec les commerçants et la Chambre de Commerce, pour inciter les Narbonnais à venir consommer dans le coeur de ville.

Voilà donc à quoi se résume la politique de M. MOULY : poursuivre l'oeuvre et le bilan de l'équipe de Jacques BASCOU.

Ceci étant dit, il vaudrait mieux pour les Narbonnais qu'il continue sur cette belle voie tracée entre 2008 et 2014 car lorsque M. MOULY s'avise de faire quelque chose c'est un vraie catastrophe : ainsi il annule le Festival Portfolio (avant de se raviser quand même face au tollé général), il trace un trait sur un projet d'école à Montplaisir contre l'avis des populations des quartiers sud, ou encore il déplace un arrêt de bus devant son cabinet d'avocat pour en créer un autre devant le Palais du Travail, au mépris de la réglementation des transports publics et de la sécurité des voyageurs, en l'occurrence tous les collégiens et lycéens qui empruntent cette ligne...

Alors M. MOULY continuez de ne rien faire, car lorsque vous essayez de faire quelque chose, c'est calamiteux. Mais ayez au moins l'honnêteté de rappeler la signature de votre prédécesseur plutôt que de l'usurper de manière aussi grossière...

Sur le front des élections départementales :
un programme et un "ni-ni" irresponsables

2 mars 2015

Après s'être cachés

sous le logo des "élus responsables" pour tenter de masquer son alliance avec la droite apolitique, Nouveau Narbonne avance un programme en onze engagements dont la plupart sont simplistes ou hors sujet, ainsi que l'a noté Nicolas SAINTE-CLUQUE, le candidat de la majorité départementale pour le canton de Narbonne 1 (lire l'article ci-contre)
Ainsi donc,
pour complaire à leurs alliés de la droite UMP audoise, les élus de NN qui se disent si "responsables" appliqueront le "ni-ni" en cas de duel PS-FN au second tour des cantonales.

Alors prenons quelques cas concrets : les cantons de Narbonne 2 et Narbonne 3 par exemple.
Y appliquer le "ni-ni" cela veut dire qu'à Nouveau Narbonne on ne fait pas de différence entre deux candidats d'extrême droite qui ont tenu des propos racistes ou d'incitation à la haine raciale sur les réseaux sociaux, et des candidats de la Majorité départementale, pour certains déjà élus et ayant démontré leurs valeurs et leur sens des responsabilité, par exemple Hélène SANDRAGNÉ, ancienne première adjointe, conseillère municipale et grande professionnelle de la Santé, ou encore Catherine BOSSIS, conseillère municipale, professeur d'économie agrégé.

Comme le dit Nicolas SAINTE-CLUQUE, dans la presse du jour, " voilà de faux républicains ! ". Et on ajoutera que ce "ni-ni" de Neuneu est frappé de la plus totale irresponsabilité.

Ils s'étaient dits...
"apolitiques" !

22 février 2015

Les Narbonnais

qui ont cru à la profession de foi "apolitique" de M. MOULY et de Nouveau Narbonne se réveillent aujourd'hui devant le constat d'une
alliance avec la droite
départementale.
Cela se passe de commentaire.

Voilà qui sont les vrais
élus responsables !

19 février 2015

Alors que

Nouveau Narbonne nage en pleine tambouille électorale en se masquant sous le label "élus responsables", Jacques BASCOU, Président du Grand Narbonne, et André VIOLA, Président du Conseil général, montrent ce que sont de vrais élus responsables en finalisant le contrat
d'agglomération du Grand Narbonne,
pour les six prochaines années.

Elections départementales :
Nouveau
Narbonne en pleine tambouille...

16 février 2015

La presse relève

ce matin les manoeuvres de Nouveau Narbonne qui visent à créer une "union des droites" audoises à l'occasion des prochaines élections départementales.

Avec pour seul argument, une haine viscérale des socialistes que M. MOULY rêve "d'écraser" selon ses propres termes. Et cela, bien sûr, sans le moindre élément de programme pour faire avancer le département.

Pour ceux qui en doutaient encore, "NN" lève le masque : sous l'apolitisme de façade, c'est toujours la même tambouille politicienne et un art consommé de tromper l'électeur.





Malgré sa mise à l'écart par "NN"
l'UFC-Que Choisir résiste et prospère

16 février 2015

L'UFC-Que Choisir,

association de référence pour la défense des consommateurs, ne cesse de croître et de développer ses activités fort utiles pour la population, et d'autant plus en cette période de crise économique. C'est pour cette raison que la municipalité de Jacques BASCOU lui avait attribué des locaux fonctionnels et adaptés à ses missions, dans une villa au 3, rue d'Isly.

Une des premières mesures de la municipalité "NN" a été de récupérer ce local afin de l'aménager en appartement de fonction à destination de la nouvelle directrice générale des services de la mairie. De fait, l'UFC a été reléguée sur la route d'Armissan, très loin du centre ville.

Pour mieux comprendre cette mesure discriminatoire, il faut rappeler que "NN" protège et héberge en son siège de la rue des Colonnes, une association dénommée "Narbonne familles consommateurs", fondée par l'actuelle adjointe aux finances Mme BELOTTI-LASCOMBES.

Et ce sont les mêmes qui durant toute la campagne électorale de 2014 ne cessaient de dénoncer "le favoritisme des petits copains et le clientélisme".

Le festival de photo sportive revient : très bien !
mais M. Mouly fait son cinéma politicien : pas bien !

11 février 2015

Après avoir, par caprice,

supprimé le festival de photos sportives SPORTFOLIO, M. MOULY a enfin compris qu'il commettait une grave erreur et a décidé de revoir sa position.

Le festival aura donc lieu au mois de juin prochain. Ce dont J'Aime Narbonne se félicite car cette magnifique manifestation, soutenue dès sa création par la municipalité de Jacques BASCOU, contribue au rayonnement international de Narbonne. Plusieurs fois, J'Aime Narbonne et particulièrement son porte-parole Nicolas SAINTE-CLUQUE avaient déploré ce retrait et demandé à M. MOULY de revenir sur sa décision hâtive.

Mais au lieu de faire profil bas, ainsi que la situation le réclamerait, M. MOULY a cru bon de créer une nouvelle polémique avec le Grand Narbonne à propos du subventionnement du Festival. En effet, M. MOULY a interpellé sur cette question Nicolas SAINTE-CLUQUE, lequel l'a gentiment envoyé dans les cordes, tandis que Jacques BASCOU, président du Grand Narbonne, a mis les choses au point (lire le passage surligné de l'article du Midi Libre).

Pour résumer cette petite escarmouche, on dira que M. MOULY, l'homme qui n'aime pas la photo
mais qui se soigne, reste très accro au cinéma politicien.

Un sacré mélange des genres...

12 février 2015

Lu sur le Midi Libre

cet édifiant mélange des genres...

L'arrivée du froid...

25 janvier 2015

Sans commentaire !

L'arrêté municipal aux petits oignons
est finalement... arrêté

27 janvier 2015

Désormais,

lorsque vous irez au restaurant en famille ou entre copains, ou avec les membres de votre association préférée, demandez à la mairie de vous préparer un arrêté municipal aux petits oignons afin de pouvoir vous garer en toute tranquillité devant le resto de votre choix. Cela devrait marcher..

28 janvier 2015

Finalement,

l'arrêté aux petits
oignons a été... arrêté.
La presse du jour nous
apprend que les joueurs
de Bayonne ont
décidé de prendre
leur repas ailleurs.
On n'aurait pas mieux
fait à Clochemerle.

Travaux devant le Palais du Travail :
encore le "fait du prince" ?

25 janvier 2015

Midi Libre fait état ce matin

de travaux menés à la hussarde devant le Palais du Travail, destinés à déplacer l'arrêt de bus du bd Frédéric Mistral. Travaux dont l'utilité est douteuse, au point que le journal, en affichant son "mauvais esprit", suggère qu'ils pourraient résulter du "fait du prince".

Nous n'entrerons pas dans ce genre de "polémique". En revanche, la question principale et pertinente est de savoir quelle réflexion de fond a guidé ce choix.

Il faudrait aussi se demander si les services du Grand Narbonne, compétents en matière de transports urbains, ont été consultés avant de décider ce changement d'arrêt de bus. Il semblerait que cette étape ait été brûlée par la municipalité Nouveau Narbonne. Laquelle, rappelons-le, ne manque jamais de créer et de relancer des polémiques avec la communauté d'agglomération, à propos de tout et de rien.

Si ce n'est le "fait du prince", c'est au moins une nouvelle preuve d'incompétence ou de mauvaise foi, ou bien des deux...


Sur le même sujet écouter la chronique Radio-Barques :

Le Grand Narbonne mobilisé
pour le
maintien de la Réserve Africaine

27 janvier 2015

A la demande de Michel JAMMES,

le maire de Sigean, Jacques BASCOU, président du Grand Narbonne, a suscité une mobilisation des mairies de l'agglomération auprès de la sous-préfète Mme OBARA, en vue de créer les conditions d'un maintien de la Réserve Africaine sur son site actuel, et de préserver ainsi les retombées économiques que cette attraction procure au territoire.

De nombreux maires étaient présents dont M. MOULY, pour Narbonne. Encore un effort et M. MOULY coopérera enfin avec le Grand Narbonne pour tout ce qui concerne Narbonne. Il cessera notamment d'engager en catimini des travaux pour déplacer des arrêts de bus sans aviser les services du Grand Narbonne dont c'est la compétence... On peut l'espérer mais attendons de juger aux actes.

Ecole de Montplaisir : incompétence
et
mauvaise foi de Nouveau Narbonne

24 janvier 2015

Incompétence et mauvaise foi !

C'est ce cocktail que vient de servir une fois de plus aux Narbonnais la municipalité Nouveau Narbonne pour tenter de justifier l'abandon du projet d'école à Montplaisir. Ce samedi matin dans le Midi Libre, l'adjoint CESAR reprend l'argumentaire développé jeudi soir par M. MOULY et démontre sa méconnaissance du sujet notamment quand il affirme que c'est « une question typiquement d'intérêt communautaire ».

Voici donc un maire et son adjoint à l'Education qui ignorent que la communauté d'agglomération n'a pas de compétence en matière d'écoles primaires et maternelles et que l'organisation scolaire relève de la compétence communale.

En revanche, si la municipalité Nouveau Narbonne envisage de créer une coopération avec la commune de Bages en vue d'orienter les enfants des quartiers sud de Narbonne vers cette commune voisine, libre à elle de faire cette proposition. Cependant, outre le fait que Bages n'a pas les moyens d'accueillir une telle population scolaire et devrait de ce fait envisager des investissements lourds, la commune de Narbonne devrait, comme cela est la règle, payer une importante contribution à la commune de Bages, et gréver ainsi son budget de fonctionnement.

Il y a là au moins deux contradictions avec ce qu'on a pu entendre ces dernières semaines dans les discours de Nouveau Narbonne. 1. D'un côté on martèle aux Narbonnais qu'il faut faire des économies de fonctionnement, et on envisagerait de les accroitre en envoyant des enfants dans les écoles voisines. 2. Comment Nouveau Narbonne, revenu aux pratiques du « seul contre tous » et de la « citadelle assiégée », pourrait être en capacité de créer des coopérations avec les communes proches alors qu'il leur refuse le prêt de salles quand celles-ci les sollicitent et que M. MOULY s'apprête à supprimer ou réduire les subventions aux associations qui auraient trop d'adhérents non Narbonnais ?

Quelle cohérence dans tout cet embrouillamini politicien de très bas étage ?

Et quelle cohérence entre l'abandon de ce projet d'école, attendu par un quartier de plus de 5 000 habitants, et l'annonce faite la semaine dernière de l'ouverture à l'urbanisation de dix hectares dans le secteur de Bagatelle tout proche ? M. CESAR essaie d'expliquer aux Narbonnais que les effectifs scolaires ne justifieraient pas la création d'une nouvelle école, et en même temps se créent les conditions d'un nouvel accroissement démographique dans la périphérie. Comprenne qui pourra !

La réalité c'est que l'attractivité de Narbonne, heureusement maintenue et développée par l'action de la municipalité de Jacques BASCOU entre 2008 et 2014, rend nécessaire la création de cette école dans les quartiers sud. Et qu'effectivement des rééquilibrages seront sans doute nécessaires par rapport à certaines écoles du centre dont les effectifs baissent. Fermer une école du centre était un corollaire de la création de l'école de Montplaisir. Avec la possibilité d'une réaffectation ou d'une vente, soit dans les deux cas un plus pour la collectivité et les Narbonnais.

Cela c'était de la gestion sérieuse et responsable. Ce que propose Nouveau Narbonne, désespérément en quête de moyens pour réaliser sa « grande salle » du Parc des Sports, c'est malheureusement une caricature de politique municipale.

Conseil municipal : en 2015 "NN" réduira l'investissement comme jamais
et portera un coup à l'économie locale

23 janvier 2015

Pendant les dernières années

du mandat de Jacques BASCOU, qui furent les plus dures au regard de la crise économique, le choix fut fait de maintenir un haut niveau d'investissements (comme la réalisation des Barques par exemple - notre photo), d'une part pour moderniser Narbonne et doter sa population de nouveaux services, et d'autre part pour maintenir l'activité économique et l'emploi des entreprises locales fortement mises à mal par la crise. Et cela fut fait sans accroitre la pression fiscale, avec des taux d'imposition qui n'ont pas augmenté durant tout le mandat...

Aujourd'hui, alors que des espoirs de retour à la croissance se font jour et qu'il faudrait accompagner ce regain par tous les moyens possibles, le choix de "NN" est diamétralement opposé. Lors du débat d'orientations budgétaires au Conseil municipal, nous avons appris que les investissements seront limités à 14 millions d'euros en 2015, soit le plus bas niveau depuis de très nombreuses années.

Parallèlement, la municipalité MOULY ne poursuivra pas en 2015 sa politique caricaturale et démagogique de baisse des impôts qui avait conduit, souvenons-nous, à une diminution moyenne de 2 euros sur les taxes d'habitation... La collectivité narbonnaise sera donc doublement pénalisée avec une réduction de ses investissement qui n'aura même pas pour effet de réduire la pression fiscale...

Allez comprendre, d'autant que l'équipe MOULY se targue d'avoir fait des économies de fonctionnement à hauteur de 1,5 Million d'euros, dont elle refuse obstinément de donner le détail... Tandis que l'adjointe aux finances, toujours aussi peu à l'aise dans ses exposés, tente de faire diversion en qualifiant l'action de l'ancienne municipalité de "politique de gribouille"... Faudrait parfois se regarder dans la glace !

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"NN" n'aime pas certaines associations
et supprime les avances

23 janvier 2015

"NARBONNE SOUTIENT LES ASSOCIATIONS",
c'était avant ! Aujourd'hui, "NN" remet en cause l'avance sur les subventions, mesure qui sans doute prépare une coupe sombre au printemps... après les élections départementales. Voici à ce sujet la teneur de l'intervention de Nicolas SAINTE-CLUQUE, le porte-parole de J'Aime Narbonne :

"Nous sommes très surpris, Monsieur le maire, de la disparition de l'avance de 30% pour l'ensemble des associations qui bénéficient d'une subvention de la Ville.

2014 a été une année difficile pour les associations et elles ont toutes besoin de financement en début d'année. Or vous décidez de ne verser une avance qu'à une quinzaine d'entre elles.

Dès lors deux choses l'une, soit cette décision cache des difficultés de trésorerie, ce que nous ne pourrions même pas imaginer tenant la qualité de votre gestion en bon père de famille, soit cette décision cache la volonté de ne verser aucune subvention ou des subventions inférieures aux 30 % d'avance pour certaines d'entre elles. Nous savons bien que nous sommes en période électorale et qu’il n'est pas toujours bon de dire les choses telles qu'elles sont ou vont devenir, mais c'est pourtant le message qui transparaît au détour de cette anodine délibération, ce qui n'a d'ailleurs pas échappé à la presse avant même que l'on se saisisse de ce dossier. Bien entendu nous voteront pour cette délibération mais en regrettant très sincèrement que toutes les autres associations ne puissent pas percevoir une l'avance comme les autres années …"

Le Maire a répondu qu’il prenait le temps de vérifier lui-même tous les dossiers de demande de subventions, mais qu’il avait l’intention de continuer son métier d’avocat de sorte qu’il n’avait pas pu encore analyser tous les dossiers.

De plus, il ne versera des subventions qu’aux associations qui ont un projet d’intérêt général, que trop d’associations se reposent sur la ville pour fonctionner de sorte qu’elles ne font aucunes actions pour créer des recettes (ex : lotos, repas…), que la ville n’avait pas vocation à financer le fonctionnement des associations. Il reproche donc à beaucoup d’associations de ne rien faire pour aller chercher des financements privés.
Nicolas SAINTE-CLUQUE lui a alors demandé si cela signifiait donc qu’il ne financerait plus que les projets et non plus le fonctionnement des associations. Il a répondu que non mais qu’il fallait passer des conventions, comme par exemple avec "l’Académie du temps libre qui a signé une convention un peu contre son gré au terme de laquelle elle doit payer les fluides…"
Il a aussi parlé de "l’association SPORFOLIO qui va chercher des financements extérieurs et auprès des collectivités pour un projet d’intérêt général…"

"NN" n'aime pas l'école
et
stoppe le projet de Montplaisir

23 janvier 2015

Sous la municipalité de Jacques BASCOU
, l'école était une priorité. Les choses ont hélas beaucoup changé en moins d'un an... Jeudi soir en conseil municipal, Jacques ADRADOS, conseiller municipal de J'Aime Narbonne, s'est élevé contre abandon du projet d'école à Montplaisir. Voici l'essentiel de son intervention :

"Nous tenons de prime abord à vous faire part de notre satisfaction car vous avez poursuivi nos projets tant en ce qui concerne la cantine de la caserne Montmorency, que par les accords de partenariat avec le Conseil Général afin que les élèves puissent manger dans les cantines des collèges ou encore dans le suivi des programmes de crèches avec l'inauguration de la crèche de Horte- Neuve, projet que nous avions lancé. Tout cela va dans le bon sens.

Mais aujourd'hui nous sommes surpris par cette décision de "déclaration sans suite" du Concours de maîtrise d'oeuvre concernant le groupe scolaire de Montplaisir.

Je suis, nous sommes tous très déçus car il nous avait semblé que c'était un projet important et absolument nécessaire pour l'avenir de ce quartier et pour Narbonne.

La décision du lancement du concours de maîtrise d'oeuvre avait été prise à l'UNANIMITE des membres du Conseil Municipal de la précédente mandature, fin 2013.
La création de ce groupe scolaire pour un quartier de plus de 5000 habitants, soit grosso modo la ville de Coursan, était une nécessité pour nous, mais aussi
- pour l'OBSERVATOIRE de L'ENFANCE, une instance que nous avions créée et qui regroupait les parents élus représentant toutes les écoles de la ville,
- pour le Conseil de Quartier de Montplaisir, les Hauts de Narbonne, Réveillon, que nous avions naturellement consulté et qui avait répondu très favorablement,
- enfin pour les parents d'élèves qui font chaque jour le trajet pour amener et ramener leurs enfants dans les écoles de la ville dans les conditions d'embouteillage que l'on sait.

Le but était aussi de dynamiser cette zone de Montplaisir, de créer un pôle vert avec l'ouverture du Parc du château, avec la mairie annexe que nous avons créée et l'aire de jeux pour les enfants, deux lieux très fréquentés, c'était avec l'école un futur pôle de rencontre un lieu de vie pour tous les habitants de ce quartier.

Il faut 5 ans pour mener à son terme un projet de construction d'un groupe scolaire et nous étions à mi-chemin, l'ouverture en effet était prévue début 2016. Pour Narbonne, nous ne pouvons que regretter profondément cette décision d'arrêter ce projet qui représentait un plus pour la ville, un plus dont les enfants narbonnais devront hélas se passer."

J'Aime Narbonne : des voeux et des valeurs

22 janvier 2015

Mercredi soir

dans la salle des fêtes de Montredon-Corbières, gentiment mise à disposition par le maire Eric MELLET ET son conseil municipal, l'association J'Aime Narbonne a échangé les voeux et partagé la galette des Rois.

Le secrétaire général Guillaume MASSON a ouvert cette sympathique soirée en invitant la centaine de participants à poursuive le soutien aux élus de J'Aime Narbonne dans un rôle "d'opposition efficace, ferme et déterminée". Il a également appelé à "préparer l'avenir : dans la diversité de nos sensibilités nous devons continuer à oeuvrer pour rendre notre ville plus belle, plus dynamique et surtout plus ouverte".

Le président Jacques BAILLAT s'est ensuite réjoui de la montée en puissance de J'Aime Narbonne, lancée en juin dernier avec 50 adhérents et aujourd'hui forte de 150 membres actifs, prêts à porter un message d'avenir auprès des Narbonnais. Ce n'est qu'un début...

Pour le président d'honneur Jacques BASCOU, Président du Grand Narbonne, ce message doit rester ancré dans les valeurs du mouvement et celles qui ont inspiré l'action de l'équipe municipale de 2008 à 2014. Sens des responsabilité, respect des engagements, ouverture et tolérance sont ces valeurs qui pour Jacques BASCOU doivent permettre de redonner de la crédibilité au discours et à l'action politiques, malheureusement dégradés par des comportements qui tendent à la stigmatisation et à la division.

En cette époque troublée, la force de ce discours n'a échappé à personne. J'Aime Narbonne invite tous les Narbonnais qui aiment leur ville à partager, encore plus nombreux demain, les voeux et les valeurs qui nous sont chers.














Pont de Carcassonne :
une situation
tragique pour le commerce









































Office HLM (Domitia Habitat) :
le travail
de Jacques Bascou porte ses fruits

22 janvier 2015

La longue et difficile

restructuration de l'Office public d'HLM (devenu Domitia Habitat) est en train de porter ses fruits (lire les articles ci-dessous).

Tout le mérite en revient à Jacques BASCOU qui a dû affronter pendant son premier mandat de Président du Grand Narbonne, une situation catastrophique léguée par l'ancienne municipalité Nouveau Narbonne. Le parc de logements était dans un état désastreux et les caisses de l'OPH totalement exsangues.

Avec lucidité et courage, Jacques BASCOU a restructuré l'Office. Les premiers résultats sont là.



































Associations de Narbonne :
un dur réveil...

20 janvier 2015

Fini les avances de subvention

aux associations de Narbonne. La municipalité MOULY a décidé de réserver ces avances à une poignée d'associations. Et ce tour de vis n'est que le premier d'une longue série à venir. Le véritable coup de ciseau sera connu au printemps lors du vote du budget. Pour beaucoup d'associations, le réveil sera douloureux...
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